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PROGRESSION D'UNE SOUMISE
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6 octobre 2021

DE LA DOUCEUR À L’AUTORITÉ

 Vous êtes nombreux à me demander quand il y aura un nouvel article, je prends donc ma plume pour vous donner de mes nouvelles qui se sont fait rare ces derniers temps je m’en excuse auprès de mes lecteurs fidèles.

L’été est passé très vite et une nouvelle occupation a fait que les rencontres se sont espacées.

J’ai eu quelques visites de Chris que je n’avais pas vu depuis longtemps, des rencontres décidées avec Maître B bien sûr.

L’attirance sexuelle que nous avons l’un envers l’autre n’avait pas diminué, je me suis vite retrouvée à genoux devant lui avec sa queue dans la bouche, j’étais même très excitée par son côté plus directif, son regard noir qui ne laissait aucun doute sur ses intentions de me prendre sauvagement.

Il m’a baisé il n’y a pas d’autre terme, je me suis retrouvée à quatre pattes sa main me fouillant la chatte ou me claquant les fesses qui sont devenues bien rouge.  J’étais très excitée de le sentir en moi, son membre dur me pénétrant sauvagement qui m’a fait jouir rapidement. J’aimais l’entendre prendre du plaisir, puis retirer son préservatif et me demander de venir lui nettoyer la queue avec ma bouche, la douceur de cet instant où je sens le goût de son plaisir, où ma langue lèche lentement pour ne rien oublier, où les corps sont apaisés.

L’avantage de ces rencontres est que l’on se connaît bien, on sait d’instinct ce qu’aime l’autre, il n’y a plus de place aux hésitations, juste de la place à du sexe débridé. Il m’appelle salope je l’appelle homme, un jeu entre nous qui nous plait.

6

 

Maître B a commencé à me parler d’une rencontre différente, il avait envie de me procurer des sensations jusque-là inconnues, il souhaitait me voir avec un homme qui saurait me faire vivre une expérience alliant douceur et autorité, un côté sensuel et sauvage. J’étais assez désappointé quand il m’a dit cela, moi qui n’aie connu pratiquement que des relations basées sur le D/S où la douceur n’est pas vraiment d’actualité, je ne savais comment je pouvais percevoir cette intimité avec un autre homme que mon Maître. Il m’a dit choisi cet homme, j’ai tout de suite pensé à John un homme avec qui j’échangeais depuis deux ans sur un site libertin et sur Skype. Dès le début de nos échanges j’ai senti une attirance pour John, mais je ne savais pas comment l’exprimer, il a toujours su me faire sentir son désir pour moi, son attirance pour mon côté soumise, il me disait fantasmer sur moi et sur ce qu’il aurait envie de me faire, ses mots étaient puissants de sens.

Je lui ai donc demandé s’il avait toujours ce désir d’une rencontre, j’étais consciente qu’après deux ans, il aurait pu se lasser, mais non, il m’a dit qu’il serait honoré de pouvoir enfin me voir. Ils ont parlé avec Maître B qui lui a expliqué les grandes lignes de la rencontre qu’il aimerait.

Le rendez-vous fût pris pour un après-midi, dès le début de la journée je me sentais déjà très fébrile, dans un espace-temps différent de d’habitude, un regard sur l’heure qui revient régulièrement en me disant plus que 3 h, plus que 2 h… Bien sûr, quelques appréhensions me venaient, la peur de le décevoir, la peur que je ne lui plaise pas ou que je ne sois pas à la hauteur de ses fantasmes. J’ai pris mon temps pour me préparer, je me délectais de cet avant, Maître B a choisi ma tenue, une jolie robe noire avec des bretelles argentées, un soutien-gorge très sexy qui ne cache que partiellement mes seins, un joli string en dentelle, j’ai hésité à mettre mon serre-taille qui cache mon ventre, le fait d’hésiter m’a fait dire que je commence à m’accepter et John avait tellement su me rassurer sur son attirance pour moi que j’ai dû inconsciemment me dire qu’il aimerait aussi mes défauts physiques, mais je l’ai mis quand même cela m’a rassuré. J’ai mis de belles chaussures à talons hauts et de longues boucles d’oreilles argentées. Je me sentais désirable, j’avais très envie de leur plaire.

J’avais prévenu John que ce ne serait sans doute pas une rencontre comme il avait l’habitude de faire, que j’avais l’habitude de me laisser guider, de ne pas beaucoup m’exprimer, que cela pouvait le déstabiliser, mais il était très attiré justement par mon comportement naturel de soumise.

3

13 h 30, je les attends debout les mains derrière le dos, un bandeau sur les yeux avec les jambes légèrement écartées. J’ai chaud ou peut-être froid je ne sais plus, je frissonne, mon cerveau s’emballe, que va-t-il se passer, j’ai un peu peur, l’adrénaline monte, les pas dans le couloir, mon cœur s’emballe, la porte s’ouvre, mes jambes tremblent, que j’aime ça.

Maître B s’approche de moi, je sens sa main sur mon bras, le frisson s’accentue, il lui dit :

   -Voilà N ma soumise, je vais te la confier comme prévu.

J’entends la voix de John pour la première fois, une belle voix d’homme, un ton très doux, très calme et rassurant, je me détends déjà.

   -Oh quelle est belle dit-il.

Mes appréhensions s’évaporent comme par magie.

Maître B s’en va, il m’avait dit qu’il nous laisserait seuls, mais qu’il regarderait via la caméra, cela m’excitait.

John me frôle, il tourne autour de moi, il m’observe, je sens sa chaleur, ses mots sont forts, il me trouve encore plus belle que sur les photos, que mes seins sont envoûtants, qu’il avait tellement espéré cette rencontre. Je suis très fébrile à cet instant, je sens sa main sur ma cheville qui remonte le long de ma jambe, il me caresse lentement, un frisson parcours mon corps, j’ai envie de cette caresse. Il vient se placer derrière moi, je me colle à lui, j’ai envie de le sentir contre moi, je me surprends moi-même, il me dit :

   -Tu sens l’effet que tu me fais N.

   -Oui je le sens John.

Son sexe était déjà gonflé d’excitation, mais je savais qu’il allait prendre son temps, et que pour avoir sa queue il faudrait que je la mérite.

Je sens ses mains empoigner sauvagement mes seins, je sursaute je ne m’y attendais pas, j’aime sentir sa puissance masculine sur moi.

Il joue longtemps avec moi passant de la caresse aux gestes autoritaires, j’adore ce contraste, Maître B avait encore raison en organisant une rencontre comme celle-ci.

Il va s’asseoir sur un canapé et me demande de tourner doucement sur moi-même, je m’exécute, je peux m’imaginer son regard sur moi, ça m’excite terriblement, sa main glisse sous ma robe, il m’empoigne les fesses, touche ma chatte à travers le tissu de mon string.

1

     -Sors tes seins et caresse-toi.

Je commence à jouer avec mes seins, je me sens vraiment à l’aise, j’ai même très envie de l’exciter cet homme, la salope qui est en moi s’éveille à son contact et à ses mots. Je glisse une main sous ma robe, je me caresse la chatte, la pénètre avec mes doigts que je lèche ensuite avec avidité. Je ne vois toujours pas John, mais j’imagine bien le spectacle que je lui offre.

   -Oh N tu m’excites trop.

   -Enlève ta robe.

7

    -Mets-toi à quatre pattes.

Je laisse glisser ma robe au sol, me retrouve dans ma position préférée, John passe prêt de moi et me retire mon bandeau.

   -Tu vas pouvoir me regarder maintenant.

J’ai la tête baissée, je n’ose pas la soulever, je vois ses chaussures, il a les jambes assez écartez il est debout au-dessus de moi, je finis par relever la tête et les yeux doucement et nos regards se croisent, cet instant est magique pour moi, il m’impressionne vraiment, son regard est indescriptible, il me pénètre au plus profond de ma chair, je ressens une excitation intense, c’est extrêmement troublant pour moi.

La soumise que je suis à besoin de sentir cette force masculine et là elle se trouve debout devant moi, je me sens toute petite, presque fragile, je perçois son charisme, j’aurai voulu que cet instant dur encore et encore.

   -Va sur le matelas.

5

Je lui obéis avec plaisir, je me dirige à genoux vers le matelas, il commence à me claquer les fesses, hum j’en redemande. Maître B m’avait demandé de préparer des accessoires, que j’avais mis en évidence sur un canapé, John a pris le martinet et le paddle, j’aimais la douceur relative des liens du martinet sur mon corps, la claque du paddle est plus ferme et procure une autre chaleur. John joue avec moi, il revient très souvent sur mes seins qui le subjuguent.

Il met mon collier, je n'ai pas choisi volontairement celui que mon Maître me met habituellement, je voulais me sentir soumise à John mais avec un autre collier.

Il est debout sur le côté du matelas et je ne peux m’empêcher de regarder vers sa queue, je m’approche pour passer ma main dessus, j’ai trop envie de le sucer, je commence même à lui ouvrir le ceinturon, mais il ne veut pas.

   -Tu la veux ma queue.

Je me sens très coquine à cet instant, je lui réponds oui je la veux.

   -Tu vas attendre.

Oh quelle frustration ça ne fait que décupler mon excitation.

   -Retourne-toi maintenant je veux voir ta chatte.

Je m’allonge sur le dos, je crois que je retire mon string à ce moment-là je ne sais plus si je ne l’ai pas déjà fait avant.

Il retire son tee shirt, je peux voir son beau torse, et plonge littéralement entre mes cuisses pour me lécher, là encore je suis surprise, je ne suis pas habituée au cunni dans mes rencontres à quelques exceptions près, mais je me lâche à cette caresse si délicieuse, je tiens sa tête, je soulève mes reins pour mieux sentir sa langue, puis il s’arrête et je le vois venir vers moi pour m’embrasser avec fougue, j’aime ce baisé, je le déguste, je le fais presque naturellement, j’étais vraiment prête à vivre cette intimité avec un autre homme, je reconnais le goût de ma chatte sur ses lèvres et sa langue, ce baiser m’envoûte, il retourne me lécher, sa langue est encore plus active, mon clito gonfle de plaisir, il me brûle, je crois que je m’exprime à cet instant, je suis hors du temps, plus rien ne compte que le plaisir que je prends, je sens un spasme monter en moi, l’orgasme traverse mon corps, mes jambes tremblent, je suis bien.

Je reprends mon souffle, John se lève se déshabille rapidement je perçois une très grande excitation dans son regard, il commence à ne plus contrôler ses pulsions et me dit :

   -Viens me sucer maintenant.

Je me remets à quatre pattes et je découvre son sexe, je fais comme lui avec moi, je l’observe, je pose le bout de ma langue délicatement sur son gland au début, je veux la sentir frémir, je veux la voir se gonfler d’excitation, elle est belle sa queue, elle m’excite, je la prends en bouche doucement, mais John veut une pipe beaucoup plus sauvage que ça, il me l’enfonce plus loin dans la bouche, me tient la tête par les cheveux pour mieux diriger les mouvements, son membre est gonflé, je vois très vite que je n’arriverais pas à la prendre complètement en bouche, il est trop gros, mais je joue avec, je l’enfonce le plus loin possible et le retire d’un coup, je laisse glisser un filet de bave sur son gland avant de l’avaler de nouveau.

6

Il me dit :

   -On va prendre une photo pour ton Maître, regarde-moi.

Dommage que je doive cacher mes yeux, car mon regard en disait long sur le plaisir que je prenais à cet instant.

John a continué à baiser ma bouche, mais a eu très vite envie de me baiser tout court, il a mis un préservatif et m’a pénétré en me claquant les fesses, ses coups de reins étaient puissants, il changeait le rythme, s’enfonçait loin en moi puis s’arrêtait, ça me rendait folle, je lui disais continue, mais il voulait laisser monter encore plus le désir, il me demandait de le sucer encore, pour que je sente le goût de ma mouille, je mettais sa queue entre mes gros seins et léchait son gland en même temps que mes va-et-vient, je crois que nous étions en symbiose, chacun voulant donner du plaisir à l’autre.

Il m’a demandé de m’allonger sur le dos, a soulevé une de mes jambes pour me pénétrer de nouveau, ce que j’ai vu dans son regard m’a énormément troublée, impossible de pouvoir vous faire passer l’intensité du moment par des mots tellement c’était fort, l’excitation à son paroxysme qui se transforme presque qu’en trait de douleur, je n’avais jamais vu ça dans le regard d’un homme, quelle satisfaction de pouvoir lui apporter cela, je me sentais belle, désirable, soumise et tellement salope. Il m’a dit après que je lui avais fait perdre le contrôle, chose très rare chez lui, je pense que c’était à cet instant.

Je regardais régulièrement la caméra, je pensais à mon Maître qui me regardait, j’imaginais son excitation de me voir prendre autant de plaisir dans cette rencontre si innovante pour moi.

Je ne sais combien de temps il m’a prise, moi aussi j’ai perdu le contrôle, je me retrouvais aussi vite à quatre pattes que sur le dos, sa queue me pénétrant, les liens du martinet s’abattant sur tout mon corps, le paddle et ses mains qui claquaient mes fesses, ses coups de reins qui me faisaient tourner la tête, j’ai fini par lui dire que j’allais jouir que je n’en pouvais plus, j’étais dans un lâcher prise totale, où même ma pudeur pour m’exprimer n’existait plus, j’ai laissé sortir mon plaisir sans retenue, John a joui dans un râle profond qui venait de loin.

Nous avons repris nos esprits et John m’a demandé de venir lui lécher de nouveau sa queue remplie de son sperme, j’ai aimé le goût de son plaisir, je le léchais doucement, il se détendait en sentant ma langue sur sa queue apaisée.

Quand je l’ai raccompagné à la porte, je n’ai pas résisté à l’embrasser de nouveau, une pulsion instinctive de ma part qui l’a peut-être surpris.

Les amateurs de D/S pur vont peut-être être déçu, mais sachez que pour moi, c’était une rencontre magique. Maître B était très fier de moi et vraiment très heureux de m’avoir vu apprécier autant cette intimité avec John, me voir le toucher, me voir l’embrasser, me voir lui obéir aussi, car même si j’ai osé des gestes envers John, j’avais toujours cette envie de me soumettre à lui. C’est en moi, j’aime que Maître B m’offre de la sorte.

4

Après le départ de John, je me suis reposée un peu puis j’ai pris une douche, je voulais me faire belle pour le retour de Maître B, j’ai mis une robe et des sous-vêtements très sexy, nous nous sommes installés confortablement sur un canapé et avons pris un verre tout en discutant de cette rencontre. Il a voulu connaitre tous mes ressentis, il m’a donné les siens, je voyais une bosse dans son pantalon, mes mots l’excitaient, son regard commençait à changer, il a déboutonné ma robe pour faire apparaitre mes seins qu’il a léchés avec envie, j’ai sorti sa queue de son pantalon, j’avais envie de le sucer, notre excitation était palpable, il m’a vite entrainé sur le matelas et m’a prise avec une intensité encore plus forte que d’habitude, je vois qu’il retire une excitation particulière quand il m’offre à un homme, son plaisir est décuplé, cela me réjouit de lui apporter cela, nous avons joui au même moment, c’est tellement grisant.

Merci Maître pour tous ces bons moments, notre complicité ne fait que se renforçer au fil du temps, nous ne faisons qu'un, votre soumise qui aime vous procurer du plaisir.

Merci John pour cette rencontre magique.

 Soumise N

 

 

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