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PROGRESSION D'UNE SOUMISE

PROGRESSION D'UNE SOUMISE
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21 février 2022

OFFERTE EN CADEAU D'ANNIVERSAIRE

OFFERTE EN CADEAU 
Nous étions en vacances et je me doutais que Maître B allait organiser quelque chose, mais j'étais loin de m'imaginer ce qu'il m'a annoncé.
Il me dit un matin :
- C'est l'anniversaire de Manu (Le mari d'Amandine, voir article précédent), j'ai décidé de t'offrir à lui en cadeau, il va venir à la maison et il fera ce qu'il veut de toi, je te veux bien obéissante.
J'écoute mon Maître parlé, mais je reste dubitative, je me demande s'il est en train de me faire une blague pour me troubler. Il paraît très sérieux, je suis très surprise et commence à lui poser des questions.
- Amandine va venir avec lui Maître.
- Non, il viendra seul.
- Mais Maître comment va-t-elle prendre cette rencontre.
- Ne t'occupe pas de ça, il est d'accord et a très envie de venir, Amandine est une bonne soumise, elle fera ce que je lui demande, alors ne discute pas.
- Bien sûr cette rencontre sera différente des autres pour toi, il n'est pas habitué à dominer les femmes.
Maître B a validé ma tenue le matin de la rencontre, je devais porter un soutien-gorge et un string noir en dentelle, un serre taille noir et doré, des bas résilles, une petite robe noire et mes escarpins à talons, ainsi que mon collier rouge et ma laisse.

1

J'étais un peu stressée, toujours cette appréhension de ne pas plaire, le fait que nous ne nous connaissions pas, je ne savais pas vraiment ce qu'il pouvait aimer, je trouvais cela perturbant qu'Amandine ne soit pas là.
Je savais que ce n'était pas un homme qui connaissait le D/S, cela me déstabilisait un peu, car j'ai plus souvent rencontré des hommes plutôt dominants.
L'heure arrive, je vais dans la chambre un peu avant, j'aime m'immerger dans le lieu, j'ai mis de la musique, Maître B est dans le salon avec Manu, je les entends discuter, mais je ne comprends pas ce qu'ils se disent. Maître B m'a envoyé un message dès que Manu est arrivé pour me dire :
- Mets-toi en position salope.
- Oui Maître.
Je suis debout en face de la porte, les jambes écartées, les mains derrière le dos et la tête  baissée et j'attends.
J'aime cette attente, elle m'excite, je guette le bruit des pas, mais ils discutent toujours, je perds la notion du temps. Puis des pas approchent, la porte s'ouvre, je sens ma respiration s'accélérer, je n'ose pas regarder cet homme au début.
Maître B s'approche de moi, attrape ma laisse et dit à Manu :
- Je te présente ton cadeau, tu ne dis pas bonjour à Manu N.
Je lâche un petit bonjour très bas.
- Plus fort on ne t'entend pas.
- Il te plait ton cadeau Manu.
Je ne sais plus ce qu'il a répondu, j'étais trop troublée, il semblait assez intimidé par la situation.
Maître B a écarté mon string pour vérifier l'état de ma chatte et a dit :
- Le stresse l'empêche de mouiller au début cette petite salope, mais rassure-toi, ça vient vite, tu peux la toucher si tu veux. J'ai entendu Manu dire, tu n'es pas la seule à angoisser N.
Il s'est approché, il a caressé mes seins à travers ma robe, j'ai senti ses mains sur ma peau, il tournait autour de moi, il s'est légèrement penché pour me caresser les jambes, il a glissé sa main sous ma robe pour frôler ma chatte, je me suis légèrement cambrée.

2

Il ne disait rien, Maître B le regardait faire.
- Tu peux déballer ton cadeau si tu veux, et te mettre à l'aise.
Il s'est déshabillé, Maître B me tenait par le collier, je trouvais ça excitant d'être considérée comme un cadeau avec qui on va jouer.
Manu s'est approché et m'a dit timidement :
- Comment s'enlève ta robe N, il devait être vraiment troublé.
J'ai décidé de l'aider, je l'ai retiré moi-même.
Il est venu se placer derrière moi, j'ai senti la chaleur de son corps, j'ai beaucoup aimé ce moment, je sentais son souffle dans mon cou, ses lèvres effleuraient ma peau, il s'est collé encore un peu plus tout en attrapant mes seins pour les caresser.
J'ai senti sa queue bien dure contre moi, ça m'a excité aussitôt et rassuré aussi, je me suis dit que je devais lui plaire pour provoquer chez lui cet effet.
Je n'ai pas résisté, j'ai touché sa belle queue, je passais mes mains dessus de bas en haut, je la caressais doucement ainsi que ses couilles, son sexe était doux, il continuait à parcourir mon corps.

3

Je crois qu'il a touché ma chatte aussi, je me penchais en arrière pour mieux sentir son corps contre moi, Maître B était assis dans un canapé et nous fixait, je me sentais bien excité de le voir nous regarder de la sorte.
Manu est venu devant moi, il m'a retiré mon string et s'est mis au sol pour pouvoir goûter ma chatte, hum sa langue était douce, je me suis laissé faire avec plaisir. J'ai posé mes mains sur sa tête tout en me cambrant encore plus, je crois même que je lui enfonçais mes ongles dans la tête, j'espère que je ne lui ai pas fait mal.

4

Maître B est venu se placer derrière moi pour me tenir par les bras, j'aimais me sentir entre ces deux hommes, la langue de cet homme continuait à me donner du plaisir et le geste d'autorité de Maître B m'excitait.
Il s'est relevé et m'a demandé de me mettre sur le lit.
Je me suis allongée sur le dos, j'ai écarté mes jambes et il est revenu vers ma chatte pour continuer à me lécher, je sentais mon clito me brûler, je sentais sa langue glisser sur mes lèvres, revenir à mon clito, j'ai tourné la tête et vu le regard de Maître B qui profitait du spectacle, il prenait des photos de temps en temps. J'ai reposé mes mains sur sa tête, j'appuyais dessus pour encore mieux sentir sa langue, j'avais envie de lui dire fouille ma chatte avec tes doigts, car ça m'excite beaucoup, mais je n'ai pas osé.
Quand j'ai senti mon orgasme arriver, j'ai regardé mon Maître et lui ai dit :
- Je vais jouir Maître.
- Vas-y salope, lâche-toi, tu peux jouir.
J'ai laissé la vague de plaisir parcourir mon corps, j'ai resserré mes cuisses sur la tête de Manu. Il a senti qu'il devait arrêter, mon clito était trop sensible.

5

J'ai à peine eu le temps de reprendre mes esprits, que j'ai entendu Maître B dire :
- Manu doit avoir envie de se faire sucer maintenant.
Je me suis relevée tout de suite, Manu s'est installé sur le dos et je me suis mise à genoux au sol, j'aime cette position, sa queue était déjà bien gonflée, je l'ai prise en bouche doucement, j'ai essayé de l'enfoncer assez loin, je revenais sur son gland que je mouillais bien, je la reprenais en bouche, je le branlais aussi par moment, j'ai regardé ses yeux, il semblait aimer ce que je lui faisais.
Je suis descendue vers ses couilles que j'avais envie de lécher, elles étaient très douces. Ma main lui caressait le ventre et lui pinçait les tétons.

6

Maître B est venu à côté de moi, il a posé sa main sur ma tête pour diriger le mouvement, il voulait voir cette queue me baiser la bouche, il accélérait le mouvement, je sentais son gland cogner le fond de ma gorge. C'était très excitant pour moi de me sentir guider par mon Maître à cet instant.
J'ai fini par dire à Maître B que j'avais envie que Manu me baise.
- Tu veux sentir sa queue salope, me dit-il.
- Oui Maître.
- Alors mets-toi en position.
Je suis montée sur le lit pour me mettre à quatre pattes et leur présenter mon cul et ma chatte.
Maître B me fixait et me tenait par la laisse.
J'entendais Manu se débattre avec le plastique de la boîte de préservatif, il n'avait pas pensé à en sortir un avant, ce qui est préférable, car ça peut vite casser le rythme.
J'ai d'abord senti ses doigts toucher ma chatte, j'ai commencé à gémir, j'avais très envie de le sentir en moi, puis c'est sa belle queue qui est rentrée, je la sentais bien, il a commencé des va-et-vient, il se demandait sans doute quel rythme adopter avec moi, ne me connaissant pas je le sentais hésitant Maître B lui a dit :
- Tu peux lui tenir les cheveux, ça l'excite beaucoup.
Il a approché sa main de ma tête, mais les a juste effleuré, je regardais Maître B qui m'observait, j'aimais son regard excité, j'aimais me faire baiser devant lui, je sentais la chaleur dans mon ventre, je crois que je mouillais beaucoup plus qu'au début.
Maître B est venu se mettre devant moi, il a sorti sa queue, j'ai compris tout de suite ce que je devais faire, je l'ai prise en bouche avec excitation, le sucer et me faire baiser était un régal pour moi.
Mais assez rapidement il est retourné sur le canapé pour nous regarder, j'ai senti le plaisir revenir, Manu posait ses mains sur mes fesses, j'aimais les sentir, j'aurais aimé qu'il les claque à cet instant, j'aurais aimé sentir un côté plus sauvage, mais je comprends qu'il n'est pas osé, ne me connaissant pas vraiment. Je gémissais de plus en plus, j'ai à nouveau dit à Maître B que j'allais jouir, je ne sais plus s'il m'a dit que je pouvais le faire ou bien juste fait un signe de tête pour m'y autoriser.

7

J'ai laissé le plaisir envahir mon corps.
C'est après que j'ai perçu que Manu était déstabilisé, le préservatif semblait vraiment le gêner, il bandait moins aussi, il m'a demandé de me mettre sur le dos, j'ai bien vu qu'il se débattait avec quelque chose, il fermait les yeux, sans doute pour se concentrer pour faire revenir son excitation, il pensait peut-être à Amandine, je ne sais pas, j'ai voulu l'aider en lui disant que j'avais aimé qu'elle me lèche à notre dernière rencontre, qu'elle était douée avec sa langue, mais je voyais que ça n'allait pas, Maître B lui a demandé s'il préférait qu'il sorte, Manu a dit non et a commencé à s'excuser.
Le pauvre semblait vraiment gêné, ça m'ennuyait beaucoup, j'aurais aimé lui donner plus de plaisir, mais je comprenais aussi la situation. Nous avons voulu dédramatiser. Je me suis dit qu'il s'était mis trop de pression, et que le cerveau est implacable, plus un homme désire bander moins il y arrive dans certaines situations. Il n'était pas habitué à faire des rencontres libertines et les deux dernières qu'ils avaient faites avec Amandine ne s'était pas très bien passées, il avait sans doute ça en tête.
Je ne me suis pas flagellée en me disant que c'était moi qui ne l'excitait pas, s'il n'avait rien ressenti vis-à-vis de moi, il n'aurait même pas eu un début d'érection, ce n'est pas ce que son regard dégageait en plus.
Pourquoi tant de libertins n'aiment pas les one shot, ça vient de là, à mon avis, ils savent que ce n'est pas à la première rencontre que l'on peut se lâcher entièrement, et c'est tellement humain.
Le fait de me laisser guider est sans doute beaucoup plus facile pour moi, d'où les jouissances que je peux en tirer, et avec l'expérience je sais aussi que l'orgasme n'est pas toujours la finalité d'une rencontre, que l'on peut prendre beaucoup plaisir sans jouir.
J'ai cru comprendre que cet homme a peut-être eu une image du sexe plus classique, qu'il a été initié par les films pornos qui sont loin d'être représentatifs de la réalité.
Bien sûr que certaines femmes n'attendent que des performances sexuelles hors du commun et des grosses queues, mais pas moi, c'est beaucoup plus profond pour moi, c'est un ensemble de choses qui me permettent d'aimer les rencontres. Les émotions de Manu m'ont touché, lui faire vivre quelque chose d'inédit aussi, car c'était beaucoup de première fois pour lui, rencontrer une inconnue, dans un lieu inconnu et en présence d'un autre homme.
J'étais très attristée d'apprendre le lendemain par Amandine  que son mari avait ressenti de la honte en rentrant chez lui, il n'est resté que sur ses difficultés et a à peine raconté ce qui c'était passé à sa femme.
Je lui ai écrit très rapidement pour le rassurer, que j'avais pris beaucoup de plaisirs, que ses troubles étaient justifiés et que surtout nous n'étions pas des robots mais tout simplement des humains avec nos émotions. Cela m'a rassuré d'apprendre que ce sentiment de honte a disparu et qu'il a réalisé qu'il avait également pris du plaisir, même si cela ne s'est pas terminé comme il l'aurait souhaité.
J'ai aimé être son cadeau d'anniversaire, une expérience nouvelle pour moi, Maître B aime me surprendre, me troubler, m'exciter avec des situations inédites, je suis heureuse d'être sa soumise, avec lui tout devient possible pour des plaisirs partagés.
Merci Maître.
Soumise N
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14 février 2022

MAÎTRE B ET SES DEUX SOUMISES (partie2)

 

LE COLLIER D'AMANDINE.

 Maître B a organisé une rencontre avec Amandine, elle devait se présenter sur un parking près d’un lac à une heure précise. C’était la première fois qu’elle allait le voir, elle me disait que plus la date approchait plus elle se sentait troublée.

 J'étais relativement sereine ce jour-là, je ne ressentais pas les mêmes émotions que j'ai pu avoir avant certaines rencontres où je pouvais être entre deux mondes. Je savais que les émotions fortes allaient être plus pour cette jolie salope que pour moi.

 Bien sûr, je me posais des questions, comment allais-je réagir avec elle, est ce que j'allais supporter de voir Maître B la toucher, est ce que j'allais y prendre du plaisir etc.… mais sans vraiment stresser.

 J'ai aimé prendre le temps de me préparer, je me suis douchée, habillée avec un fond de musique douce, le jazz doux sera pour moi toujours apparenté à des rencontres, lors de séances, je mets toujours ce genre de musique. 

 J'aime beaucoup l'avant en fait, en m'habillant sexy je me sens plus féminine, plus désirable, je n'ai pas eu de crise de complexes cette fois-ci. Possible que le fait qu'Amandine ait des rondeurs également m'a rassuré.

 Maître B avait choisi ma tenue au préalable, une tunique noire très courte avec des boutons sur le devant, un soutien-gorge qui ne cachait que partiellement mes seins, un string ouvert, des bas et mes bottes à talons. Il m'avait offert quelques jours auparavant un nouveau collier rouge, que j'étais fière de porter. J'ai dû lui envoyer les photos pour qu'il valide ma tenue.

N4

 

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 Sur la route j'essayais d'en savoir un peu plus auprès de Maître B quant au rôle qu'il voulait que je prenne. Une façon de me rassurer un peu sans doute, car je commençais à ressentir des émotions plus fortes.

 Nous lui avions donné rendez-vous sur le parking de la base nautique près du lac, nous sommes arrivés un peu avant pour avoir le temps de repérer un endroit discret, parce que Maître B désirait nous faire sortir de la voiture également. 

 Après avoir trouvé l'endroit, nous sommes allés la chercher, Maître B s'est garé de façon à ce qu'elle ne puisse pas nous voir. Amandine lui avait envoyé un SMS pour le prévenir qu'elle était arrivée.

 Il la prévient qu'elle doit attendre les yeux fermés. Initialement je devais aller la chercher, lui mettre un bandeau sur les yeux et la ramener à l'arrière de notre voiture, mais il y avait trop de monde. Nous avons donc décidé de juste lui demander de fermer les yeux. 

 Quand je suis arrivée près de sa voiture, j'ai pu voir qu'elle respirait très vite, elle tremblait de tout son corps, je l'observais à travers la vitre, elle avait bien suivi mes conseils, elle avait soulevé sa robe afin que ses fesses soient directement sur son siège, elle avait les jambes bien écartées.

 J'ai ouvert la porte doucement, elle a légèrement sursauté, j'aimais vraiment ce moment, voir ses troubles était vraiment excitant, je n'ai rien dit au début, j'ai touché son cou tout doucement, un frisson a parcouru son corps. Ses émois étaient réellement palpables. Au bout d'un moment je lui ai dit :

 - Bonjour Amandine, tu vas sortir de la voiture et prendre tes affaires.

 - Ferme tes yeux maintenant je vais t'amener à Maître B.

 Je la tenais par le bras, ses jambes tremblaient, sa respiration était rapide, j'ai ouvert la portière et l'ai aidé à monter à l'arrière de la voiture, je lui ai mis le bandeau. Elle a dit bonjour à Maître B, un petit bonjour Maître très timide, elle ne le voyait pas mais était impressionnée de se retrouver devant lui.

 Je suis montée à côté d'elle, je lui ai fait comprendre avec ma main qu'elle n'écartait pas assez les jambes, elle s'est ravisée tout de suite.

 Je m'aperçois en écrivant ce texte que je devais être troublée, car Maître B m'avait demandé de poser sa tête sur mes jambes pendant le trajet et j'ai oublié de le faire.

J'ai ouvert son manteau pour qu'elle se sente encore plus déstabilisée.

Nous avons roulé 5 minutes, Maître B a arrêté la voiture et nous regardait toutes les deux. Il a dit à Amandine qu'elle était belle comme ça. Il a pris son temps pour nous observer, il devait être heureux de voir ses deux soumises côte à côte.

- N tu vas me dévoiler cette petite salope.

- Oui Maître.

Je me suis approchée d'elle, je lui ai retiré son manteau, j'ai commencé à frôler sa peau, je passais ma main sur ses seins par-dessus sa robe, sa respiration s'accélérait, j'ai pincé ses tétons à travers le tissu.

J'ai glissé ma main vers son string. Maître B m'a demandé dans quel état il était.

- Très humide Maître.

- Très bien j'aime savoir que mes soumises mouillent.

J'ai continué à jouer avec elle, j'ai baissé le haut de sa robe pour faire apparaître son beau soutien-gorge blanc, je lui ai sorti un sein assez énergiquement, je voulais la surprendre.

- Regardez Maître comme elle a de beaux seins votre soumise.

- Oui N ce sont de belles mamelles.

J'ai sorti l'autre sein, elle était belle comme ça, je lui pinçais fort un téton.

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- Tu peux les lécher si tu veux N.

Je ne me suis pas fait prier, j'avais très envie de les prendre en bouche, elle a de gros tétons en plus, je les aspirais, les mordillais, les léchais, elle gémissait, Maître B se délectait du spectacle.

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Au bout d'un moment, il est sorti de la voiture et a ouvert la portière du côté d'Amandine.

Il a posé une main très ferme sur son sein, elle a sursauté, ça devait être très puissant dans sa tête, c'était la première fois que son Maître la touchait. Il malaxait ses gros seins, je continuais à jouer avec aussi, il a descendu sa main vers son string.

- Oh, mais elle est trempée cette petite salope.

- N enlève lui son string.

- Oui Maître.

Elle se retrouve les seins sortis, la chatte à l'air, Maître B y introduit des doigts, j'entends le bruit de sa mouille, elle se cambre, je lui mords les tétons en même temps, c'est un jeu à 4 mains, elle est très très excitée, très troublée, j'aime voir Maître B la fouiller de la sorte, cela m'excite beaucoup. Il lui claque les seins, j'entends des humm sortir de la bouche d'Amandine, elle semble aimer cette petite chienne.

Moi aussi je dirige mes doigts vers sa chatte, elle dégouline. 

Maître B sent qu'elle est déjà très haut dans son excitation, il calme le jeu, il ne veut pas qu'elle jouisse tout de suite.

Il nous demande de sortir de la voiture, il l'a prise par le bras pour l'aider à sortir, elle a toujours le bandeau. Il dispose une couverture au sol devant la voiture et lui dit de se mettre à genoux.

Je vois immédiatement qu'elle ne prend pas la bonne position, ses bras devraient être croisés derrière son dos et non le long de son corps, mais je ne dis rien, j'aurai dû, c'était un peu mon rôle aussi.

C'est à ce moment-là que je me suis sentie un peu perdue, je ne savais pas trop quoi faire, j'aimais ce que je voyais, je trouvais ça excitant, mais ne pas avoir de directives de la part de Maître B m'a un peu déstabilisé.

J'avais un peu froid, je suis allée chercher ma veste, et j'ai pris mon portable, je me suis dit que j'allais prendre des photos. Je regardais un peu partout aussi, pour surveiller.

Il lui touchait tout le corps pour la déstabiliser.

Il lui a retiré son bandeau, elle a cligné des yeux, elle était belle aux pieds de son Maître, il a sorti le collier et lui a dit :

- Je vais te mettre ton collier. 

Elle a baissé la tête.

- Tu es mon appartenance maintenant.

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Elle tremblait, elle était très perturbée, c'était son 1er collier, c'est très fort pour une soumise, je savais ce qu'elle était en train de ressentir.

J'ai été un peu surprise, j'ai trouvé qu'il était allé un peu vite pour ce moment, je pensais qu'il allait instaurer une sorte de jeu avec moi pour cet instant, j'ai ressenti une certaine déception. Je sais que ce n'était pas intentionnel, le lieu n'était pas propice à être complètement serein, je pense qu'il sait dit qu'il valait mieux aller assez vite.

- Tu es heureuse de porter ce collier soumise.

- Oui beaucoup Maître.

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- Mets-toi à quatre pattes petite chienne.

Je suis à côté, je la regarde, elle relève bien son cul c'est bien, il commence à lui donner des fessées, elle semble vraiment apprécier.

- Tu veux avoir le cul bien rouge salope.

- Oui Maître.

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Il continuait à la fesser, il a pris la cravache j'entendais les coups s'abattent sur son cul. 

J'ai aimé le voir la doigter énergiquement, j'ai aimé voir son cul devenir de plus en plus rouge.

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Maître B lui a demandé si ça allait, ne connaissant pas ses limites, il voulait s'assurer qu'il n'allait pas trop loin. 

- Tu te souviens du code Amandine.

Elle ne répondait pas, elle paraissait complètement partie dans son plaisir de recevoir cette correction.

Il répète sa question.

- Non Maître, dit-elle timidement.

Il lui rappelle que si elle trouve qu'il va trop loin elle doit prononcer une couleur, ce qui aura pour effet un arrêt immédiat.

Mais elle n'avait pas du tout l'air d'avoir envie de lui dire stop au contraire.

Je m'amuse avec ses seins par moment, je viens lui pincer les tétons.

Il joue avec elle, je vois dans son regard qu'elle est partie dans ce monde que je connais bien, où plus rien ne compte à part ce qu'on est en train de vivre.

Il décide d'arrêter.

- Amandine mets-toi à genoux.

- N vient te mettre à genoux devant elle.

- Oui Maître.

Je me positionne devant elle, Amandine voit tout de suite que je mets mes mains derrière le dos, elle fait aussitôt la même chose, intérieurement cela me fait sourire, je me dis qu'elle est attentive, elle percute aussitôt qu'elle n'a pas la bonne position.

Maître B attache nos laisses aux colliers et les tiens fermement.

- Voilà mes belles soumises, j'aime vous voir en laisse comme cela. Il prend une photo par-dessus nos têtes.

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A cet instant je reprends mon rôle de soumise, et j'en suis heureuse. 

- Allez debout, retournez dans la voiture, il nous tient toujours et nous fait marcher comme cela.

- Amandine je suis fier de toi, tu vas avoir une récompense, tu vas pouvoir t'occuper de N.

Je vois immédiatement un petit sourire gourmand sur le visage d'Amandine, elle ne simule pas c'est certain, je perçois son envie de moi, cela me rassure, je me laisse guider avec plaisir. Son cadeau semble vraiment l'exciter.

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Il lui dit d'ouvrir mon chemisier, mes seins apparaissent, elle vient m'embrasser, puis prend mes tétons en bouche, je me cambre légèrement, la caresse est douce c'est très agréable. Elle glisse sa main vers ma chatte, elle me déguste. Maître B voyant qu’on n’était pas à l'aise, me demande de me déplacer, je m’allonge à moitié le dos collé à une portière et j'écarte mes jambes, Amandine est à genoux au sol, elle ne peut s'empêcher de venir goutter ma chatte avec sa langue. Je suis bien, je suis détendue, je me laisse aller à cette bouche de femme, elle me touche les seins aussi.

- Enlève lui ses boules Amandine.

Maître B m'avait demandé d'en mettre avant de partir.

Elle était très habile, elle me léchait toujours tout en retirant mes boules tout doucement, ça m'a beaucoup excité, ses doigts ont remplacé les boules, elle faisait des va-et-vient, je gémissais de plus en plus, Maître B tenait ma laisse, je lui ai fait comprendre que j'avais besoin de sentir qu’il me tenait bien serré par le collier. Je voyais son regard, il était excité de me voir ainsi, il s'occupait du cul d'amandine en même temps, je crois qu'il la fouillait avec ses doigts, un moment je lui ai demandé de la fesser, je voulais entendre son cul claquer, quand il la fessait elle écrasait littéralement son visage sur ma chatte et me léchait encore plus vigoureusement. Le bruit des coups, sa langue sur mon clito et ses doigts en moi, ont eu raison de mon plaisir, j'ai senti mon orgasme arriver.

- Tu peux jouir N.

Une douce vague a parcouru mon corps, j'ai resserré mes cuisses sur le visage d'Amandine, elle continuait à lécher mais mon clito était trop sensible, j'ai repoussé sa tête doucement.

J'étais bien, je ne bougeais plus.

- C'est très bien Amandine, tu es une bonne soumise.

Maître B m'a laissé reprendre mes esprits et m'a dit au bout d'un moment :

- Tu crois qu'Amandine a mérité de jouir N.

- Oui Maître.

- Alors tu vas t'occuper d'elle maintenant salope.

- Oui Maître.

C'était un instant très perturbant pour moi, je n'avais pas vraiment peur, c'était très curieux, je ne savais pas encore si j'allais y arriver et y prendre du plaisir, je n'avais pas cette petite étincelle de désir de lécher une chatte comme j'ai pu voir dans le regard d’Amandine, j’aurais aimé l'avoir mais comme je n'avais pas peur, je me suis lancée.

Je n'avais qu'un mètre à faire pour arriver à sa chatte c'est à dire rien, mais ce moment où je me suis relevée pour aller vers elle était vraiment particulier pour moi, j'ai du mal à le décrire, cet instant que j'avais fantasmé bien des fois, allait devenir réalité, j'ai croisé le regard de Maître B, ce qui m'a encouragé, je voulais le faire pour lui aussi, je voulais découvrir la sensation de lécher un clito et des lèvres. C'était doux et très humide, elle mouillait vraiment beaucoup cette petite salope. Je cherchais son clito, je n'étais pas sûr d'avoir posé ma langue dessus, cela m'a un peu décontenancé, j'ai introduit des doigts dans sa chatte trempée, je faisais des va-et-vient tout en continuant à la lécher, elle semblait aimer, Maître B a posé une main sur ma tête pour me faire comprendre de continuer. 

- C'est ça N, vas-y lèche la bien cette salope.

Il savait que j'attendais ce geste, que j'en avais besoin, que je l'avais fantasmé.

Je me concentrais sur le plaisir d'Amandine, je me sentais maladroite, je n'étais pas très à l'aise non plus il faut dire. J'avais le sentiment d'aller trop vite, une vraie débutante. J'étais tellement absorbé par le fait d'essayer de bien la lécher que je ne l'ai pas entendu jouir. Maître B m'a dit :

- Tu peux arrêter N.

J'ai franchi une étape et pas la moindre, quand une attirance n'est pas innée, ce n'est pas si évident que cela de la réaliser, je suis fière d'avoir réussi à combattre mes craintes, j'ai aimé lui donner du plaisir, j'ai aimé le faire pour mon Maître, j'ai aimé découvrir ce jeu saphique. Une porte s'est ouverte dans mon cerveau, Maître B peut être fier de lui.

Je sais qu'à l'avenir tout sera plus facile pour moi, je ne peux pas dire que la lécher a provoqué une grande excitation chez moi car j'appréhendais de le faire, mon cerveau n'a pas réussi à lâcher prise à cet instant, la peur d'être trop maladroite aussi, toutes ces craintes étaient un frein au plaisir réel, mais la prochaine fois je serais plus rassurée, je pourrais sans doute mieux me laisser aller à découvrir cette belle salope.

J'ai aimé voir le plaisir que Maître B a pris en nous regardant, c'était beau. D'ailleurs il en a oublié de prendre des photos, il a préféré profiter du spectacle excitant que ses deux soumises jouait sous ses yeux.

Nous nous sommes assises et Maître B est venu se placer entre nous deux.

- Vous êtes mes belles salopes.

- Avez-vous mérité ma queue.

Je réponds aussitôt :

- Oui Maître.

J'ai besoin de ce côté masculin aussi.

- Embrassez-vous.

Nous nous sommes penchées devant Maître B pour nous embrasser, c'était très doux, nos langues se touchaient, cela devait bien exciter notre Maître.

Il a sorti sa queue qui était déjà gonflée et a dit :

- Vas-y Amandine suce là, tu ne la connais pas encore.

Amandine ne s'est pas fait prier, elle a avalé son membre rapidement, il lui tenait la tête par les cheveux, pour s'enfoncer plus loin, il a reculé sa tête en disant :

- A toi N maintenant suce moi.

J'ai pris la place d'Amandine, je le suçais avidement, il a joué comme cela un certain temps, il profitait de nos bouches successivement, je trouvais ça très excitant. Puis il a voulu les deux bouches sur sa queue et ses couilles, je les lui léchais pendant qu'Amandine s'activait sur son membre dur. Nous avons alterné, jusqu'à ce que notre Maître dise :

- N je vais jouir dans ta bouche, ensuite tu vas partager mon sperme avec Amandine.

J'ai gardé son plaisir sans l'avaler puis j'ai embrassé Amandine pour lui partager le sperme de notre Maître, elle l'a goûté avec gourmandise. 

Je n'ai pas résisté ensuite à lui dire :

- Vas-y nettoie sa queue maintenant, un ordre qui m'est venu naturellement sur une chose que j'aime faire, mais là j'avais envie de la voir le faire, ça m'excitait.

Elle s'est appliquée, j'étais fière d'elle.

- C'est bien vous avez été de belles soumises bien obéissantes.

 Maître B est sorti de la voiture pour nous laisser seules, j'ai demandé à Amandine comment elle se sentait, elle semblait encore être sur une autre planète, ses émotions sortaient par tous les pores de sa peau. J'étais heureuse de la voir heureuse. Je savais qu'elle venait de vivre quelque chose de très fort, c'est intéressant aussi de participer à son évolution, j'ai aimé que Maître B m'intègre dès le début de cette relation pour l'aider à progresser. Je découvre une autre facette de moi, celle où je peux aussi devenir plus directive avec une autre soumise, c'est nouveau et excitant.

Maître B m'avait demandé d'emmener un jouet que j'utilise pour le prêter à Amandine, sur le coup j'avais trouvé sa demande gênante, je me disais que ce n'était pas facile d'utiliser le jouet d'une autre femme, même si bien sûr ils sont parfaitement nettoyés, on touche à l'intimité absolue. Il a demandé la même chose à Amandine, une façon de provoquer de nouveaux troubles chez nous.

Nous avons raccompagné Amandine à sa voiture et Maître B nous a demandé d'échanger nos jouets. J'ai choisi mon vibro Wonder Wand, je connais bien ce jouet et je sais que les vibrations ne peuvent que nous apporter du plaisir, c'est avec lui que j'ai dû apprendre le contrôle d'orgasme, je peux vous dire que cela demande une maîtrise totale pour ne pas craquer. Inconsciemment j'ai sans doute choisi ce jouet en sachant que Maître B allait lui faire travailler son contrôle d'orgasme avec, car Amandine ne connait pas cette frustration qui amène ensuite à un plaisir encore plus intense.

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Je lui ai prêté des livres également. Je reste une inconditionnelle de la cérébralité et les mots peuvent provoquer des effets incroyables, d'où ce choix.

Amandine m'a tendu un sac que j'ai ouvert devant eux, mes yeux se sont écarquillés quand j'ai vu qu'elle avait choisi une main en silicone noir et un beau double gode. La main m'a laissé un peu dubitative car je savais déjà que je ne pourrais pas la rentrer dans ma chatte, mes lecteurs fidèles sauront pourquoi.

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Par contre le double gode ne m'a pas laissé indifférente, une image d'une scène que j'avais vu dans le film Requiem for a dream, m'est venue aussitôt, où on voyait deux femmes à 4 pattes sur une table avec un double gode dans leurs chattes, leurs fesses se touchaient quand elle l'enfonçait complètement, cette scène m'avait excité, je n'ai pu que m'imaginer faire la même chose avec Amandine devant Maître B.

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 Vous ne sentirez sans doute pas dans cet article, les émotions fortes que j'ai l'habitude de vivre et que j'essaye de vous partager dans l'écriture de mes articles, mais sachez que même si cette expérience était très différente pour moi, j'ai ressenti une multitude de sensations, parfois excitantes, parfois déstabilisantes, un vrai mélange de sentiments très passionnants.

J'espère avoir réussi à faire ressortir les émotions qu'Amandine a vécues, c'est plus difficile de mettre des mots sur les émotions des autres.

La prochaine rencontre se déroulera dans un endroit beaucoup plus intimiste, Maître B sera plus détendu pour s'occuper de nous, où il n'y aura pas de risques d'être surpris. Je me ferais un plaisir de vous raconter cette séance qui s'annonce haute en sensations.

Soumise N

 

2 février 2022

MAÎTRE B ET SES DEUX SOUMISES

 

Première rencontre avec Amandine.

collier

Mon Maître a eu la chance de trouver cette jeune femme qui s'appelle Amandine sur un site, très rapidement il a perçu qu'elle avait un intérêt très prononcé pour la soumission. Il sentait qu'elle avait un beau potentiel pour devenir une belle soumise prête à lui obéir. Son mari était d'accord pour la laisser vivre cette relation qu'il ne pouvait lui apporter. Maître B a échangé avec lui pour connaître ses attentes également, ses limites aussi. Il souhaitait instaurer une relation à quatre, où chacun y prendrait du plaisir.

Il m'a expliqué qu'il souhaitait que je participe à son dressage et sa progression, qu'il souhaitait que ce soit un vrai partage. Je ne cache pas qu'il a dû me rassurer au début, voir cette soumise arriver dans la vie de mon Maître n'était pas si simple que ça pour moi. La jalousie était présente, un sentiment que je déteste ressentir, il gâche tout. Maître B était conscient de mon mal-être et a su me rassurer, il ne me cachait rien de leurs échanges, me faisait voir les photos qu'elle lui envoyait, me demandait aussi d'échanger avec elle.

J'ai très rapidement compris que cette jalousie n'avait pas lieu d'être, car au-delà de dresser une autre soumise, ce qui l'intéressait beaucoup dans cette relation, était de continuer à me faire progresser également. Il savait que mon rapport aux femmes était assez complexe, il voulait ouvrir une nouvelle porte chez moi. Il savait que je fantasmais sur les femmes, que j'avais envie d'aller plus loin dans les jeux saphiques mais que je ne savais pas comment les aborder. Et Amandine avait très vite montré à Maître B l'attirance qu'elle avait envers les femmes.

Maître B souhaitait instaurer entre Amandine et moi une belle complicité, comme j'avais pu connaître avec AL à une époque. Il voulait que je la guide, que je la conseille, car tout comme AL elle était débutante dans le monde du BDSM. Il a décidé de programmer une rencontre entre nous, il voulait voir si nous allions avoir un bon feeling toutes les deux. Une rencontre où nous pourrions parler sans retenue, c'est un Maître intelligent, il savait que si cette rencontre se passait bien, il pourrait envisager d'aller plus loin. 

Rendez-vous pris à 14h un jour en semaine.

Amandine m'attendait dans le salon de thé, elle portait une robe noire moulante sans manche avec un beau décolleté, des bas noirs et des escarpins à talons. Je savais que Maître B avait choisi un ensemble blanc transparent pour ses dessous, d'ailleurs qu'elle a acheté spécialement pour Maître B qui lui avait juste dit qu'il aimait les sous-vêtements transparents, une bonne petite soumise qui a voulu faire plaisir à son Maître.

Maître B lui avait demandé de trouver un endroit tranquille, elle s'était installée au fond de la pièce où il y avait 2 gros fauteuils confortables. 

J'étais assez sereine en fait dans ma voiture, sans doute beaucoup plus qu’Amandine, c'est là que je vois que j'ai pris de l'assurance. 

Elle avait peur d'arriver en retard à 13h30 elle était déjà arrivée. Je pense qu'elle a aimé cette attente, seule avec ses pensées, en scrutant l'entrée pour me voir arriver. 

Dès que je l'ai vu je me suis dit, hum je la trouve encore plus jolie en réel qu'en photo. Un très beau sourire sur ses lèvres, elle s'est levée pour m'accueillir, je la sentais intimidé. Je l'ai mise à l'aise très vite, en lui retournant mon plus beau sourire également. Par contre comme Maître B avait choisi une robe sans manche, elle s'est présentée à moi comme cela, je lui aie dit tout de suite, mais tu dois avoir froid, remet vite ton gilet, elle pensait que l'ordre était de porter juste la robe je suppose, Maître B peut être exigeant mais quand même il s'adapte aux saisons aussi. 

Nous avons accroché tout de suite, les discussions se sont enchaînées naturellement, les fauteuils étaient positionnés de façon que nos genoux pouvaient se toucher et surtout nous pouvions parler de tout assez discrètement.

J'ai perçu une jeune femme heureuse de vivre ce début de relation D/S avec nous, très intimidée par Maître B aussi, très désireuse de continuer, très excitée par tout ça. Elle voulait connaître mes débuts dans ce monde, elle sentait que je vibrais quand je lui racontais certaines histoires, je l'ai conseillé, je lui ai fait un peu peur aussi (la bonne peur), en lui disant que Maître B allait passer à la vitesse supérieure. 

Elle se trémoussait sur son fauteuil, ses boules de geisha que Maître B lui avait ordonné de mettre avant de partir, la perturbaient pas mal, c'était plaisant à voir. 

Maître B nous envoyait des messages par moment, je la voyais rougir, des questions du style, alors comment trouves-tu N, aimes-tu son décolleté, as-tu envie de lui toucher les seins, comment est ta chatte, tu mouilles petite salope etc... 

J'ai senti sa main me caresser la jambe, Maître B venait de lui ordonner de le faire, elle avait la main douce je me laissais faire j'aimais cela, ce que j'aimais par-dessus tout c'était de voir ses troubles. 

En revenant des toilettes elle a déposé près de moi son string, je lui ai dit ah Maître B est passé par là. Elle n'osait plus desserrer ses jambes. Il m'avait demandé de faire en sorte qu'elle puisse voir le mien, mais c'était compliqué vu nos positions. 

Au fur et à mesure nous nous rapprochions l'une de l'autre naturellement, on se frôlait, on se regardait droit dans les yeux avec des sourires qui en disaient long. 

Consigne de Maître B, quand vous sortirez, tu fais monter Amandine dans ta voiture et tu cherches un coin tranquille, ouh là la mais que veut-il que l'on fasse. 

Je suis troublée j'avoue, je ne sais pas vraiment comment me comporter avec les femmes, avec les hommes c'est beaucoup plus simple pour moi. 

Amandine reçoit des directives mais les gardent pour elle, je la sens très excitée, surtout que ça fait déjà 3 h que nous parlons sexe. 

Je trouve un coin qui semblait tranquille au fond d'un grand parking, il fait très froid, je laisse un peu le moteur tourner pour avoir le chauffage. 

Je parle beaucoup à ce moment-là, je suis troublée, je ne sais pas ce que Maître B a demandé à Amandine de faire, je lui avais expliqué avant la rencontre que je ne souhaitais pas que ses demandes aillent trop loin, qu’on ne se connaissait pas, que les jeux devaient vraiment se cantonner à une caresse dans le décolleté mais guère plus si le feeling était passé. Je garde mon fantasme premier qui reste de découvrir les jeux saphiques en présence de Maître B, pas seule avec une femme. Je sais qu'au final c'est toujours le Maître qui décide, mais Maître B était conscient qu'il ne fallait pas aller trop vite non plus.

Nous parlons de nos sous-vêtements, je baisse ma robe pour lui montrer mon superbe soutien-gorge, je lui dis que c'est un cadeau de Noël, elle se rapproche de moi, mon trouble s'accentue, elle ne résiste pas à caresser ma peau juste au-dessus des seins, elle a la main très douce, elle me caresse la nuque aussi, je me laisse faire, je sens sa bouche dans mon cou, elle dépose des baisers très doux, je suis très troublée, je lui demande si c'est ce que Maître B lui a demandé de me faire. Elle me dit oui avec son très beau sourire, je perçois qu'au-delà d'obéir à Maître B elle y prend un réel plaisir, cela me rassure, plus de problème avec mon âge, dans le bar elle m'avait déjà dit qu'elle me trouvait belle et que notre différence d'âge ne lui posait aucun problème. 

Je sens sa main sur ma cuisse, elle me dit qu'elle trouve les bas très doux qu'elle adore ça. Instinctivement je me tourne légèrement pour la regarder dans les yeux, et là j'ai juste envie de l'embrasser, j'attrape son menton tout doucement pour attirer ses lèvres vers les miennes et y déposer de petits baisers très doux, c'est très sensuel, je sens toujours sa main qui caresse ma cuisse et qui remonte un peu plus vers ma chatte mais sans la toucher, je ne résiste pas à plonger ma main dans son décolleté, son soutien-gorge ne couvre pas le haut de ses seins, je peux les caresser facilement, elle a la peau très douce, c'est vraiment excitant de la sentir s'abandonner à cette caresse, je remonte ma main dans sa nuque tout doucement, elle se penche légèrement pour mieux la sentir, je reviens vers ses gros seins, je n'arrive pas à arrêter de les fixer, que sa peau est douce. 

Nous recommençons à discuter un peu, on parle épilation, elle soulève sa robe sans aucune gêne apparente pour me montrer sa chatte toute lisse avec juste un v de poils que Maître B lui avait demandé de garder. Elle me dit aimer sentir la douceur de sa chatte. Je n'arrive pas pour autant à la toucher, je suis intimidée. J'entends une notification de message, c'est Maître B qui demande comment ça se passe. 

Je lui réponds très bien Maître.

Je lui envoie une photo de ma main posée sur le sein d’Amandine.

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Il écrit en même temps à Amandine, elle est tout excitée de recevoir des messages de notre Maître. 

Il me demande si je lui ai montré mon string, je réponds non, montre-lui tout de suite dit-il, un ordre qui ne saurait être contredit. 

Je dis à Amandine en rougissant légèrement que je dois lui montrer mon string, j'écarte les jambes, je soulève ma robe et lui explique que c'est un string ouvert, elle le trouve très beau, car elle s'est penchée sans aucune gêne pour le voir de plus près, moi je suis vraiment perturbée à ce moment-là, je redescends rapidement ma robe.

N3

 

Nouveau message, enlève ton string, j'hésite il m'avait dit qu'il n'y aurait pas de jeux comme ça, cela me trouble vraiment. J'obéis en continuant à parler beaucoup pour cacher mon émotion. Amandine profite du spectacle avec plaisir et excitation, ce jeu lui plait beaucoup, à moi également d'ailleurs mais je suis plus réservée, N est timide à ce moment-là. 

Maître B m'appelle en Visio, il apparait sérieux et autoritaire, Amandine change d'attitude, elle est très intimidée j'adore ça. Alors mes belles salopes comment ça se passe nous demande-t-il, très bien Maître, il voit notre sourire et notre complicité qui s'est déjà créé, il semble très satisfait, me connaissant bien il se dit qu'il peut pousser le jeu plus loin. 

Amandine caresse la chatte de N, oui Maître, mon cœur s'emballe, je me laisse faire, j'écarte mes jambes et je sens ses doigts écarter mes lèvres pour trouver mon clito, j'ai baissé le téléphone pour que Maître B voit bien, je perçois son excitation il ne peut dégager son regard, cela m'excite encore plus, je commence à gémir, que ses doigts sont doux, mon clito gonfle, elle regarde si je mouille, j'oublie l'environnement à cet instant, Amandine est excitée par ce qu'elle me fait, j'entends sa respiration s'accélérer, et le fait que Maître B nous dirige l'excite beaucoup aussi je le sens. 

Ses doigts font rouler mon clito avec habilité et douceur, je ferme même les yeux un moment, je sens la chaleur de son corps, c'est vraiment très sensuel.

Des bruits d'enfants qui crient, nous ramène à la réalité. Elle retire sa main, les enfants sont loin, je décide de continuer le jeu, je soulève le téléphone pour que Maître B puisse voir nos sourires et je lui dis, regardez Maître comme elle a de beaux seins votre petite salope, ma main commence à les caresser, Maître B ne rate pas un instant du spectacle, Amandine se laisse faire, je sors un sein complètement, oh regardé Maître comme elle a de beaux tétons, ils sont gros vous allez pouvoir jouer facilement avec Maître. Oui N tu as raison dit-il. Je ne peux m'empêcher de le lui pincer entre mes doigts, il est dur, ça m'excite beaucoup de le toucher, si je n'entendais pas les enfants crier je crois que je l'aurai pris en bouche, j'en avais vraiment très envie, je l'aurai léché, mordillé avec plaisir, je continuais à caresser son gros sein, qu'il était doux. C'était un moment vraiment excitant, je m’enhardissais avec plaisir j'aimais cela. Le fait que Maître B nous regarde à tout de suite déclencher quelque chose en moi, j'ai senti mon clito me brûler comme j'aime temps, et intérieurement je me suis dit, N tu vas pouvoir aller beaucoup plus loin en réel avec Amandine devant Maître B, c'est la bonne personne. 

Nous avons dû arrêter, trop de personnes autour, Maître B nous a dit qu'il était très fier de nous, je voyais à cet instant que c'était vraiment un Maître heureux et très excité pour la suite. 

Quand j'ai éteint le téléphone, Amandine s'est détendue, j'adore voir l'effet que Maître B lui fait, c'est exactement ce qu'il faut, elle va devenir une très belle soumise, elle est parfaite pour nous, et je suis vraiment heureuse car elle correspond exactement à ce que Maître B cherchait. 

J'ai vraiment passé un merveilleux après-midi, c'était une très belle rencontre, touchante et excitante. Amandine est une belle personne, voir le plaisir qu'elle prend à découvrir ce monde est très grisant pour moi et Maître B bien sûr. C'était déjà une belle étape, cela m'a permis de voir le désir qu'elle a pour moi, j'avais besoin de ça pour pouvoir me lâcher plus facilement, car je ressens également du désir pour elle maintenant, mes appréhensions sont tombées, et je réalise qu'une femme peut m’exciter. J'ai vraiment hâte de vivre la suite.

Soumise N 

 

 

6 octobre 2021

DE LA DOUCEUR À L’AUTORITÉ

 Vous êtes nombreux à me demander quand il y aura un nouvel article, je prends donc ma plume pour vous donner de mes nouvelles qui se sont fait rare ces derniers temps je m’en excuse auprès de mes lecteurs fidèles.

L’été est passé très vite et une nouvelle occupation a fait que les rencontres se sont espacées.

J’ai eu quelques visites de Chris que je n’avais pas vu depuis longtemps, des rencontres décidées avec Maître B bien sûr.

L’attirance sexuelle que nous avons l’un envers l’autre n’avait pas diminué, je me suis vite retrouvée à genoux devant lui avec sa queue dans la bouche, j’étais même très excitée par son côté plus directif, son regard noir qui ne laissait aucun doute sur ses intentions de me prendre sauvagement.

Il m’a baisé il n’y a pas d’autre terme, je me suis retrouvée à quatre pattes sa main me fouillant la chatte ou me claquant les fesses qui sont devenues bien rouge.  J’étais très excitée de le sentir en moi, son membre dur me pénétrant sauvagement qui m’a fait jouir rapidement. J’aimais l’entendre prendre du plaisir, puis retirer son préservatif et me demander de venir lui nettoyer la queue avec ma bouche, la douceur de cet instant où je sens le goût de son plaisir, où ma langue lèche lentement pour ne rien oublier, où les corps sont apaisés.

L’avantage de ces rencontres est que l’on se connaît bien, on sait d’instinct ce qu’aime l’autre, il n’y a plus de place aux hésitations, juste de la place à du sexe débridé. Il m’appelle salope je l’appelle homme, un jeu entre nous qui nous plait.

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Maître B a commencé à me parler d’une rencontre différente, il avait envie de me procurer des sensations jusque-là inconnues, il souhaitait me voir avec un homme qui saurait me faire vivre une expérience alliant douceur et autorité, un côté sensuel et sauvage. J’étais assez désappointé quand il m’a dit cela, moi qui n’aie connu pratiquement que des relations basées sur le D/S où la douceur n’est pas vraiment d’actualité, je ne savais comment je pouvais percevoir cette intimité avec un autre homme que mon Maître. Il m’a dit choisi cet homme, j’ai tout de suite pensé à John un homme avec qui j’échangeais depuis deux ans sur un site libertin et sur Skype. Dès le début de nos échanges j’ai senti une attirance pour John, mais je ne savais pas comment l’exprimer, il a toujours su me faire sentir son désir pour moi, son attirance pour mon côté soumise, il me disait fantasmer sur moi et sur ce qu’il aurait envie de me faire, ses mots étaient puissants de sens.

Je lui ai donc demandé s’il avait toujours ce désir d’une rencontre, j’étais consciente qu’après deux ans, il aurait pu se lasser, mais non, il m’a dit qu’il serait honoré de pouvoir enfin me voir. Ils ont parlé avec Maître B qui lui a expliqué les grandes lignes de la rencontre qu’il aimerait.

Le rendez-vous fût pris pour un après-midi, dès le début de la journée je me sentais déjà très fébrile, dans un espace-temps différent de d’habitude, un regard sur l’heure qui revient régulièrement en me disant plus que 3 h, plus que 2 h… Bien sûr, quelques appréhensions me venaient, la peur de le décevoir, la peur que je ne lui plaise pas ou que je ne sois pas à la hauteur de ses fantasmes. J’ai pris mon temps pour me préparer, je me délectais de cet avant, Maître B a choisi ma tenue, une jolie robe noire avec des bretelles argentées, un soutien-gorge très sexy qui ne cache que partiellement mes seins, un joli string en dentelle, j’ai hésité à mettre mon serre-taille qui cache mon ventre, le fait d’hésiter m’a fait dire que je commence à m’accepter et John avait tellement su me rassurer sur son attirance pour moi que j’ai dû inconsciemment me dire qu’il aimerait aussi mes défauts physiques, mais je l’ai mis quand même cela m’a rassuré. J’ai mis de belles chaussures à talons hauts et de longues boucles d’oreilles argentées. Je me sentais désirable, j’avais très envie de leur plaire.

J’avais prévenu John que ce ne serait sans doute pas une rencontre comme il avait l’habitude de faire, que j’avais l’habitude de me laisser guider, de ne pas beaucoup m’exprimer, que cela pouvait le déstabiliser, mais il était très attiré justement par mon comportement naturel de soumise.

3

13 h 30, je les attends debout les mains derrière le dos, un bandeau sur les yeux avec les jambes légèrement écartées. J’ai chaud ou peut-être froid je ne sais plus, je frissonne, mon cerveau s’emballe, que va-t-il se passer, j’ai un peu peur, l’adrénaline monte, les pas dans le couloir, mon cœur s’emballe, la porte s’ouvre, mes jambes tremblent, que j’aime ça.

Maître B s’approche de moi, je sens sa main sur mon bras, le frisson s’accentue, il lui dit :

   -Voilà N ma soumise, je vais te la confier comme prévu.

J’entends la voix de John pour la première fois, une belle voix d’homme, un ton très doux, très calme et rassurant, je me détends déjà.

   -Oh quelle est belle dit-il.

Mes appréhensions s’évaporent comme par magie.

Maître B s’en va, il m’avait dit qu’il nous laisserait seuls, mais qu’il regarderait via la caméra, cela m’excitait.

John me frôle, il tourne autour de moi, il m’observe, je sens sa chaleur, ses mots sont forts, il me trouve encore plus belle que sur les photos, que mes seins sont envoûtants, qu’il avait tellement espéré cette rencontre. Je suis très fébrile à cet instant, je sens sa main sur ma cheville qui remonte le long de ma jambe, il me caresse lentement, un frisson parcours mon corps, j’ai envie de cette caresse. Il vient se placer derrière moi, je me colle à lui, j’ai envie de le sentir contre moi, je me surprends moi-même, il me dit :

   -Tu sens l’effet que tu me fais N.

   -Oui je le sens John.

Son sexe était déjà gonflé d’excitation, mais je savais qu’il allait prendre son temps, et que pour avoir sa queue il faudrait que je la mérite.

Je sens ses mains empoigner sauvagement mes seins, je sursaute je ne m’y attendais pas, j’aime sentir sa puissance masculine sur moi.

Il joue longtemps avec moi passant de la caresse aux gestes autoritaires, j’adore ce contraste, Maître B avait encore raison en organisant une rencontre comme celle-ci.

Il va s’asseoir sur un canapé et me demande de tourner doucement sur moi-même, je m’exécute, je peux m’imaginer son regard sur moi, ça m’excite terriblement, sa main glisse sous ma robe, il m’empoigne les fesses, touche ma chatte à travers le tissu de mon string.

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     -Sors tes seins et caresse-toi.

Je commence à jouer avec mes seins, je me sens vraiment à l’aise, j’ai même très envie de l’exciter cet homme, la salope qui est en moi s’éveille à son contact et à ses mots. Je glisse une main sous ma robe, je me caresse la chatte, la pénètre avec mes doigts que je lèche ensuite avec avidité. Je ne vois toujours pas John, mais j’imagine bien le spectacle que je lui offre.

   -Oh N tu m’excites trop.

   -Enlève ta robe.

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    -Mets-toi à quatre pattes.

Je laisse glisser ma robe au sol, me retrouve dans ma position préférée, John passe prêt de moi et me retire mon bandeau.

   -Tu vas pouvoir me regarder maintenant.

J’ai la tête baissée, je n’ose pas la soulever, je vois ses chaussures, il a les jambes assez écartez il est debout au-dessus de moi, je finis par relever la tête et les yeux doucement et nos regards se croisent, cet instant est magique pour moi, il m’impressionne vraiment, son regard est indescriptible, il me pénètre au plus profond de ma chair, je ressens une excitation intense, c’est extrêmement troublant pour moi.

La soumise que je suis à besoin de sentir cette force masculine et là elle se trouve debout devant moi, je me sens toute petite, presque fragile, je perçois son charisme, j’aurai voulu que cet instant dur encore et encore.

   -Va sur le matelas.

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Je lui obéis avec plaisir, je me dirige à genoux vers le matelas, il commence à me claquer les fesses, hum j’en redemande. Maître B m’avait demandé de préparer des accessoires, que j’avais mis en évidence sur un canapé, John a pris le martinet et le paddle, j’aimais la douceur relative des liens du martinet sur mon corps, la claque du paddle est plus ferme et procure une autre chaleur. John joue avec moi, il revient très souvent sur mes seins qui le subjuguent.

Il met mon collier, je n'ai pas choisi volontairement celui que mon Maître me met habituellement, je voulais me sentir soumise à John mais avec un autre collier.

Il est debout sur le côté du matelas et je ne peux m’empêcher de regarder vers sa queue, je m’approche pour passer ma main dessus, j’ai trop envie de le sucer, je commence même à lui ouvrir le ceinturon, mais il ne veut pas.

   -Tu la veux ma queue.

Je me sens très coquine à cet instant, je lui réponds oui je la veux.

   -Tu vas attendre.

Oh quelle frustration ça ne fait que décupler mon excitation.

   -Retourne-toi maintenant je veux voir ta chatte.

Je m’allonge sur le dos, je crois que je retire mon string à ce moment-là je ne sais plus si je ne l’ai pas déjà fait avant.

Il retire son tee shirt, je peux voir son beau torse, et plonge littéralement entre mes cuisses pour me lécher, là encore je suis surprise, je ne suis pas habituée au cunni dans mes rencontres à quelques exceptions près, mais je me lâche à cette caresse si délicieuse, je tiens sa tête, je soulève mes reins pour mieux sentir sa langue, puis il s’arrête et je le vois venir vers moi pour m’embrasser avec fougue, j’aime ce baisé, je le déguste, je le fais presque naturellement, j’étais vraiment prête à vivre cette intimité avec un autre homme, je reconnais le goût de ma chatte sur ses lèvres et sa langue, ce baiser m’envoûte, il retourne me lécher, sa langue est encore plus active, mon clito gonfle de plaisir, il me brûle, je crois que je m’exprime à cet instant, je suis hors du temps, plus rien ne compte que le plaisir que je prends, je sens un spasme monter en moi, l’orgasme traverse mon corps, mes jambes tremblent, je suis bien.

Je reprends mon souffle, John se lève se déshabille rapidement je perçois une très grande excitation dans son regard, il commence à ne plus contrôler ses pulsions et me dit :

   -Viens me sucer maintenant.

Je me remets à quatre pattes et je découvre son sexe, je fais comme lui avec moi, je l’observe, je pose le bout de ma langue délicatement sur son gland au début, je veux la sentir frémir, je veux la voir se gonfler d’excitation, elle est belle sa queue, elle m’excite, je la prends en bouche doucement, mais John veut une pipe beaucoup plus sauvage que ça, il me l’enfonce plus loin dans la bouche, me tient la tête par les cheveux pour mieux diriger les mouvements, son membre est gonflé, je vois très vite que je n’arriverais pas à la prendre complètement en bouche, il est trop gros, mais je joue avec, je l’enfonce le plus loin possible et le retire d’un coup, je laisse glisser un filet de bave sur son gland avant de l’avaler de nouveau.

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Il me dit :

   -On va prendre une photo pour ton Maître, regarde-moi.

Dommage que je doive cacher mes yeux, car mon regard en disait long sur le plaisir que je prenais à cet instant.

John a continué à baiser ma bouche, mais a eu très vite envie de me baiser tout court, il a mis un préservatif et m’a pénétré en me claquant les fesses, ses coups de reins étaient puissants, il changeait le rythme, s’enfonçait loin en moi puis s’arrêtait, ça me rendait folle, je lui disais continue, mais il voulait laisser monter encore plus le désir, il me demandait de le sucer encore, pour que je sente le goût de ma mouille, je mettais sa queue entre mes gros seins et léchait son gland en même temps que mes va-et-vient, je crois que nous étions en symbiose, chacun voulant donner du plaisir à l’autre.

Il m’a demandé de m’allonger sur le dos, a soulevé une de mes jambes pour me pénétrer de nouveau, ce que j’ai vu dans son regard m’a énormément troublée, impossible de pouvoir vous faire passer l’intensité du moment par des mots tellement c’était fort, l’excitation à son paroxysme qui se transforme presque qu’en trait de douleur, je n’avais jamais vu ça dans le regard d’un homme, quelle satisfaction de pouvoir lui apporter cela, je me sentais belle, désirable, soumise et tellement salope. Il m’a dit après que je lui avais fait perdre le contrôle, chose très rare chez lui, je pense que c’était à cet instant.

Je regardais régulièrement la caméra, je pensais à mon Maître qui me regardait, j’imaginais son excitation de me voir prendre autant de plaisir dans cette rencontre si innovante pour moi.

Je ne sais combien de temps il m’a prise, moi aussi j’ai perdu le contrôle, je me retrouvais aussi vite à quatre pattes que sur le dos, sa queue me pénétrant, les liens du martinet s’abattant sur tout mon corps, le paddle et ses mains qui claquaient mes fesses, ses coups de reins qui me faisaient tourner la tête, j’ai fini par lui dire que j’allais jouir que je n’en pouvais plus, j’étais dans un lâcher prise totale, où même ma pudeur pour m’exprimer n’existait plus, j’ai laissé sortir mon plaisir sans retenue, John a joui dans un râle profond qui venait de loin.

Nous avons repris nos esprits et John m’a demandé de venir lui lécher de nouveau sa queue remplie de son sperme, j’ai aimé le goût de son plaisir, je le léchais doucement, il se détendait en sentant ma langue sur sa queue apaisée.

Quand je l’ai raccompagné à la porte, je n’ai pas résisté à l’embrasser de nouveau, une pulsion instinctive de ma part qui l’a peut-être surpris.

Les amateurs de D/S pur vont peut-être être déçu, mais sachez que pour moi, c’était une rencontre magique. Maître B était très fier de moi et vraiment très heureux de m’avoir vu apprécier autant cette intimité avec John, me voir le toucher, me voir l’embrasser, me voir lui obéir aussi, car même si j’ai osé des gestes envers John, j’avais toujours cette envie de me soumettre à lui. C’est en moi, j’aime que Maître B m’offre de la sorte.

4

Après le départ de John, je me suis reposée un peu puis j’ai pris une douche, je voulais me faire belle pour le retour de Maître B, j’ai mis une robe et des sous-vêtements très sexy, nous nous sommes installés confortablement sur un canapé et avons pris un verre tout en discutant de cette rencontre. Il a voulu connaitre tous mes ressentis, il m’a donné les siens, je voyais une bosse dans son pantalon, mes mots l’excitaient, son regard commençait à changer, il a déboutonné ma robe pour faire apparaitre mes seins qu’il a léchés avec envie, j’ai sorti sa queue de son pantalon, j’avais envie de le sucer, notre excitation était palpable, il m’a vite entrainé sur le matelas et m’a prise avec une intensité encore plus forte que d’habitude, je vois qu’il retire une excitation particulière quand il m’offre à un homme, son plaisir est décuplé, cela me réjouit de lui apporter cela, nous avons joui au même moment, c’est tellement grisant.

Merci Maître pour tous ces bons moments, notre complicité ne fait que se renforçer au fil du temps, nous ne faisons qu'un, votre soumise qui aime vous procurer du plaisir.

Merci John pour cette rencontre magique.

 Soumise N

 

 

17 juin 2021

LE JOUET DE MAÎTRE D

Le jouet de Maître D

Le mardi qui a suivi ma rencontre avec Simon, mon Maître avait prévu de me confier à Maître D pour l'après-midi.

J'ai reçu quelques directives de sa part la veille.

Je veux ta chatte lisse, ton cul devra être accessible, tu mettras une robe, des chaussures à talons et pas de culotte. Tu devras porter ton collier que tu cacheras avec un foulard pour arriver à l'hôtel. Tu devras te présenter à 14h30 précise.

Je suis soulagée de voir qu'il ne me demande pas de porter des bas, car il fait très chaud, il en a tenu compte. Je décide de porter mon serre-taille et un soutien-gorge n'ayant pas eu de directives contraires, je me garde bien de lui poser la question car j'ai dû mal à sortir sans soutien-gorge cela m'arrange. Une soumise doit être maligne parfois.

Mon Maître a accepté que mon pubis soit lisse même s'il préfère que je garde un peu de poils en temps normal. C'est même lui qui l'a rasé, j'aime ce moment où je m'allonge sur le lit en écartant mes cuisses. Il s'applique pour donner à ma chatte l'apparence qu'il souhaite, parfois il termine en la fouillant avec ses doigts ou il passe sa main sur mes lèvres toutes douces.

Je suis heureuse de retrouver Maître D, la dernière rencontre était déjà loin. Le fait de le connaître atténue mes appréhensions d'avant rencontre comme cela m'arrive. Il me connaît bien, il sait ce que j'aime, il sait quelle soumise je suis.

Je pars avec un peu d'avance je ne peux pas me permettre d'être en retard et j'ai 45 minutes de route. En montant dans ma voiture, instinctivement je soulève ma robe pour m'asseoir sur le siège, une règle établie dans le D/S, une soumise se doit de le faire. 

J'arrive sur le parking, je préviens mon Maître que je suis arrivée.

- Très bien salope, maintenant tu vas être bien docile avec Maître D, je te veux bien chienne, allez va.

- Oui Maître.

Je dois mettre mon collier avant de prévenir Maître D que je suis arrivée, mais une voiture s'arrête juste à côté de la mienne, une femme est au téléphone et ça n'en finit pas, je vois l'heure arriver, un instant de panique m'envahit, si elle ne part pas je vais devoir le mettre devant elle. Je me demande déjà ce que les gens vont penser en voyant que je porte un foulard par un temps pareil, il fait vraiment très chaud. Soulagement la femme repart enfin. Je mets mon collier, mes yeux sont partout de peur d'être vue, c'est assez excitant en fait. Maître D vient me chercher, il me voit m'empêtrer à essayer de mettre ce foulard et finit par me dire de retirer le collier.

- Tu vas le mettre dans la chambre.

- Merci Maître.

Dans la chambre je lui demande si je peux aller me rafraîchir et aller aux toilettes.

- Enlève ta robe d'abords et laisse la porte ouverte.

Je m'exécute, il me scrute du regard, j'en suis un peu gênée, j'attends qu'il me dise que je peux y aller.

Je suis tout de suite mise en condition, une soumise n'a pas d'intimité en présence du Maître, même pour aller faire pipi, d'ailleurs il rentre dans la salle de bain pour prendre quelque chose, je baisse les yeux. 

Je reviens dans la chambre, je reste debout, il reprend son inspection visuelle. 

- Mains derrière le dos, écartes les jambes.

Je m'exécute.

- Très bien soumise.

1 blog bis

Tout au long des demandes de positions diverses, Maître D me donne des coups de martinet, de paddle, des claques sur les fesses etc..., je me laisse guider, j'aime cela.

- Tourne toi et montre-moi ton cul.

Je me penche en avant, je pose mes mains sur les genoux.

- Hum tu as toujours un beau cul, il ne peut s'empêcher de le toucher.

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Il veut tester ma docilité, je n'ai aucun mal à exécuter ses ordres, même si ces derniers mois ont été plus calmes dans les pratiques, ma nature de soumise s'exprime très facilement.

- Mets-toi à 4 pattes que je vois bien tes orifices.

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Il prend des photos, Maître B lui a demandé de lui en envoyer pendant la séance. Je sens son pied sur le bord de ma jambe, je comprends tout de suite que je dois écarter mes jambes. Pas besoin de me le dire. Un geste, un regard suffit.

Le martinet s'active sur mes fesses, je suis excitée, Maître D vient vérifier l'état de ma chatte, il est satisfait de l'humidité qu'il y trouve.

- Lève-toi et appuie toi sur la porte, il prend son temps, il me parle, m'observe, touche mon corps, s'amuse avec moi, je suis docile bien obéissante tout ce qu'il aime chez les soumises.

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- Viens-là.

Je me retourne et me positionne devant lui en baissant les yeux.

- Retire ton soutien-gorge.

- Oui Maître.

- Tu as de belles mamelles.

Il touche mes seins, des claques arrivent dessus, je gémis. 

- Couche toi sur le sol soumise.

Maître D est en train de passer en revue toutes les positions qu'il aime, je ne peux que me plier à ses exigences, je suis son jouet sexuel pour l'après-midi.

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Je sens les lanières du martinet sur mon dos et mes fesses, j'aime cette caresse qui m'apporte de la chaleur sur le corps.

- Tourne toi petite chienne.

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- Hum ta chatte est bien lisse c'est très bien, c'est comme cela que je les aime.

Le temps semble s'être arrêté, je reste longtemps dans cette position, Maître D veut savourer chaque instant.

- C'est très bien N, tu vas t'asseoir dans le fauteuil maintenant.

Il m'aide à me relever, j'écarte bien les jambes et pose mes mains sur les accoudoirs en baissant les yeux.

J'aime être sa chose, ça m'excite, je m'abandonne à ses envies.

Il m'attache les mains et les pieds au fauteuil, pose des pinces sur mes tétons et sur mon sexe, les chaînes sont reliées entre elles. Il sait que je ne suis pas une adepte des douleurs fortes, les pinces sont douces.

Il s'aperçoit qu'on a oublié de remettre mon collier, il me le passe tout de suite.

- C'est beaucoup mieux comme ça soumise.

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Me voir ainsi doit l'exciter, il vient se mettre à ma droite, sort sa queue, tourne ma tête avec sa main et me dit :

- Vas-y prend la en bouche petite chienne.

J'avale sa queue avec excitation, je la sens gonfler sous mes coups de langue, j'aime sucer il le sait, ma bouche s'active, il tient toujours ma tête par les cheveux, ça m'excite beaucoup. Il s'enfonce loin en moi, son sexe dur est chaud et doux, je joue avec son gland bien gonflé. Il se retire, il ne veut pas aller trop vite, je sens ma chatte de plus en plus mouillée, j'ai envie qu'il me prenne mais je ne dis rien bien sûr, je suis à sa disposition c'est lui qui décide ce qui doit se passer et à quel moment.

Il sort une grosse tétine rose, cela m'amuse un peu intérieurement. Il est assis sur le lit devant moi et me dit qu'il l'a acheté dans un rayon de jouet animalier. Une façon de me dire, j'ai acheté un jouet pour toi car tu es une vraie chienne. Les Maîtres savent entretenir par ce genre de chose la condition des soumises et ça marche car quand il me l'a mis dans la bouche je me suis sentie femelle.

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- Elle te va merveilleusement bien cette tétine, avec la couleur de ta peau et de tes cheveux tu es parfaite.

Il joue avec moi et y prend du plaisir, c'est ce qui est le plus ressortit de cette séance pour moi, j'étais SON JOUET.

Il va chercher de l'eau qu'il met dans un petit bol, me retire la tétine et me dit :

- Tu dois avoir soif, boit.

Je commence à laper l'eau, encore une façon de me maintenir chienne, je bois avec plaisir, il fait chaud, il me regarde faire, quand j'arrête il fait couler le reste de l'eau sur mes seins, je sursaute l'eau est froide et mon corps tellement chaud. Il devait savoir qu'il allait faire ça car il avait mis une serviette sur le fauteuil pour le protéger. 

Il finit par me détacher et me dit de m'appuyer sur les accoudoirs, la valse des coups de martinet cravache et paddle reprend, ma chatte est remplie de mouille je le sens, mon excitation monte de plus en plus, mais quand va-t-il me prendre, je veux sentir son sexe en moi, je veux qu'il me défonce, je veux jouir sous ses coups de queue. 

Il sait me frustrer, ce qui ne fait qu'accentuer mon excitation.

Il fouille ma chatte, rentre un doigt dans mon cul, je devine qu'il va se faire plaisir avec, Maître D adore la sodomie ce n'est même pas envisageable de ne pas lui offrir. Je me cambre pour mieux recevoir ses attouchements indécents.

- Hum tu mouilles bien petite chienne.

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Une pince s'est retirée de mon téton, il la replace.

-Monte sur le fauteuil maintenant, écarte tes jambes.

Ses ordres sont fermes mais calmes, il est aguerri à ce genre de séance, c'est naturel pour lui, j'aime sentir cette assurance.

Tous ces jeux l'ont excité, j'entends le bruit de l'emballage d'un préservatif qu'on déchire.

Je me dis, enfin je vais sentir sa virilité en moi.

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Il me pénètre, je me cambre pour mieux sentir sa queue dans ma chatte, il commence des vas et vient lents, j'ai envie qu'il aille plus vite, je m'offre à son sexe, il accélère le rythme pour mon plus grand plaisir et s'arrête, oh quelle frustration pour moi, je suis partie dans un autre monde, mon corps n'est que plaisir, je veux jouir. Il veut m'enculer, il aime ma chatte mais préfère de beaucoup l'étroitesse de mon cul. Il ne prend même pas la peine de mettre du gel, j'appréhende un peu, il a du mal à rentrer, j'ai peur qu'il me pénètre d'un coup ce qui ne pourra que me provoquer de la douleur, mais c'était sans compter mon état d'excitation car sa queue rentre et ce n'est que du plaisir pour moi, il me trouve serré et dit :

- Il va falloir travailler un peu plus les dilatations.

Il commence à bouger de plus en plus vite, cela devient plus sauvage, il me tient par le collier ce qui m'étrangle un peu, le fauteuil avance tout seul sous ses coups de reins, je sens mon plaisir monter, l'orgasme n'est pas loin, tous ses mots, ses gestes et ses jeux m'ont rendu chienne bonne à enculer et il n'en s'en prive pas. 

- Ah il m'avait manqué ce cul.

Ma tête touche le mur, il tire de plus en plus sur le collier, je vais chercher sa queue pour la sentir encore plus loin en moi, je sens son ventre sur mes fesses, mon orgasme arrive, je ne respire plus, je laisse le plaisir parcourir mon corps, que c'est bon.

Il se retire et me dit de m'allonger sur le lit pour que je me repose.

Il vient m'apporter de nouveau de l'eau, je lape avec plaisir j'ai soif.

Il vient s'allonger à côté de moi sur le dos, dirige ma tête vers son sexe et me dit de le prendre en bouche pendant qu'il se repose. Ma tête est posée sur son ventre et je garde sa queue en moi, je ne bouge plus, je sens sa main sur mes cheveux, sa respiration est lente, cette position m'excite beaucoup, je suis son jouet sexuel. J'ai du mal à expliquer ce que je ressens à cet instant, le fait de me demander de faire ça provoque quelque chose de fort pour la soumise que je suis, c'est comme s'il me disait :

- Tu es là pour mon plaisir, mon sexe doit toujours être honoré, ta bouche est faite pour ça, tu dois la rendre accueillante en toute circonstance. 

Au début ma langue est calme mais c'est plus fort que moi je commence à caresser sa queue avec, il ne dit rien alors je continue, le sang afflux, elle gonfle de plus en plus, le bout de ma langue titille son gland, je l'enfonce plus loin dans ma bouche, je le suce doucement au début mais j'accélère le rythme en sentant son plaisir monter, il doit juger que je ne l'enfonce pas assez loin, il attrape ma tête et soulève ses reins pour s'enfoncer profondément dans ma bouche, son gland tape le fond de ma gorge, j'essaye de me retirer mais il ne veut pas, il me baise la bouche, j'ai des hauts le cœur, je sens l'autorité du Maître, il me force, il m'oblige, l'instinct du mâle ressort j'aime ça, la pipe est assez sauvage, je sens ma bave couler sur mon menton, j'ai des larmes qui montent.

- Tu vas finir par me faire jouir salope.

Une brûlure dans mon sexe, la queue de Maître D qui gonfle, je sens le jet chaud de son plaisir dans ma bouche, je garde sa queue en bouche avec son sperme, tout est redevenu calme, j'avale doucement son plaisir et continue à le sucer lentement, je nettoie sa queue avec application j'ai été dressé pour ça, je n'arrive pas à m'arrêter, Maître D ne dit plus rien, il savoure cette caresse douce sur son sexe apaisé.

J'aime donner du plaisir.

Nous prenons une douche, je pense qu'il va me dire qu'il n'a plus besoin de moi mais non, je dois m'habiller, il me dit qu'il va m'emmener en extérieur pour faire des photos.

Je suis déstabilisée, N n'est plus la même, mon Maître et lui le savent, d'où cette initiative, il plane toujours cette notion de progression dans les pratiques et dans l'obéissance.

Je dois le suivre en voiture, quelques kilomètres après il me fait me garer sur un parking et me dit de monter dans sa voiture. Je soulève ma robe pour poser mes fesses à même le siège et écarte mes jambes. Il remonte un peu ma robe, je n'ai pas de culotte.

Il roule depuis 10 minutes et trouve un chemin isolé près d'un bois, je ne suis pas rassurée du tout, une partie de moi est excitée par la situation mais une autre très inquiète, mais j'obéis il ne peut en être autrement.

- Enlève ton soutien-gorge.

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Je me retrouve quasi nue sous ma robe, Maître D me demande de sortir mes seins et de soulever ma robe, je suis très troublée, ma réaction peut vous semblez curieuse avec toutes les photos que j'ai mis sur mon blog, vous devez penser que je suis à l'aise pour me faire prendre en photo mais à cet instant ce n'est pas le cas du tout. Je scrute le chemin, la route est au bout, des voitures peuvent passer, je ne me trouve pas photogénique en plus. Ils veulent me faire dépasser ces appréhensions, ils veulent rendre ces exhibitions naturelles, là je suis consciente qu'ils ont été softs avec moi, l'endroit était désert je sais qu'ils auraient pu corser ce défi.

J'explique à Maître D qu'il m'est plus facile de m'exhiber dans des endroits dédiés à cela, comme des clubs libertins, je pense que ça ne tombe pas dans l'oreille d'un sourd.

Après avoir pris plusieurs photos, Maître D m'ordonne de retirer ma robe et me dit d'avancer, même en ayant mon serre-taille je me sens totalement nue, mes jambes tremblent, mes yeux sont partout,  il voit un tas de gravats près d'un champs, me dit de m'avancer à côté, il veut me prendre en photo, je ne me souviens plus de ce qu'il a dit exactement mais il aimait ce décalage de quelque chose de moche avec quelque chose de beau comme les rondeurs féminines.

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Il me demande de m'asseoir sur une dalle de béton qui se trouve à proximité, il continue à se divertir avec son jouet vivant, Maître D doit trouver cela grisant d'observer ma docilité malgré mes réticences à ce genre d'exercice, je garde en tête que je ne veux pas décevoir mon Maître, je dois être obéissante il me l'a ordonné.

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J'écarte naturellement mes jambes, l'image que je renvoie doit exciter Maître D, il m'observe. En voyant la photo j'ai vu que je lui offrais une belle vue sur ma chatte lisse. Il s'approche de moi et me dit que je le fais encore bander, tout en sortant sa queue qui se trouve à la hauteur de ma bouche.

- Vas-y suce moi encore tu m'excites comme ça.

Je prends sa queue en bouche avec excitation, à cet instant j'oublie totalement que je suis à l'extérieur et qu'une personne pourrait potentiellement me voir m'affairer sur son membre. Je m'applique à le sucer, il semble apprécier, je dois dégager inconsciemment le plaisir que je prends à faire une fellation, ce qui m'anime à cet instant est de procurer du plaisir à Maître D,  rien d'autre ne compte, je suis là pour ça, c'est mon rôle, Maître B m'a éduqué pour ça.

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J'ai espéré secrètement voir arriver mon Maître pendant cette séance extérieure, malheureusement cela ne s'est pas produit. 

J'ai dû retourner à la voiture toujours à moitié nue, une voiture est passée au loin, mon cœur s'est emballé, mes jambes flageolaient sous le sol chaotique, je me suis dit, décidément N tu n'es vraiment pas la même en extérieur. 

Maître D m'a dit de remettre ma robe mais pas le soutien-gorge, nous avons discuté jusqu'à ce qu'il me dépose près de ma voiture. Il libérait son jouet.

J'ai envoyé un message à mon Maître pour le prévenir que j'allais rentrer.

Il me dit :

- Non reste où tu es.

Je devine qu'il va me rejoindre, il peut me géolocaliser avec mon téléphone, je suis heureuse de le voir arriver. Je l'embrasse et le remercie de m'avoir offert cette rencontre avec Maître D, nous discutons un moment et je lui demande si je peux monter dans son véhicule pour me changer, car j'avais anticipé en préparant un sac avec des vêtements en sachant que mon fils allait être à la maison quand j'allais rentrer.

Il me répond :

- Non je ne veux pas, va dans le bois en face pour te changer.

Maître B veut continuer le jeu, je conteste légèrement mais il ne veut rien savoir. L'endroit est beaucoup moins discret que celui avec Maître D, mais je ne peux pas arriver comme cela chez moi, je rentre dans le bois et je m'éloigne, mais je vois toujours le parking et les voitures qui passent sur la route, tant pis je me dis que si quelqu'un me voit et que ça ne lui plaît pas il n'a qu'à pas regarder.

Je retire ma robe et mon serre-taille, met mon soutien-gorge et un string, je vois mon Maître m'observer ça m'excite, et j'enfile une autre robe sans manche, je change également de chaussures, je me suis dépêchée bien sûr mais sans plus, je me suis dit que j'avais fait une belle progression car il y a 3 ans j'en aurai été incapable. Maître B est satisfait, il me le fait savoir en passant sa main sous ma robe et en me disant :

- Je vais te baiser ce soir petite salope.

J'ai écrit à Maître D pour le remercier de m'avoir consacré du temps et pour lui dire que ce qui était ressortit de cette séance à l'écriture de l'article était cette notion d'avoir été son jouet sexuel, c'est vraiment le sentiment que j'ai eu. Il m'a répondu :

Jouet sexuel c'est un joli rôle en effet que tu interprètes avec talent.

Je te propose une pensée/règle te concernant : 

"je dois m'exhiber quand et où il me le demande en appréciant le regard lubrique que je déclenche auprès des hommes"


Bonne soirée ma salope

Maitre D

Une pensée/règle pleine de promesses pour moi.

Soumise N

 

 

 

 

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1 juin 2021

UNE BELLE DECOUVERTE

Une belle découverte

Après ces quelques mois de doutes, de désillusions et de déceptions qui m’ont fait me poser beaucoup de questions sur ce que j’avais envie de vivre dans le monde D/S, j’ai fini par remonter doucement, pour m’apercevoir que je ne peux me passer de la soumission, elle fait partie de moi et j’y reviens toujours. J’ai besoin de me sentir docile dans le sexe, j’aime me sentir soumise, j’aime me sentir salope, j’aime être cette femme qui s’expose indécemment et qui suce une queue avidement pour donner du plaisir. J’aime que mon Maître m’impose ce que je dois faire, avec lui ou avec ceux à qui il m’offre, j’aime obéir, j’aime m’abandonner, j’aime jouir, je suis N…

Je parle avec Simon depuis très longtemps, cet homme plus jeune que moi m’a toujours fait sentir que je lui plaisais, il est très cérébral lui aussi, nous avions parfois des conversations sur Skype qui tournaient en scénarios très chauds pour notre plus grand plaisir, nous aimons les mots, nous aimons nous exciter en imaginant les plaisirs mutuels que l’on pouvait s’apporter. Il a été très patient avec moi, il a écouté mes bas, il a aimé mes hauts. Quelque chose m’attirait chez lui mais je ne l’exprimais pas vraiment, jusqu’au jour où j’ai osé en parler à mon Maître, je sentais que j’avais besoin de reprendre confiance en moi et je sentais que Simon pouvait être cet homme pour recommencer nos jeux avec des personnes extérieures. Mon Maître avait envie d’aller vite, il voulait me surprendre, il me sentait m’ouvrir, il me sentait désireuse de redevenir une belle salope qui obéit. Il a organisé la rencontre très rapidement, il m’a prévenu la veille pour le lendemain, chose assez rare. Quand j’ai lu son message :

   - Demain tu vas te présenter à l’hôtel Ibis, tu devras être à genoux les jambes écartées face à la porte d’entrée de la chambre et être bien docile à 12h30 précise.

Je venais de passer ma journée avec une amie et j’avoue que je ne m’attendais pas à ce message, la surprise passée mon cerveau a commencé à s’imaginer ce qui allait se passer, j’ai tout de suite deviné que c’est Simon que j’allais rencontrer, vu nos conversations des jours d’avant. J’étais d’autant plus surprise que le matin même j’avais reçu un mail d'un Maître que je connais déjà, qui m’annonçait qu’il m’avait loué à mon Maître pour le mardi suivant. Deux rencontres très rapprochées pour moi qui n’avaient pas vécu d’expériences depuis un long moment, cela me déstabilisait mais me plaisait aussi. Maître B voulait taper fort, il voulait réveiller N.

Ma nuit a été agité, des images venaient à moi, des actes que Simon avait souvent évoqués dans nos dialogues, je me sentais déjà excité.

Le matin de la rencontre je me sens très fébrile, des doutes arrivent, je ne peux m’empêcher de me dire que Simon peut être déçu, il a tellement eu de temps pour m’imaginer et me fantasmer, vais-je être la personne qu’il s’attend à trouver, il a lu mon blog aussi, il me connaît bien à travers de mes mots mais je me sens un peu hésitante par manque de jeux. Je me dis que Maître B est conscient de tout ça et qu’il n’a pas dû organiser quelque chose de trop difficile pour moi.

Mon timing est serré car j’ai un rendez-vous à 10h30 chez mon médecin, j’espère qu’il ne va pas avoir de retard pour que je puisse avoir le temps de me préparer.

Simon m’indique que je dois me présenter à l’hôtel, récupérer les clés de la chambre et leur envoyer le numéro de la chambre.

Par chance mon médecin est à l’heure, je peux prendre du temps pour m’habiller, vu la tenue plus que légère ce n’est pas très long. Mes directives étaient de porter des bas, un serre-taille, une robe et des chaussures à talons. Mon Maître sait que cela me met mal à l’aise de ne pas porter de soutien-gorge, mais je me plie à leurs souhaits.

Je me présente à l’hôtel, la réceptionniste est au téléphone, mes jambes tremblent un peu, mon cœur bat plus vite, l’appel dur longtemps, je commence à m’impatienter, j’ai juste envie de me retrouver dans l’intimité de la chambre, j’ai l’impression qu’il y a écrit sur mon front que je suis là pour le sexe, en plus ayant eu des ralentissements sur la route je vois l’heure défiler, je ne peux pas être en retard, mon Maître et Simon seraient déçus.

La chambre est classique mais pas trop petite, je suis déjà dans un état second, je retire ma robe, je vais me laver les mains, je retire mes boucles d’oreilles, je pense à ce que Simon a pu me dire dans ses désirs et mes grands anneaux pourraient être dangereux avec une pipe un peu sauvage.

Je préviens mon Maître que je suis dans la chambre comme il me l’avait ordonné, il me demande comment je me sens et me dit :

   - Très bien salope, tu vas être docile et faire tout ce que Simon te demande.

   - Oui Maître.

Je fais une photo que j’envoie à Simon et lui dit que je suis prête.

moi debout

Je tremble, je suis excitée, je mets mon bandeau (une demande de Simon), j’aime le porter, me priver de la vue provoque chez moi beaucoup d’émotions, il le sait.

Je suis à genoux, les mains derrière la tête et j’attends, j’ai dû laisser la porte légèrement entrouverte ce qui rajoute un peu de stress positif, mon cerveau s’emballe, et si quelqu’un ouvrait la porte et me voyait comme cela.

Heureusement pour moi, Simon ne tarde pas à arriver, j’entends la porte se refermer derrière lui, mon cœur s’emballe, le bruit de clé qu’on pose et plus rien. Un silence absolu. Mais que fait-il, il ne dit rien, il doit m’observer, il prend son temps, c’est assez déstabilisant.

Peut-être qu’il n’y croit pas trop depuis le temps qu’il attend cette rencontre, il peut enfin voir que j’existe vraiment.

Il s’approche et me dit à voix basse :

- Te voilà N.

Je réponds timidement à voix basse également :

- Bonjour Simon.

J’aime sa façon de me parler, j’aime sa voix, elle me rassure.

Sa main m’effleure, je sursaute légèrement, j’aime la sentir sur ma peau. Un frisson parcourt mon corps.

   - Comment te sens-tu N.

   - Fébrile, j’ai eu une nuit agitée Simon.

   - Ta nuit a été agité parce que je venais te voir aujourd’hui.

   - Oui j’ai imaginé des choses, j’ai sucé mon Maître hier soir, il était excité.

   - C’est très bien N et tu crois qu’il l’est encore.

   - Oui je sais que de me savoir avec toi l’excite beaucoup.

Il me prend le menton dans sa main en me relevant la tête et me dit :

   - Et bien ce soir tu le prendras en bouche à nouveau.

   - Oui Simon.

J’ai aimé cette attention envers mon Maître, il me donnait le sentiment de savoir qu’il lui faisait un cadeau en m’offrant à lui.

Il est très proche de moi à cet instant, je sens son souffle, sa main continue à découvrir mon corps, il prend tout son temps, je perçois qu’il ne veut pas précipiter les choses, il me parle mais je ne sais déjà plus tout ce qu’il m’a dit, je suis déjà sur mon nuage, je vis l’instant présent.

Je crois qu’il me dit qu’il a très envie de voir mon état d’excitation et qu’il me demande si je mouille.

chatte

Je sens ses doigts sur ma chatte, il écarte mes lèvres, il a l’air satisfait de ce qu’il découvre.

   - Tu mouilles déjà N, tu es excitée.

   - Oui je le suis Simon.

   - Elle est serrée cette chatte il va falloir la dilater.

Il revient sur mes seins et leur donne des claques, il enfonce ses doigts assez profondément dans ma bouche, je me dis qu’il veut voir ce que cette bouche est capable d’avaler, je lèche ses doigts avec excitation.

Cette inspection dure, je me trémousse, mes genoux commencent à être un peu douloureux.

   - Maintenant tu vas avancer et me montrer ton cul N.

Mon instinct me dicte d’avancer à 4 pattes, je ne vois rien, il me dit :

   - Tu peux t’arrêter, relève ton cul et plaque ton visage au sol.

J’obéis, j’imagine la vue que je lui offre, je lui expose mon intimité dans une position très indécente j’aime le faire, je me sens chienne avide de sexe.

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Il passe sa main sur ma chatte, je sens que je suis bien mouillée, la caresse est assez vive, il finit par rentrer ses doigts sans délicatesse, il me fouille, que ça m’excite, je perçois un geste sûr, le bruit ne fait aucun doute sur mon état d’excitation, il va tellement vite que je finis par me relever, mon clito me brûle, je m’abandonne déjà.

   - Qui t’a dit de te relever, remet toi au sol tout de suite.

Je m’exécute aussitôt, j’aime sa façon de me parler, je sens son autorité cela m’excite encore plus.

Il me donne des claques sur le cul, je me cambre, je sens qu’il n’ose pas aller trop loin, il me dit :

   - Dis-moi si c’est trop.

Je lui réponds que ça va mais au fond de moi j’espère qu’il se lâche, je peux supporter beaucoup plus mais je comprends ses hésitations et je l’en remercie, il est difficile d’évaluer l’intensité quand on rencontre la personne pour la première fois.

Je l’entends prendre des photos.

Il recommence à jouer avec ma chatte, il touche mon cul, il a envie de jouer avec, il effleure l’entrée, je me contracte un peu, mon Maître ne m’avait pas demandé de le préparer, je lui avais demandé s’il était possible de ne pas l’offrir pour cette première rencontre, toujours cette petite crainte de l’accident, je voulais pouvoir être totalement détendue. Simon n’insiste pas il respecte.

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Il me demande de me mettre sur le lit, il me dirige, je lui représente mon cul, je pense à écarter les jambes. J’ai envie qu’il me prenne, j’ai envie de le sucer, il le sait mais ne me donne satisfaction, il veut me faire patienter, il laisse monter le désir.

Il approche sa bouche de mon oreille et me dit :

   - En partant du bureau j’ai vu une belle banane dans un plateau de fruits, je l’ai prise, j’ai envie de la mettre dans ta chatte, tu veux bien N.

   - Oui je veux bien.

Il met un préservatif dessus, et me l’introduit, le spectacle a l’air de lui faire plaisir, je le perçois dans ses sons. Il commence à la bouger de plus en plus vite, elle me brûle un peu je le lui dis, il met du gel dessus et recommence, cette banane envahit mon ventre, au début c’est agréable mais la forme de celle-ci finit par me faire mal au ventre, je me permets de lui dire, il la retire. Il est à la fois directif mais aussi prévenant j’aime ce mélange.

Il me fait m’asseoir sur le bord du lit, ouvre ma bouche avec ses doigts, je me dis que je vais enfin avoir le plaisir de goûter sa queue, je sens son gland sur mes lèvres, je prends son sexe en bouche goulument, il me refreine tout de suite en me disant :

   - Va doucement N.

Je ralentis aussitôt mon rythme, elle est douce sous ma langue, je la sens durcir au fur et à mesure, je l’avale entièrement.

   - Oui c’est ça N prends-la bien en bouche, avale-la jusqu’au fond.

J’aime faire ça, j’aime sentir cette virilité en moi. Il me demande de lui lécher les couilles, je m’exécute aussitôt, j’en avale une, elles sont assez grosses et douces, cela m’excite. Je décide de le branler en même temps mais j’entends :

   - Qui t’a dit de mettre les mains, retire-les tout de suite.

Encore une petite phrase qui provoque chez moi une excitation intense, sentir cette autorité sur moi me plaît vraiment.

Je finis à genoux au sol pour pouvoir mieux la prendre en bouche, mais je sens que j’ai un peu perdu l’habitude des gorges profondes, les hauts le cœur viennent vite, je dois me reprendre. J’aime sentir sa queue bien dure, il la retire de ma bouche pour me flageller le visage avec, je relève la tête pour mieux recevoir les coups de son sexe, j’ai un peu peur qu’il se fasse mal sur mes dents alors je ferme la bouche, je finis par lui dire :

   - Cela te plaît Simon depuis le temps que tu as envie de me faire ça.

Il l’avait souvent évoqué dans ses petits scénarios.

Il finit par arrêter, me la remet en bouche et me dit d’avaler. Je joue avec le bout de ma langue sur son gland, je reviens sur ses couilles, ma chatte est trempée je le sens, je suis une femelle en rut à cet instant, faite pour donner et prendre du plaisir, j’ai envie de jouir.

mon cul

Il arrête la pipe et me remet à genoux sur le lit et commence à me caresser le clito, les lèvres, il me fouille et revient sur mon clito, je n’en peux plus, je sens mon orgasme arriver je gémis, je sens sa main et ses doigts s’activer vigoureusement, il fait rouler mon clitoris, le bruit de ma mouille envahit la chambre, je laisse la vague de plaisir parcourir mon corps, mon clito devient très sensible, je finis par m’allonger sur le ventre, je suis bien, l’orgasme est descendu dans mes jambes ce que j’affectionne particulièrement.

Simon fait le tour du lit et me demande de me relever, je me remets à 4 pattes et il me fourre son sexe de nouveau dans la bouche, je recommence à le sucer avec plaisir, sa queue durcie de plus en plus, il me demande :

 - C’était quoi sur le lit tout à l’heure.

Sur le coup je ne comprends pas trop et je réalise que ne me connaissant pas il n’était pas sûr que j’avais jouis car il vrai que je ne suis pas une soumise qui s’exprime fortement dans le plaisir, mais détrompez-vous Messieurs ce n’est pas parce qu’on fait peu de bruit qu’il est doux, c’est même le contraire chez moi, les orgasmes les plus forts que j’ai eus dans ma vie étaient les plus silencieux, je sais que cela peut-être un peu frustrant pour les hommes.

Je répond à Simon :

   - J’aime être à l’aise quand je viens de jouir.

Je pense que cette petite phrase a provoqué chez lui une montée d’excitation, son sexe est devenu très dur dans ma bouche, il s’enfonçait encore plus, je faisais des vas et vient de plus en plus rapide, je sentais qu’il aimait ma bouche, il a mis ses mains sur ma tête et m’a dit :

   - Prépares-toi N je vais te remplir la bouche de foutre.

Oh que ça m’excite d’entendre cela, j’aime sentir sa queue gonfler prête à exploser, j’aime sentir ses jets chauds dans ma bouche, j’aime lui donner du plaisir et avaler son sperme, il a un bon goût. Je continue à le lécher doucement, tout en gardant son sperme dans ma bouche, je prends mon temps pour l’avaler, je finis par le faire et passe ma langue tout le long de sa queue, je la nettoie doucement, il se détend, il semble apprécier cette douce caresse de ma bouche.

   - Merci N.

Je m’étends sur le lit, je sais que Simon doit retourner travailler, je regrette que cela ne dure pas plus mais je comprends.

   - Je ne vais pas pouvoir te donner plus aujourd’hui N.

   - Je comprends Simon, je te remercie tu m’as redonné confiance c’était très bien déjà.

   - Je suis heureux d’avoir pu t’apporter cela.

Il me dit d’autres mots mais je ne m’en souviens plus, la déconnexion est totale dans ces moments forts pour moi.

   - Je vais aller prendre une douche et retourner travailler.

   - Je vais rester sur le lit et me reposer tranquillement, il est confortable ce lit.

Je portais toujours mon bandeau, Simon ne m’avait pas demandé de le retirer je n’ai pas osé l’ôter, je ne l’ai donc pas vu, je ne me sens pas frustrer j’aime l’idée de pouvoir continuer à l’imaginer.

Quand il a quitté la chambre, j’ai aussitôt envoyé un message à mon Maître pour lui dire que j’étais seule, j’étais encore excité et je n’ai pu m’empêcher d’espérer qu’il avait prévu de me rejoindre dans la chambre, j’avais envie qu’il vienne me prendre encore chaude et dégoulinante du plaisir que je venais de prendre. Je ressentais un besoin profond de partager ce que je venais de vivre avec lui, je voulais le voir bander d’excitation en m’écoutant lui raconter mes ressentis, mais malheureusement il n’a pas réussi à se dégager du temps pour venir avec son travail. J’étais un peu déçue mais je comprenais.

   - Ce soir je vais te sauter salope.

   - Oui Maître.

Je suis rentrée chez moi, j’ai passé mon après-midi dans un état de détente absolue, j’ai vraiment aimé cette rencontre avec Simon et cela m’a fait un bien fou de retrouver cette confiance en moi, mon Maître voulait retrouver N avec ses envies, il a réussi pour son plus grand plaisir et le mien. Je lui ai raconté ce qui s'était passé, je voyais la bosse gonfler dans son pantalon au fur et à mesure qu'il écoutait mes ressentis, comme Simon me l'avait ordonné, j'ai pris sa queue en bouche le soir pour le faire jouir, j'ai aimé entendre ses gémissements pendant qu'il se vidait les couilles en moi, j'ai aimé avaler son plaisir.

Merci Simon pour ce moment, j’espère que tu as pris un réel plaisir également, je pense que tu es loin de m’avoir montré tout ce que tu es capable de faire, c’était une première découverte et j’espère qu’il y en aura d’autres.

N

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

9 avril 2021

BLOG MONSIEUR ET SA DAME

BLOG MONSIEUR ET SA DAME

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Bonjour,

J'ai ajouté une catégorie dans mon blog qui s'appelle BLOG BDSM, vous pourrez cliquer sur les liens afin de découvrir des blogs qui me plaisent.

Je voulais vous faire partager le blog de Monsieur et sa dame, c'est un blog qui parle de la découverte du D/S par un couple et écrit à 4 mains, l'idée est originale, vous avez les ressentis du Maître mais aussi de la soumise. N'hésitez pas à aller le découvrir et à laisser des commentaires.

Soumise N

7 avril 2021

ETATS D'ÂMES DE N

ETATS D'ÂMES DE N

 

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Cet article va être différent des autres, jusqu'à maintenant je partageais mes expériences mais cette fois-ci je veux partager ce que je ressens actuellement et dans quel état d'esprit je me trouve suite à ma dernière expérience.

Pour ceux qui n'ont pas lu l'article précédent, j'indique à la fin qu'il n'y aura pas de chapitre II pour des raisons que je n'ai toujours pas comprises.

J'ai envie de partager avec vous mon désappointement, je ne pensais pas pouvoir être aussi touchée par l'attitude de C, j'ai l'impression qu'il a cassé quelque chose en moi que je n'explique pas, je n'ai pas de sentiment pour cet homme donc ce n'est pas ça.

Pour une personne comme moi, être soumise représente un ensemble de choses, ma soumission doit être entretenue. L'année 2020 n'a pas été simple et j'avais ressentis des effets négatifs, je ne me sentais plus vraiment N, mais mon Maître et moi avions retrouvé une certaine dynamique, des envies qui revenaient. 

La rencontre avec Lucas a été une belle expérience, mon Maître a recommencé à s'occuper de moi plus en tant que soumise qu'en tant qu'épouse pour mon plus grand plaisir, les rapports sauvages revenaient ainsi que les punitions, les fessées, les visios forcées etc... Me retrouver à sa disposition quand il le souhaitait me procurait beaucoup d'excitation. La dernière expérience avec mon Maître et C m'a procuré énormément de plaisir, une grande excitation, une envie réelle de vivre ce qui m'avait été annoncé. J'avais commencé à me conditionner pour la deuxième rencontre, mon cerveau était en ébullition, je me sentais soumise au plus haut point, je voulais faire la pute, je voulais être loué par C, je voulais qu'on abuse de moi, je voulais être chienne, j'étais prête. Et puis rien... pour des raisons plus que douteuses, pour les personnes qui connaissent bien le processus cérébral de la soumission je pense qu’elles vont comprendre ce qui a pu se passer dans ma tête.

Quelque chose s'est cassé, la dynamique s'est arrêtée nette pour moi mais aussi pour Maître B, par déception mais aussi par le sentiment d'avoir été manipulé par cet homme, c'est un sentiment qui blesse. Comment retrouver confiance dans les personnes.

Certains contacts m'ont dit laisse tomber N, oublie ce qu'il t'a fait, passe à autre chose mais c'est beaucoup plus facile à dire qu'à faire.

Un Maître que je connais bien m'a dit, tu es une soumise, tu es une pute, tu es une chienne et tu le resteras car c'est en toi depuis toujours tu aimes ça, je sais que ça reviendra, je suis confiant. Un autre m'a dit, N qui arrête tout mais ce serait une grande perte pour l'humanité. Plaisanterie mise à part, ces petites phrases me font chaud au cœur bien sûr, me rassurent même, je me dis que tout n'est pas perdu, que N va retrouver le chemin de sa soumission pour son plus grand plaisir et surtout celui de son Maître.

Je ne sais pas quand je pourrais partager une nouvelle expérience avec vous dans un nouvel article, j'espère très vite si par chance nos envies reviennent, l'avenir nous le dira.

Par cet article je voudrais faire comprendre aussi à certaines personnes qu'il ne faut pas jouer et prendre à la légère la soumission cérébrale, cela peut être destructeur, on dit que le monde du BDSM est fermé mais je le comprends de plus en plus, il est impossible de s'y épanouir avec des gens qui ne le comprenne pas.

A bientôt j'espère.

Soumise N

 

23 mars 2021

MON MAÎTRE ME LOUE À UN HOMME

MON MAÎTRE ME LOUE À UN HOMME

Mon Maître a pris les photos le jour même mais pas au moment de la rencontre.

Malgré la situation sanitaire qui s'arrange très lentement, cela n'empêche plus mes désirs de  redevenir la soumise que j'étais, N est sortit de son mode pause depuis quelque temps, pour le plus grand plaisir de Maître B qui redouble d'imagination pour continuer à me faire évoluer dans ma condition de soumise.

Nous sommes toujours en contact avec C, qui a eu plusieurs fois l'occasion de participer aux expériences que Maître B prépare.

Je voyais bien sur Skype, qu'ils étaient souvent en ligne tous les deux mais j'étais loin de m'imaginer ce qu'ils préparaient.

Il faut dire qu'ils ont mis en place une stratégie imparable pour ne pas éveiller mes soupçons.

Maître B me dit innocemment qu'il a le sentiment que C veut lui dire quelque chose mais qu'il n'en fait rien.

Je trouve cela un peu curieux et je lui demande s'il a une idée de ce dont il veut lui parler, il me dit que non. Je ne me pose pas plus de questions que ça mais cela m'intrigue. Je demande même à Maître B les soirs suivants si C lui a parlé, mais rien de plus.

Quelques jours plus tard, mon Maître m'annonce qu'ils ont prévu de se rencontrer le lendemain, mon cerveau bouillonne, mais qu'est ce que C veut dire à mon Maître qu'il ne peut lui dire sur Skype, cela est très intrigant, j'imagine même des choses graves, cela m'inquiète.

Je ne comprends pas sur le coup qu'ils doivent se rencontrer à la maison, quand je le comprends je demande même à mon Maître si ça ne dérange pas C que je sois là, d'ailleurs je lui dis qu'il est possible que je sois absente suite à un éventuel rendez-vous. Maître B me dit qu'apparemment non cela ne gêne pas C puisqu'il a accepté de venir chez nous.

Je me couche avec mille questions en tête mais à aucun moment je ne pense à un jeu, j'espère juste que ce n'est rien de grave.

Le lendemain matin je reçois un message de mon Maître :

-Bonjour ma petite salope.Tu vas devoir être prête pour 11h30 . Je te veux en robe, bas et beaux sous-vêtements . Tu devras être docile et ne pas me faire honte . Tu nous attendras à genoux devant la porte.

Je lis le message plusieurs fois, je suis à peine réveillée et je ne comprends pas sur le coup. Et là je réalise qu'il va se passer quelque chose, mais j'étais tellement persuadée que C venait pour une chose sérieuse que je n'ai pu m'empêcher de demander à mon Maître :

- Mais C est au courant Maître, car s'il vient parler de quelque chose de sérieux il ne va pas être dans le jeu et va être surpris de me trouver dans cette position.

- Tu n'as pas à le savoir, tu seras là pour nous servir c'est tout, c'est compris salope.

- Oui Maître.

Cette petite phrase provoque une douce chaleur dans mon sexe, mon clito me brûle déjà.

Mais qu'ont-ils pu prévoir, j'ai peur mais ça m'excite. Je suis sur un petit nuage. Je me prépare tranquillement, j'aime ces heures qui précèdent la rencontre, je suis comme dans un état second, je me conditionne instinctivement pour être la meilleure soumise possible pour mon Maître.

Maître B distille ses petites phrases toutes la matinée.

- Dans 2 heures....

- Dans une heure...

- En fait tu vas mettre un serre taille, et pas de string chienne.

- Comment est ta chatte salope.

- Envoie-moi une photo de ce que tu vas porter.

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- Je pensais mettre une petite robe noire Maître.

- Oui très bien salope.

- Merci Maître.

- En fait non j'ai changé d'avis, tu nous attendras comme ça sans robe chienne.

- Oui Maître.

- Et n'oublie pas ton collier.

- Oui Maître.

Je suis prête vers 10h45, je porte encore ma robe je me dis que je l'enlèverais au dernier moment, je me fais un café et m'assieds dans un fauteuil, je profite de l'instant, je suis assez calme mais je sens une certaine pression qui monte en moi, j'écoute de la musique douce, je suis bien.

Un message de mon Maître arrive :

- Tu pourras te mettre un coussin sous les genoux.

- Oh merci Maître.

Je garde encore des souvenirs douloureux de mes genoux pendant certaines séances alors je suis heureuse de savoir que je ne serais pas à même le sol dur. Mon Maître reste prévenant. Je me dis aussi que je risque de rester un long moment dans cette position.

L'heure arrive, quelques frissons parcourent mon corps.

- Met toi en position salope.

- Oui Maître.

Mes jambes tremblent, que la peur est excitante, j'ai retiré ma robe, je m'installe sur le coussin posé au sol en face de la porte d'entrée, enfin je me décale légèrement de peur que quelqu'un puisse me voir de la rue quand mon Maître ouvre la porte.

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Ils rentrent, je baisse les yeux, mon cœur bat vite.

J'entends C dire :

- Oh mais on est bien accueilli ici.

- Oui tu as vu, ma chienne est excitante comme ça.

- Oui je trouve aussi.

Maître B touche un de mes seins sans délicatesse et s'empresse d'aller fouiller ma chatte.

- Elle mouille déjà bien cette salope.

C ne se gène pas, il malaxe un de mes seins aussi, d'un geste ferme.

Maître B me soulève le menton pour que je le regarde :

- Tu vas nous servir un verre chienne.

- Oui Maître.

Ils s'installent dans le salon pendant que je dois aller leur chercher deux bières, mes jambes tremblent, je ne dis rien, en débouchant les bières je vois que mes mains tremblent également, je suis perturbée. Je pose les boissons devant eux et mon Maître me dit d'une voix grave:

- Retourne à ta place sur le coussin.

- Oui Maître.

Je reprends ma position à genoux les jambes écartées et les mains derrière la tête en baissant les yeux.

Et là commence une conversation qui va me mettre dans tous mes états, je n'y crois pas, les mots chez moi ont une importance capitale, les lecteurs qui me suivent ont dû s'en rendre compte.

Mon Maître dit :

- Donc tu voulais me parler de quelque chose, de quoi s'agit-il ?

- En fait je suis ennuyé dit C, car j'avais prévu d'offrir ma soumise à plusieurs amis mais malheureusement je ne la sens pas prête et cela m'ennuie de tout annuler au dernier moment. J'ai donc pensé à ta chienne.

- Tu as bien fait, et tu voudrais quoi exactement.

- Et bien mes amis sont prêts à payer alors si je pouvais la louer une journée se serait parfait.

- Je pense que ça doit pouvoir se faire, c'est une bonne pute.

J'en crois pas mes oreilles, je tremble de partout, ma chatte est en feu, je vais devoir faire la pute et mon Maître semble trouver cela tout à fait normal.

- Oui je sais comment elle est je pense que je ne serais pas déçu dit C.

- Elle sait être obéissante et elle suce bien, tu pourras en faire ce que tu veux il n'y a pas de soucis.

Je me trémousse de plus en plus sur mon coussin, mon cerveau est en ébullition, je tremble, j'ai chaud, j'ai froid je ne sais plus comment je m'appelle à cet instant.

- Et tu la voudrais pour quand.

- Ecoute j'avais promis à mes amis une rencontre rapide alors si je peux la prendre la semaine prochaine se serait parfait.

- Ok dit mon Maître, on va voir cela ensemble.

Et voilà en moins de temps qu'il n'en faut je me retrouve loué par C pour aller le satisfaire ainsi que ses amis. Mais qui sont donc ces hommes, C ne m'a jamais parlé d'eux.

- Elle te rapportera l'argent quand elle aura fait son travail.

- Oui bien sûr dit mon Maître.

Je sais intérieurement que ce n'est qu'un jeu, mais introduire la notion d'argent me fait vraiment me sentir putain.

J'entends mon Maître me dire sévèrement :

- Où est ton collier salope.

- Oh pardon Maître je m'excuse j'ai oublié de le mettre.

- Tu seras punie chienne.

- Oui je le mérite pardon Maître.

Je m'en veux terriblement, comment ai-je pu faire cet oubli.

- Enlève ton soutien-gorge putain.

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Je retire doucement mon soutien-gorge et remets vite mes mains derrière la tête, je baisse les yeux comme une soumise doit le faire.

- Elle a perdu des kilos mais elle a encore des grosses mamelles cette chienne.

- Oui je vois ça confirme C.

- Si tu veux te faire plaisir aujourd'hui n'hésites pas elle est là pour ça aussi dit mon Maître.

- Oui je vais  profiter de sa bouche, elle suce bien ta chienne je vais finir ma bière avant.

Ils continuent à discuter tranquillement, j'ai déjà des images qui passent dans ma tête me voyant faire la putain.

C dit à Maître B qu'il aimerait bien le mettre en contact avec sa soumise afin de lui montrer différentes approches du D/S.

Mon Maître accepte avec joie, je sens qu'il aime cette complicité qu'ils ont tous les deux et le fait que C lui fasse une telle demande le satisfait grandement, c'est aussi une marque de confiance de la part de C.

Moi bien sûr je perçois cela d'une autre façon, une pointe de jalousie refait surface, mais qui est cette soumise, que va faire mon Maître avec, C lui proposera-t-il un jour de la rencontrer, toutes ces questions qui me taraudent, mais que j'aborde désormais plus sereinement. Maître B a su me rassurer sur les attentes qu'ils pourraient avoir avec une autre soumise, ce qu'il aime par-dessus tout c'est d'initier une femme à la soumission cérébrale et surtout qu'il voudrait le faire avec ma complicité. Donc le fait que C lui demande cela me fait plaisir en fait, mes appréhensions disparaissent très vite.

Maître B a su lui demander de participer à ma progression et bien C en fait de même tout naturellement avec mon Maître.

C se lève il a terminé sa bière.

- Bon je vais aller me faire plaisir avec ta salope un peu.

- Mais je t'en prie sers-toi, elle est là pour ça.

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Il commence par m'asséner de belles claques sur les fesses, je sursaute, sa main est très ferme, j'aime sentir cette force masculine sur moi.

Il donne une claque sur un de mes seins.

- Elle a toujours de belles mamelles.

Il sort sa queue et me dit :

- Vas-y goûte la salope.

Je prends sa queue en bouche avec plaisir, je suis très excitée par tout ce que j'ai entendu avant et par leur façon de me traiter, certaines femmes s'en offusqueraient moi c'est le contraire plus on me traite en objet ou femelle à utiliser plus cela m'excite.

La pipe est très sauvage, C veut m'obliger à garder sa queue entièrement dans la bouche, par moments j'en perds mes moyens, ma bave coule sur mon menton, je joue avec son sexe bien dur, ma langue déguste son gland, je lui lèche les couilles, elles sont bien fermes, j'aime ça, que je me sens à ma place, que je me sens chienne. Je m'autorise à les regarder tous les deux, j'aime ce que je vois dans leurs regards. Maître B est toujours assis dans le canapé mais il ne perd pas une miette du spectacle, C me domine de sa hauteur, je suis à ses pieds c'est très excitant. J'arrête de le sucer pour reprendre mon souffle mais il n'est pas d'accord il attrape ma tête pour mieux enfoncer son membre au fond de ma gorge.

 

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Maître B s'approche de moi et m'assène des fessées, la chaleur qui se diffuse est très excitante, C continue à me violer la bouche, les doigts de mon Maître fouillent ma chatte, je suis trempée, C me tient fermement la tête et baise ma bouche, il va de plus en plus vite, je sens qu'il va jouir, je peux à peine respirer, ma chatte est en feu, les doigts de mon Maître sont très habiles, je suis surexcitée à cet instant, je ne suis plus qu'une chienne en chaleur qui donne et qui prend du plaisir. C ce vide les couilles dans ma bouche, je l'entends gémir, j'aime ça, j'ai du mal à avaler son plaisir car il me tient toujours la tête, il finit par desserrer ses mains et me dit :

- Nettoie la bien salope.

Je passe ma langue partout pour qu'il ne reste plus une goutte de sperme, les doigts de mon Maître s'activent toujours, je sens que je vais jouir, je ne retiens rien je n'ai pas eu d'indications contraires de la part de Maître B, l'orgasme  traverse mon corps, je m'affaisse je me retrouve au sol, mon cœur bat très vite, j'ai chaud, je suis bien, je suis chienne.

C s'en va, j'entends Maître B lui dire qu'il voit rapidement ensemble pour définir le jour où il voudra me louer.

Mon Maître me relève par les cheveux et me dit :

- Tu vas me servir à manger salope et après tu me suceras.

- Oui Maître.

Il m'autorise à me mettre quelque chose sur les épaules car j'ai un peu froid. Je lui sers son déjeuner et il me dit de venir m'asseoir à côté de lui.

Je reste là, les mains posées sur mes cuisses écartées, il mange tranquillement, c'est la première fois qu'il me demande cela, je me sens à ma place, j'attends son bon vouloir.

Au bout d'un long moment il décide de monter dans la chambre et me dit de le suivre.

Il s'allonge sur le dos, il s'est déshabillé, je comprends très vite ce que je dois faire.

- Viens me sucer salope, tu vas être un bon vide couilles.

Je retire le gilet que j'avais enfilé et me dirige vers sa queue à quatre pattes en partant du bout du lit, j'avale sa queue d'un seul coup, je le suce avidement, je me délecte de son membre dur. Il me tient la tête, je joue avec ma bouche, j'introduis son sexe tout au fond et le ressort d'un seul coup et je recommence, mon Maître a l'air d'apprécier.

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- Tu es une bonne salope, je suis fier de toi.

Je suce ses couilles, je reviens vers sa queue, il me claque les seins, je m'arrête et me dresse devant lui, il me fouille la chatte avec ses doigts, je gémis, il m'attrape la tête par les cheveux et me fait comprendre qu'il veut baiser ma bouche, il s'enfonce loin, ma bave coule sur mon menton, je sens sa queue gonflée de plaisir, il se vide en moi, je le bois avec bonheur, je lèche le sperm qu'il a sur lui, je nettoie bien sa queue, il aime ce moment où ma bouche devient douce pour nettoyer la moindre goutte de son plaisir.

- Très bien salope, je vais faire ma sieste maintenant, tu peux aller déjeuner.

- Merci Maître.

Je descends en me demandant ce qui va arriver la semaine d'après, l'idée de faire la putain m'excite mais qu'est-ce que ça me fait peur aussi, ce cocktail détonant me maintient dans cet état de soumission si jouissif.

 

Soumise N

C'est avec grand regret que je peux déjà vous dire que ce que C avait annoncé ne se fera pas, c'est son choix, et qu'il n'y aura donc pas de chapitre II à cette histoire pour des raisons que je préfère taire tellement je ne les comprends pas.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

11 mars 2021

RENCONTRE AVEC UN JEUNE HOMME

RENCONTRE AVEC UN JEUNE HOMME

Je m'excuse pour la qualité des photos, je n'ai pu en mettre qu'une seule pas très "nette" prise le jour de la rencontre, car les mains de Lucas devaient trop trembler d'émotions pour faire de belles photos.

Mon Maître a remarqué que je ne reste pas insensible aux sollicitations des jeunes mâles sur les sites libertins. Je suis même surprise de voir le nombre de jeunes hommes qui ont le fantasme de rencontrer une femme plus âgée qu’eux. Je me sens flattée bien sûr de plaire à ces hommes mais je ne donne pas suite aux messages que je peux recevoir, enfin je m’y interdisais jusqu'à maintenant par décence sans doute, jusqu’au jour où un jeune homme m’a touché plus que les autres par ses mots et son intelligence et son humour. Maître B pouvant voir tout ce qui se dit sur les sites m’a encouragé à continuer à échanger avec lui.

Lucas qui a 24 ans a su m’expliquer cette attirance qu’il ressentait et qui était bien loin du complexe d'Oedipe, qui restait jusque-là du domaine du fantasme, il a lu mon blog ce qui n’a fait qu’attiser son envie de me rencontrer. Je lui ai expliqué au début de nos échanges que j’avais une barrière à faire tomber vis-à-vis de la différence d’âge, cela m’était difficile de pouvoir envisager une rencontre avec un jeune homme de l’âge d’un de mes enfants, mon cerveau s’y refusait même.

Au fil du temps et de nos discussions j’ai commencé à le voir autrement, il savait retranscrire ses envies et ses excitations à la perfection, je le sentais tellement sincère que je ne pouvais que me laisser charmer. Certains soirs il m’envoyait des photos de son sexe érigé en me disant qu’il allait se caresser en regardant mes photos ou en lisant un article de mon blog.

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Maître B a continué son travail psychologique sur moi comme il sait si bien le faire, il a réussi peu à peu à faire tomber une à une ces barrières, il me demandait souvent ce que je ressentais, si cela m’excitait de parler à Lucas, ce que je pouvais avoir envie de vivre avec lui etc…

Un jour il lui a demandé ce qu’il aimerait que je fasse pour lui à distance. Je n’ai pas été vraiment surprise de sa demande car depuis que nous parlions il ne cachait pas son attirance pour mes seins et mes fesses qu’ils trouvaient particulièrement à son goût.

Lucas a donc demandé à Maître B si je pouvais lui envoyer des photos avec son prénom écrit sur moi. Le fait que je fasse ces photos exclusivement pour lui devait accentuer son excitation et il a pu s’imaginer plus aisément ce qu’il avait envie de me faire. 

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Comme mettre sa queue entre mes gros seins, ou dans mon cul.

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Nos petits jeux ont duré quelque temps puis Maître B a sentit que j'étais prête à le rencontrer. Il m'a dit :

- Je vais t'offrir à Lucas, tu vas être une bonne chienne.

J'ai reçu mes instructions pour le jour J, je devais porter une robe avec des bas et un corset et mes escarpins à talons hauts.

Sachant que Lucas n'avait pas encore connu la sodomie, Maître B m'a demandé si je voulais lui offrir mon cul. Avec Lucas c'était un peu différent, mon Maître me demandait mon avis contrairement parfois à d'autres rencontres. Nous sortions un peu du cadre D/S ça n'en restait pas pour autant une expérience très troublante pour moi.

Le jour de la rencontre j'étais indécise pour lui offrir mon cul, je l'ai préparé mais il avait été décidé d'un code, si je portais un plug c'est qu'il pouvait me sodomiser.

J'avais très envie de lui faire découvrir cela mais je l'appréhendais également, j'ai du mal à expliquer pourquoi, sans doute la peur de "l'accident" et de le choquer, c'est seulement 10 minutes avant qu'il arrive que j'aie décidé de mettre mon plug.

Maître B ne voulait pas être présent, il avait prévenu Lucas qu'il y avait une caméra et qu'il regarderait à distance. J'aimais l'idée, savoir que mon Maître regarde sa salope se faire prendre par ce jeune homme m'excitait beaucoup.

J'étais très fébrile avant qu'il arrive, c'était vraiment une rencontre particulière, je ne savais absolument pas comment j'allais réagir, allais-je bloquer en le voyant ou au contraire allais-je me lâcher, que de questionnements et de troubles, tout ce qu'aiment provoquer chez moi Maître B.

Il m'envoie un message via Skype :

- Met toi en position salope, je veux que tu attendes Lucas debout les mains derrière la tête et les jambes écartées, et n'oublie pas de mettre ton bandeau.

- Oui Maître.

Mes jambes tremblent, ma respiration s'accélère, je sens ma poitrine se soulever, mon cœur bat plus vite, mais qu'est ce que je fais là, il n'a que 24 ans...

La porte du couloir s'ouvre, j'entends le bruit des pas, à cet instant je ne peux dire si je suis excitée, je suis en train de faire tomber une immense barrière.

- Bonjour N

- Bonjour Lucas

Sa voix paraît assez calme, elle m'apaise tout de suite, je l'entends poser ses affaires et il vient se placer derrière moi et commence à me caresser doucement. Et une chose extraordinaire s'est produite, Lucas a su par ses mots me rassurer instantanément.

- Oh N tu es encore plus belle que sur les photos, je n'y crois pas. 

Sa respiration s'est accélérée, je sens son excitation, c'est un moment magique pour moi, toutes mes appréhensions s'évaporent.

Ses mains sont partout, il se colle à moi et me dit :

- Regarde l'effet que tu me fais N.

Je sens effectivement son sexe durcir contre moi, pendant qu'il continue la découverte de mon corps. Comme je m'y attends il ne tarde pas à aller voir s'il y a un plug dans mon cul, en le sentant je l'entends dire humm.

Je sens qu'il a très envie de moi, il m'entraine sur le matelas, à cet instant je ne suis pas vraiment N la soumise qui se laisse guider mais plutôt la femme qui décide de prendre des initiatives. 

- Je vais t'enlever ton bandeau N.

J'appréhende un peu, je ne connais pas vraiment son visage, mais c'est surtout de l'apparence de sa jeunesse que j'ai peur. C'est bien un jeune homme que j'ai devant moi avec un beau corps ferme. 

Je suis à genoux devant lui, je sors sa queue et la prends en bouche, je commence à le sucer doucement, Lucas s'exprime beaucoup, n'hésite pas à me faire sentir son excitation, ça me plaît beaucoup, ça m'excite. Je l'encourage à se déshabiller, je lui demande d'enlever ses chaussettes en lui disant :

- Ce n'est pas très glamour un homme nu en chaussettes.

 Il sourit. Je le suce encore, je sens qu'il s'emballe, je ne veux pas aller trop vite, je sens ses mains sur ma tête, il veut diriger la fellation mais je réfrène ses gestes pour qu'il ne jouisse pas tout de suite. 

Je m'aperçois que je porte toujours ma robe, intérieurement je souris, je me dis qu'un homme plus âgé ou un Maître l'aurait depuis longtemps retirée. Je décide de l'enlever.

Mes seins sont sortis de mon corset, Lucas les caresses, les lèches, sucent mes tétons, je l'entends dire :

- Oh c'est la première fois que je touche des seins aussi gros, ils sont trop beaux.

- Tu aimes.

- J'adore.

Il me demande de me mettre à quatre pattes, et vient explorer mes fesses et ma chatte.

- Oh ce cul.

Il est comme subjugué par ce qu'il voit, c'est très plaisant d'entendre un homme exprimer ce qu'il ressent surtout quand ça parait aussi fort que ce que Lucas est en train de vivre.

J'aime lui apporter cela, il me demande de branler sa queue entre mes seins, je regarde la caméra de temps en temps, je pense à mon Maître qui me regarde, cela m'excite au plus haut point.

Lucas m'allonge sur le matelas et plonge entre mes cuisses, il lèche mon sexe avec avidité, il est très habile avec sa langue. Je gémis, j'aime cette caresse, il fait monter mon excitation tellement haut que l'orgasme n'est pas loin, mais il s'arrête, je suis frustrée.

Je reprends la queue de Lucas dans ma bouche, je suis à genoux devant lui, je lui lèche les couilles, il continue à exprimer son plaisir :

- Oh c'est trop bon, oui lèche-moi les couilles comme ça, hum, tu suces trop bien.

Je m'affère goulûment sur son sexe dur, ma langue est partout, j'avale ses couilles et je reviens sur sa queue, je l'enfonce loin dans ma bouche, je sens son sexe gonfler, je sens qu'il va jouir, je continue jusqu'à ce qu'un jet chaud envahisse ma bouche, j'avale son sperm et continue à lécher sa queue doucement, je la nettoie comme mon Maître m'a appris à le faire.

Nous avons chaud, nous buvons un verre d'eau, je laisse le temps à Lucas de reprendre ses esprits. J'ai très envie de le sentir en moi, je veux me faire prendre sauvagement, je veux me faire enculer, je veux être la première à lui offrir cette découverte. Je n'ai plus de doute à cet instant, mes complexes se sont évanouis, je suis juste une femme mûre en train de vivre un beau moment avec un jeune homme devant son Maître.

Lucas recommence à me toucher partout, j'ai le sentiment qu'il veut explorer chaque centimètre de mon corps, il retire mon plug, peut-être est-ce la première fois qu'il fait cela à une femme, j'aime l'idée. Je vois son sexe qui recommence à gonfler, je le touche, il prend un préservatif, mais semble très troublé, sans doute la vue de mon cul qui lui est offerte, il s'acharne sur ce satané emballage qui ne veut pas s'ouvrir, le voyant s'exaspérer je lui prends des mains et l'ouvre. Il me demande de lui mettre la capote mais j'ai du mal car son énervement à eu raison de son érection, j'essaye de le faire bander, nous arrivons enfin à mettre cette capote mais je sens Lucas très troublé, il s'enfonce dans ma chatte et commence des vas et vient mais son érection ne tient pas je le sens. Je voulais rendre l'instant plus léger et surtout qu'il arrive à se détendre.

Je lui dis :

- Veux-tu me voir me goder.

Il ne refuse pas bien sûr, il va s'installer dans un canapé pour me regarder. Il pense à ce que Maître B lui avait demandé auparavant, qui était de prendre des photos avec la tablette s'il le pouvait.

Je m'allonge sur le dos et introduis mon gode noir dans mon sexe mouillé, je n'ai aucun mal à le rentrer et je commence à le bouger comme une queue le ferait.

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Je vois Lucas qui essaye à tout prix de faire durcir sa queue, mais plus il y pense moins il y arrive et en oubli sans doute de profiter du spectacle que je lui offre, je ne sais pas ce qui s'est passé dans sa tête mais cela à dû devenir un peu obsessionnel, ce qui lui en a fait perdre ses moyens.

Je continue à me caresser devant lui et sentant mon orgasme monter je ne le retiens pas, je veux qu'il m'entende jouir, je veux qu'il voie que tout ce qui s'est passé avant m'a bien excité. La vague de plaisir parcourt mon corps, je regarde la caméra, comme si je regardais mon Maître dans les yeux. Une façon a moi de lui dire :

- Regardez Maître votre soumise qui se donne du plaisir.

Je retiendrais de cette belle rencontre des moments très émouvants et très excitants, j'ai dit à Lucas qu'il fallait surtout qu'il ne garde que le meilleur et qu'il ne se focalise pas sur ses troubles, que ça arrivait à bien des hommes. Il m'a dit qu'il était pourtant très excité peut-être trop...

Merci Lucas tu as su me faire sentir que j'étais une femme très désirable à tes yeux, c'est extrêmement flatteur et une expérience comme celle-ci aide la soumise que je suis à encore plus s'épanouir dans sa condition. 

J'ai raconté cette expérience à un Maître avec qui je corresponds toujours, qui est dans la confidence de mes hauts et de mes bas de ces derniers mois si particuliers, il m'a écrit cette phrase.

" Merci pour la description de ce jeune coq. La situation (délicate puis ses difficultés) ne me surprend pas non plus mais il est toujours rassurant pour une femelle mûre de faire envie aux jeunes mâles. Si moi-même je n'avais pas d'inquiétude à ton propos, ce ne peut que t'encourager à reprendre de la bite "

Merci à mon Maître qui me comprend et me pousse toujours un peu plus pour me faire découvrir de nouvelles expériences et me façonne à son goût, pour notre plus grand plaisir.

Soumise N

 

 

 

 

12 février 2021

FANTASME DE N (chapitre II)

FANTASME DE N

Chapitre II

Voici la suite de mon fantasme où je vous rappelle que mon Maître vient de m'attacher sur la croix de Saint-André.

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Il repart s'installer dans un des canapés pour siroter son verre.

La soumise est toujours debout devant eux, j'entends son Maître lui dire :

- Ouvre plus ta bouche putain.

Le serveur vient de rentrer dans la pièce pour leur dire que le dîner peut être servi. Ils le remercient et vont s'installer à la table ronde qui a été préparée au préalable. Je vois que le serveur nous regarde toutes les deux, nos Maîtres le voient également et n'hésitent pas à lui dire en chœur :

- Si vous avez envie de toucher n'hésitez surtout pas, elles sont là pour ça ces chiennes.

Le serveur ne se fait pas prier, il commence à passer ses mains sur le corps de l'autre soumise, il palpe ses seins lourds et pince ses tétons, elle gémit de douleur.

Son Maître la reprend tout de suite :

- Tais-toi salope, je ne veux rien entendre.

La soumise a cessé de geindre immédiatement, elle doit savoir qu'elle s'expose à des représailles.

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Le serveur s'approche de moi, je n'ose pas le regarder, je baisse les yeux comme une bonne soumise doit le faire. Il joue également avec mes seins mais très vite décide de jouer avec ma chatte, je suis trempée de mouille, il me fouille vigoureusement. J'entends les hommes discuter comme si ce qui se passe dans la pièce ne les concerne aucunement.

Le serveur finit par cesser ses investigations sur mon corps et sort de la pièce en remerciant nos Maîtres.

Ils mangent leurs entrées tranquillement, j'ai l'impression que nous sommes invisibles, c'est une drôle de sensation, à la fois très frustrante mais aussi très excitante.

Le bâillon m'empêche d'avaler ma salive, je la sens couler sur mes seins, je trouve cela gênant, mon Maître le sait, il aime me déstabiliser.

Le Maître ordonne à sa soumise de venir sous la table à quatre pattes.

- Allez chienne vient t'occuper de nous, et surtout ne me déçois pas salope, ta bouche est là pour nous donner du plaisir.

La soumise  commence à passer d'une queue à l'autre pendant qu'ils continuent à dîner, je peux entendre les bruits de succions que fait sa bouche sur ces membres bien durs.

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Je me sens délaissée, ils ne s'occupent plus de moi, je devine que c'est ma punition pour les verres cassés, je suis presque jalouse de cette chienne qui peut se délecter de leurs queues.

Son Maître lui assène une gifle car il juge qu'elle suce mal et qu'elle ne s'applique pas assez.

Mon Maître finit par dire :

- Bon et si on les faisait jouer toutes les deux ces salopes, je sais que la tienne a été dressée pour ça mais la mienne est encore récalcitrante, on doit la dresser à aimer les chattes cette chienne.

- Bonne idée répond l'autre Maître.

Il se lève et fait sortir sa soumise du dessous de la table, il la fait marcher à quatre pattes en tirant la laisse et la positionne devant moi.

- Vas-y lèche là cette pute.

- Oui Maître.

- Et applique-toi surtout, je veux l'entendre crier cette salope.

- Oui Maître.

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Il attrape sa tête et l'appuie sur ma chatte sans délicatesse, je sens une langue douce et chaude sur mes lèvres, elle a très vite trouvé mon clitoris qui est déjà gonflé d'excitation. La caresse est douce et habile, effectivement elle n'en est pas à sa première fois avec une femme.

Mon Maître et l'autre homme s'approchent, je sens leurs regards sur moi, surtout celui de mon Maître qui scrute mes réactions, je sais qu'il doit trouver cela très excitant mais ce qu'il souhaite surtout obtenir, c'est que je prenne un réel plaisir avec cette chienne.

Il me retire mon bâillon et essuie ma bave, je me sens soulagée de ne plus avoir ma bouche envahie par cette boule. Il dit à la soumise :

- Mets tes doigts dans sa chatte salope et fais-lui goûter sa mouille.

La soumise s'exécute, je me sens gênée de mouiller autant, ses doigts sont luisants, elle me les introduit dans la bouche et mon Maître dit :

- Suce-les bien chienne. 

- Roule-lui une pelle maintenant, je veux voir vos langues se toucher.

Elle prend ma bouche goulument, j'aime ça, c'est différent des hommes, une certaine douceur en plus.

Les 3 hommes se délectent de ce spectacle.

- Suce-lui les tétons, dit le Maître.

- Oui Maître.

Elle prend mes tétons en bouche et joue avec sa langue, elle les aspire pour les faire grossir, je suis toujours attachée, je ne peux que me laisser faire. J'aime me sentir entravé de la sorte, je ne peux que m'abandonner.

- Retourne à sa chatte maintenant, je veux que tu l'emmènes au bord de l'orgasme dit mon Maître.

- Et toi chienne je ne veux pas que tu jouisses, tu as bien compris, tu es punie, si tu as à avoir du plaisir ce ne sera que quand je l'aurai décidé.

Je suis déjà très excitée par tout ce qui s'est passé et là je dois me contrôler en sentant cette langue me titiller le clito, c'est presque de la torture cérébrale. Elle est vraiment douée en plus, ma brûlure devient de plus en plus vive, je gémis intensément, je sens que je vais craquer, il ne le faut pas, mon Maître serait trop déçu de moi. Sa langue est partout, elle l'introduit dans mon sexe, elle fait des va-et-vient très doux, elle revient sur mon clitoris et le fait rouler sous sa langue, hum que c'est bon, la vague est proche je la sens arriver, il ne faut pas.

Je finis par crier :

- Je vous en prie Maître qu’elle arrête, je n'arrive plus à me contrôler Maître.

Il me donne une claque et dit :

- Elle arrêtera quand je l'aurai décidé, c'est clair salope.

- Oui Maître.

C'est insupportable, je réfrène mon orgasme, j'essaye de penser à autre chose pour m'écarter de cette langue si délicieuse.

Mon Maître finit par dire à la soumise d'arrêter, quel soulagement pour moi, mon ventre n'est plus que feu prêt à s'embraser.

Il me détache, et me dit de me mettre en position de repos, il sait qu'au cours d'une longue soirée il doit me permettre de prendre des positions plus confortables. Je me mets à genoux et m'assieds sur mes pieds en prenant soin d'écarter mes jambes, les mains derrière le dos et la tête baissée. Mon sexe toujours accessible et à disposition. C'est une position d'attente également, la soumise doit savoir attendre le bon vouloir de son Maître ou de ses amis.

L'autre chienne doit prendre la même position à côté de moi, sous les ordres de son Maître.

Le serveur leur apporte leurs desserts qu'ils ont l'air d'apprécier au plus haut point, vu leurs commentaires.

- N viens sous la table dit mon Maître.

- Oui Maître.

Je me dirige à quatre pattes vers la table et me positionne en dessous au milieu de celle-ci. J'attends les ordres de mon Maître. Il ne dit rien cela me déstabilise, il le sait et le fait sans doute exprès.

Ils discutent tout en continuant à manger, la table est en verre transparent, ils peuvent me voir.

- N tu crois que tu as la bonne position, dit mon Maître

Un instant de panique m'envahit, je pense que oui, et je ne vois pas ce qu'il peut attendre de moi.

- Oui je le crois Maître dis-je timidement.

- Ah tu le crois vraiment, tu penses qu'une salope comme toi doit avoir cette position.

- Oui Maître.

- Approche salope.

Je me dirige vers mon Maître m'attendant à recevoir une correction.

Il tire fermement sur ma laisse pour approcher mon visage du sien, je baisse les yeux, je perçois sa colère, je tremble, ça m'excite de sentir son autorité sur moi.

- Je vois que ton dressage n'est pas terminé chienne, tu as encore des progrès à faire, quand je te dis de venir sous la table, c'est pourquoi d'après toi salope.

- Pour que je vous suce Maître.

- Oui bien sûr que c'est ce que je veux tu sers à ça, alors peux-tu me dire pourquoi ta bouche est seulement entre ouverte salope.

C'est donc cela, je ne me suis pas rendu compte que je n'ouvrais pas assez la bouche, une erreur bien regrettable de ma part, je me sens honteuse de décevoir mon Maître.

- Oh pardon je ne recommencerais pas Maître.

Il écarte ma bouche avec ses doigts sans délicatesse.

- C'est comme ça que ta bouche de putain doit être ouverte, tu as bien compris chienne. On doit pouvoir y entrer quand bon nous semble, tu n'es là que pour mon plaisir et celui de mes amis.

- Oui Maître.

- Retourne sous la table et fait ton travail salope.

- Oui Maître.

Je recule doucement en faisant bien attention de garder ma bouche grande ouverte, et me dirige vers les queues des hommes qui visiblement n'attendent que ça. Je commence à les sucer, je m'applique, je ne veux plus décevoir mon Maître. Je passe d'une queue à l'autre, je lèche leurs couilles, j'entends le Maître gémir, il doit aimer ma bouche, il me tient la tête en disant :

- Continue salope, tu vas me boire.

Son gland touche le fond de ma gorge, il dirige la pipe, il baise littéralement ma bouche, je dois reprendre de l'air mais il m'en empêche, je sens son membre gonflé de plaisir prêt à exploser, je sens un spasme, il crie tout en se vidant les couilles dans ma bouche, j'avale son sperme et continue à le lécher pour nettoyer sa queue, je sais que mon Maître aime ça, quand je le suce il ne doit plus rester une goutte de sperme sur sa queue.

- Putain que c'est bon dit le Maître, c'est une bonne suceuse ta chienne.

- Merci répond mon Maître.

Mon Maître et l'homme ne jouissent pas, ils se réservent pour la suite je suppose. Mon Maître m'ordonne de retourner à côté de la soumise.

L'homme leur dit :

- Elles ont peut-être soif vos chiennes.

- Oui sans doute tu as raison, on va demander au serveur de ramener une gamelle.

C'est trop gênant d'entendre mon Maître lui demander, mais le serveur n'a pas l'air plus surpris que ça.

- Tout de suite Monsieur, je vous ramène cela.

- Apportez-en deux s'il vous plaît, vous les déposerez devant les chiennes.

- Oui Monsieur.

Quelques minutes après, il ramène de l'eau dans des gamelles pour chiens qu'il dépose devant nous.

Mon Maître dit :

- Vous pouvez boire les chiennes.

J'ai tellement soif que je ne me préoccupe pas de la position que je dois prendre, je plonge ma tête dans la gamelle pour boire cette eau bien fraîche, je me retrouve le cul en l'air à happer cette eau comme un animal le ferait.

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L'autre soumise a fait la même chose, elle doit être aussi assoiffée que moi.

L'homme dit à nos Maîtres :

- De voir ces culs en l'air comme ça, me donne envie de jouer avec.

Nos Maîtres lui disent de se faire plaisir.

Il va chercher deux plugs, il me demande d'en lécher un et d'y déposer de la salive, ce que je fais avec application. Il va se mettre derrière la soumise pour lui enfoncer le plug dans le cul. Elle ne peut s'empêcher de pousser un cri, son Maître se lève aussitôt et lui assène une belle paire de claques.

- Mais tu vas te taire chienne, sinon ce n’est pas un plug qu'on va te mettre dans le cul mais une bouteille.

- Pardon Maître.

Le Maître dit à l'homme :

- Attends je vais mettre ma queue dans la bouche de N comme ça elle ne va pas crier quand tu lui défonceras le cul avec le plug.

Mon Maître lui dit que c'est une bonne idée.

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L'homme fait lécher le 2ème plug à la soumise et me l’enfonce sans délicatesse et effectivement la queue du Maître m'empêche de sortir le moindre son de la bouche remplie de ce membre bien raide.

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L'homme va chercher des martinets et commence à faire rougir nos fesses, mon Maître a pris possession de la bouche de la soumise avec sa queue, moi je continue à sucer le Maître. Une chaleur délicieuse se répand dans mon corps, les coups pleuvent, je sens que ça excite beaucoup l'homme de nous frapper de la sorte, mais heureusement les lanières du martinet ne pincent pas trop.

L'homme n'en pouvant plus, il sort son membre et demande à nos Maîtres :

- Je peux baiser vos putes.

- Bien sûr leurs orifices sont à toi.

Sa queue est vraiment très grosse, quand il me pénètre je pousse un cri, le Maître en m'entendant enfonce encore plus loin sa queue dans ma bouche pour me faire taire, l'homme me déchire le ventre, le frottement est intense, je vois mon Maître me regarder, me voir me faire prendre par une grosse queue l'excite énormément, l'homme passe d'une chatte à l'autre tout en nous donnant des fessées.

- Putain qu'on est bien dedans, vos chiennes sont parfaites.

J'entends le Maître dire :

- Et si nous tournions.

Aussitôt dit aussitôt fait, je me retrouve avec la queue de mon Maître dans la bouche et le membre de l'autre Maître dans la chatte, l'autre soumise n'est pas en reste, l'homme a fourré son sexe énorme dans le fond de sa bouche, je l'entends à moitié s'étouffer. Ils ont tourné comme cela pendant un long moment, passant de nos chattes à nos bouches. Nous n'étions plus que des objets sexuels, réduits à des orifices qu'on utilise pour le plaisir.

Nous avons toujours les plugs en place, mais je sais qu'ils ne vont pas y rester bien longtemps, j'appréhende un peu la queue énorme de l'homme, se faire sodomiser par un membre comme cela promet quelques cris.

Mais pour l'instant ils n'ont pas décidé de jouer encore avec nos anus.

Ils s’installent confortablement dans les canapés, le serveur vient de leur apporter les cafés, mon Maître me demande de venir prêt de lui, je me mets à genoux à ses pieds, il me caresse les cheveux doucement.

- Je suis fier de toi, tu es une bonne chienne, tu sais ce que j'attends de toi n'est-ce pas ?

- Je crois que oui Maître.

- Je veux l'entendre de ta bouche salope.

- Vous voulez que je lèche la soumise Maître.

- Oui c'est bien cela tu es une bonne femelle, le veux tu soumise ?

- Je ne sais pas si je vais y arriver Maître.

- Ne t'ai-je pas préparé pour ça salope.

- Si Maître mais je ne sais pas si cela va me plaire Maître.

J'ai vu le regard de mon Maître s'assombrir, je vois que je le déçois, je m'en veux.

- Depuis quand c'est toi qui décides salope.

Le ton est devenu dur et intransigeant, je me fais toute petite, je baisse la tête et les yeux.

- Pardon je ne veux pas vous décevoir Maître.

- C'est trop tard, mais cette fois-ci je vais te forcer salope, car je sais que ça t'excite mais tu ne veux pas le reconnaître.

Il demande au Maître si sa soumise peut s'allonger sur le dos et écarter ses jambes.

Le Maître donne l'ordre aussitôt et sa soumise se met en position demandée.

- Maintenant salope, tu vas aller fourrer ta langue dans la chatte de cette chienne, je veux te voir la lécher, je veux l'entendre crier et jouir sous ta langue, c'est bien compris putain.

- Oui Maître.

Il m'attrape par les cheveux et me traîne littéralement au sol pour m'emmener entre les jambes de cette chienne, je suis en panique, je n'ai jamais fait cela, je ne sais pas comment je vais réagir, mon Maître me force car il sait que je peux me caresser en regardant des femmes se lécher et que ça me fait jouir.

Il appuie sur ma tête pour que ma bouche soit sur la chatte de cette soumise.

- Vas-y lèche là maintenant et fait ça bien salope.

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Je sors timidement ma langue que je passe sur ses lèvres, elles sont douces, c'est agréable, je sens son excitation, c'est la même odeur que ma mouille, mon Maître  arrête de m'appuyer sur la tête, il veut me laisser découvrir cela, j'écarte doucement les lèvres et je cherche son clitoris, il est plus gros que le mien, je joue avec, il roule sous mes coups de langue, je trouve cela excitant, mes appréhensions sont en train de partir, je l'entends gémir doucement, cela me rassure, je me dis que je ne suis pas trop maladroite, je me souviens surtout de ce que j'aime quand on me lèche et j'essaye de le reproduire, cette chienne gémit de plus en plus fort, les 3 hommes nous regardent, je m’enhardis, j'enfonce des doigts dans sa chatte tout en continuant à la lécher, elle soulève son bassin pour mieux les sentir, je prends un réel plaisir à découvrir le sexe de cette soumise, j'ai envie de la faire jouir, je veux l'entendre crier.

Son Maître vient lui caresser les cheveux et lui dit :

- Tu as la permission de jouir salope.

A l'instant où elle entend cette phrase, elle resserre ses cuisses sur mon visage, je sens sa mouille couler, mon visage en est imprégné, son bassin bouge au rythme de mes doigts qui s'enfoncent en elle et elle crie de plaisir, son clito est gonflé d'excitation, ses spasmes sont puissants, à la fin de son orgasme, je continue à la lécher mais tout doucement, je connais la sensibilité de mon clitoris après un orgasme. Je la sens apaisée. Je relève ma tête, mon Maître me regarde avec une grande fierté, je lis dans son regard qu'il est un Maître très heureux à cet instant.

- Tu as été parfaite, je suis vraiment très fier de toi, comment te sens-tu ?

Sa voix est douce.

- Merci Maître de m'avoir aidé à ouvrir cette porte, j'ai aimé la sentir vibrer sous ma langue, cela m'a vraiment excité Maître.

- C'est parfait, comme tu as été une bonne soumise tu vas avoir le droit de jouir toi aussi. Allonge-toi sur le dos et écartent tes jambes, elle va te faire jouir devant nous.

La chienne ne se fait pas prier, je sens sa langue s'activer sur mon clitoris, je suis déjà très excitée par tout ce qui vient de se passer, mon orgasme est aux portes de mon ventre, sa langue est vraiment habile, elle simule une pénétration avec ses doigts, ils rentrent et sortent vigoureusement de ma chatte, tout ce que j'aime, cela décuple mon plaisir. Je tiens ses cheveux, ils sont doux, je fais bouger mon bassin pour mieux recevoir cette caresse, je sens cette vague de plaisir arriver, mon Maître m'a dit que je pouvais jouir, alors je n'arrête rien, sa langue est tellement douce, le plaisir descend tout le long de mes jambes, que c'est bon. Mes yeux restent fermés un long moment, mon Maître me laisse reprendre doucement mes esprits, il sait que je viens d'accomplir quelque chose de fort, il en a parfaitement conscience.

Les hommes semblent calmes, ils retournent s'asseoir dans les canapés, je viens me mettre aux pieds de mon Maître et l'autre soumise aux pieds du sien. Nos corps sont apaisés. J'aime ce moment, je sens la main de mon Maître posée sur moi, je ne bouge plus. Ils discutent tranquillement. Ils parlent de nous comme si nous n'étions pas là, j'adore ça, je sens déjà la brûlure revenir dans mon corps.

J'aime ces instants D/S où je me remets en attente, je sais qu'à tout moment le calme peut devenir tornade, je mouille rien qu'à écrire cette phrase. Il est important pour la soumise de sentir que son Maître est fier d'elle, même si elle sait que la douceur ne reste jamais très longtemps, elle a besoin de ses attentions pour s'épanouir et évoluer.

Comme je m'y attendais, ils ne sont pas restés calmes très longtemps, le spectacle de nos langues sur nos chattes respectives les a bien excités.

Mon Maître me dit d'un ton sévère :

- Vas te mettre à quatre pattes sur le tapis salope, j'ai envie de t'enculer. Tes trous sont là pour ça n'est-ce pas chienne ?

- Oui Maître.

La douceur est terminée, je me dirige rapidement sur le tapis pour me mettre en position, mon Maître commence par me donner de belles fessées bien appuyées, je sens sa main ferme s'abattre sur mon cul, je suis excitée alors j'aime ça.

- Qui veut profiter de sa bouche, je vous en prie les amis ne vous gênez pas.

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L'homme avec la grosse queue ne se fait pas prier, son membre est déjà dur et gonflé, il prend ma bouche comme on baise une chatte, mon  Maître a retiré mon plug d'un seul coup, je gémis de douleur, il introduit plusieurs doigts dans mon cul, il veut sans doute voir mon degré de dilatation, il juge qu'il est bon car je sens sa queue rentrer d'un seul coup au fond de mon cul, la douleur est vive, je la connais il y a un passage plus sensible, mais elle se transforme vite en plaisir, il me pilonne pendant que l'homme me viole la bouche.

J'entends mon Maître dire à l'autre Maître :

- Et si on faisait encore lécher la chatte de ma chienne. Ta soumise à l'air doué.

-Oui c'est une bonne idée.

Il dit à sa soumise :

- Vas te mettre sous N et bouffe lui la chatte.

- Oui Maître.

Quelles sensations intenses, je ne croyais pas que cela était possible, sentir la queue de mon Maître s'activer dans mon cul, la langue de la chienne sur mon clito et le sexe de l'homme dans ma bouche faisait de moi une soumise comblée.

La soumise me lèche un bon moment mais son Maître veut l'utiliser aussi, il l'a fait mettre à quatre pattes et investit son cul de la même façon que mon Maître l'a fait avec moi.

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 Ils nous obligent à nous embrasser, ils veulent voir nos langues se mêler, la soumise est plus entreprenante que moi, je la laisse diriger nos bouches, après un long moment d'un baiser intense et très sensuel, l'homme s'approche de nous, il passe d'une bouche à l'autre en enfilant son sexe jusqu'à la garde, mais il ne veut pas se contenter de cela.

Ils recommencent à tourner inlassablement, quand le membre énorme de l'homme rentre dans mon cul je crois qu'il me déchire de l'intérieur, il  doit y aller doucement, je suis dilatée mais là il est vraiment hors norme, je finis par ne plus savoir qui me prend, je sens tout mon corps vibrer, je vois mon Maître profiter aussi de la soumise, ça m'excite beaucoup, je sens du sperme dans ma bouche, j’entends des gémissements de plaisir, je sens un orgasme puissant parcourir mon corps, nous ne sommes plus que plaisir, un déchaînement de spasmes et d'abandons.

Soumise N

8 février 2021

FANTASME DE N

FANSTASME DE N

Chapitre 1

Cette fois-ci je ne vais pas vous raconter une histoire vécue mais plutôt un fantasme que j'ai, qui peut-être se réalisera un jour.

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Mon Maître me parlait depuis plusieurs jours d'une nouvelle expérience qui n'allait pas tarder à se réaliser, mais il restait muet quant aux évènements à venir et sur la date, il voulait juste faire travailler mon imaginaire, il savait les effets que cela provoque chez moi et il adorait me voir troubler, voir mes appréhensions sur mon visage, voir ma curiosité que je devais contenir par respect. Bien sûr mes troubles n'étaient pas de la peur proprement dite car j'avais une confiance totale envers mon Maître, je savais qu'en aucun cas il m'aurait mise en danger. J'aimais ces jours qui précédaient les rencontres, ma cérébralité se nourrissait de questions diverses où je pouvais m'imaginer des scènes toutes plus excitantes les unes que les autres.

Un matin, il me dit :

- Je veux que tu te prépares pour 18h, je t'ai mis ce que tu dois porter dans l'autre chambre, bien sûr tous tes orifices devront être accessibles chienne.

- Oui Maître.

Je brûlais d'envie de lui demander ce qui allait se passer mais j'ai vu à son regard que ce serait une fin de non-recevoir, voire même que cela aurait pu provoquer une punition, je me suis donc abstenue de toutes questions qui seraient restées sans réponse de toute façon.

Il est parti travailler comme d'habitude et moi je me suis dit que la journée allait être longue, je connaissais déjà le processus qui allait se dérouler dans ma tête, j'allais passer par de l'excitation, de l'impatience, des doutes aussi, je savais qu'à partir d'une certaine heure il faudrait que j'arrête de me regarder dans le miroir car je n'y aurais vu que mes défauts physiques.

Je vais vite dans l'autre chambre pour voir ce que je vais devoir porter, une robe courte, une guêpière, des bas et des chaussures à talons hauts posés délicatement sur le lit, à côté je vois mon collier de soumise et la laisse. Cela provoque tout de suite chez moi une excitation dans le bas du ventre.

Contrairement aux autres fois, mon Maître ne vient pas me parler sur Skype dans la journée, je suis donc livrée à moi-même avec mes pensées les plus perverses.

Je me prépare comme il se doit, je mets un parfum assez léger sur tout mon corps, je m'habille, mes mains tremblent légèrement, je sens la pression monter en moi, je sens cette petite brûlure sur mon clitoris, je glisse un doigt dans mon intimité, c'est facile car je ne porte pas de culotte et je sens que ma chatte est déjà bien humide, je me dis que cela va faire plaisir à mon Maître.

Mon Maître rentre, je suis déjà prête, je suis assise sur un fauteuil, les jambes écartées, mes fesses nues directement sur le cuir. Ma laisse accrochée à mon collier pend sur le côté, mon Maître s'approche, il prend la laisse et la tire pour me faire comprendre que je dois me lever, il ne dit rien, il m'observe, sa main glisse entre mes jambes, il inspecte ma chatte avec plusieurs doigts, je rougis légèrement car j'entends le bruit de ma mouille.

- Très bien tu es parfaite salope, attends-moi je vais me préparer.

Pendant qu'il se douche et s'habille, je suis comme dans un état second, ni vraiment dans les airs ni sur terre, je plane entre les deux, je me sens bien, j'aime cette attente.

- Mets ton manteau soumise.

- Oui Maître

Mon Maître est très classe, je le trouve beau, ses yeux bleus ressortent, mais rien ne transparaît sur son visage. Il attrape ma laisse et m'emmène à la voiture. Je m'assois en soulevant ma robe et en écartant les jambes.

- Tu vas mettre tes mains derrière la tête pendant tout le trajet salope.

- Oui Maître.

Il sort un bandeau en satin noir de sa poche et me le met sur les yeux, mon cœur s'accélère. Il soulève ma robe pour que ma chatte soit découverte. Un instant de panique m'envahit, je ne peux m'imaginer l'image que je renvois. Mon cerveau s'emballe, mais si quelqu'un passe à côté de la voiture et me voit comme cela etc.... Je suis sûre que mon Maître sait ce que je me dis mais il reste muet, il ne me rassure pas, il doit adorer avoir sa chienne dans cette position à côté de lui.

Nous roulons un bon moment, la voiture s'arrête mais il ne coupe pas le moteur, je me demande bien où nous pouvons être, le bandeau ne laisse rien passer, je ne peux faire qu’appel à mes autres sens. J'entends le bruit de la porte arrière s'ouvrir, je sursaute, j'ai l'impression que l'on peut entendre les battements de mon cœur.

- Bonsoir, tu vas bien.

- Oui très bien merci et toi.

- Très bien merci, comme tu peux le voir ma chienne est prête.

- Oui je vois ça, très bien nous allons bien nous amuser ce soir.

- Oui je l'espère.

C'était une voix d'homme que je ne connaissais pas, je ne disais rien bien sûr, ça m'excitait beaucoup de les entendre parler de moi comme si je n'étais pas là.

La voiture redémarre, ils discutent tranquillement tous les deux, ils parlent de leur travail, aucune allusion sur moi, je suis invisible, je commence à avoir mal au bras, mais je me garde bien de le dire.

La voiture s'arrête de nouveau, la porte arrière s'ouvre, je tends l'oreille avec attention, mon cœur bat toujours aussi fort.

- Bonsoir vous allez bien.

- Bonsoir, oui très bien merci.

Il n'y a qu'une voix d'homme qui répond mais vu les bruits que j'ai pu percevoir je suis sûre qu'il y a deux personnes qui sont montées.

- Comme tu peux le voir, dit le nouvel homme, j'ai pu emmener ma chienne.

C'était donc cela, il y avait une autre femme, elle ne devait pas avoir le droit de parler elle non plus.

Mon Maître dit :

- Oui j'en suis ravi, elle est très excitante habillée en pute. Elle va pouvoir s'occuper de ma chienne.

- Oui répond l'homme, je l'ai dressé pour cela.

- C'est parfait répond mon Maître.

Je panique, je ne suis pas vraiment habituée aux femmes, mon Maître m'a surtout offert à d'autres hommes, vais-je être à la hauteur des attentes de mon Maître.

La voiture repart, mes bras sont de plus en plus douloureux, j'ai hâte d'arriver à la destination prévue, j'entends l'homme dire à sa chienne :

- Prends la même position que N salope.

- Oui Maître.

Nous arrivons enfin, j'entends le moteur se couper. Ma portière s'ouvre, je sens une pression sur ma laisse, je comprends que je dois descendre.

Je suis ankylosée, mon Maître me dit :

- Garde tes bras comme cela chienne tu vas me suivre.

- Attention il va y avoir quelques marches à monter.

Il reste attentionné, cela me plait.

Une porte s'ouvre.

- Bonsoir, nous avons réservé une table pour 5 personnes.

Mais je n’y crois pas, ce n'est pas possible, nous ne pouvons pas être dans un restaurant, mon Maître ne peut m'exposer de la sorte en public.

- Bien Monsieur, veuillez me suivre, je vous ai mis dans le salon privé.

- Parfait répond mon Maître.

Je me retrouve très rapidement au sol.

- Tu connais la position salope, prosterne-toi.

- Oui Maître.

Je baisse ma tête, j'allonge mes bras devant moi au sol et je soulève mes fesses en prenant soin de bien me cambrer et j'attends.

- Prends la même position que N putain.

- Oui Maître.

J'en déduis que l'autre femme ne porte pas de bandeau, je l'envie un peu mais pas complètement car le bandeau pour moi fait office d’une protection rassurante.

Je peux sentir la chaleur du corps de cette femme qui s'est prosternée juste à côté de moi.

Mon Maître et les deux hommes semblent s'être installés confortablement dans des canapés, le serveur est venu leur apporter des boissons. Il devait être habitué à ce genre de scène.

Ils ont parlé de tout et de rien pendant un long moment, mes genoux me brûlaient mais je ne bougeais pas, j'osais à peine respirer.

- N vient la, dit mon Maître.

- Oui Maître.

Je savais que je devais me diriger vers lui à 4 pattes, je suivais le son de sa voix.

Je me suis arrêtée quand j'ai senti un de ses genoux. J'ai senti une main caresser mes cheveux, comme un Maître bienveillant caresse son animal.

- Comment te sens-tu N.

- Je me sens bien Maître, j'aime être à vos pieds Maître.

- Très bien, tu vas être docile, je veux être fier de toi, tu le sais N.

- Oui Maître.

- Je vais te retirer ton bandeau et tu vas aller présenter ton cul à mes invités.

- Oui Maître.

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J'ai cligné des yeux, heureusement la lumière était tamisée, je faisais attention de garder les yeux baissés, une soumise ne doit pas lever les yeux sauf si on lui ordonne de le faire. J'ai rapidement pu voir que je ne connaissais pas les 2 hommes, mon regard n'a pu s'empêcher de se diriger vers la soumise toujours prosternée sur un tapis. Elle portait une robe rouge très moulante, elle avait des talons aiguilles démesurément hauts, elle était brune comme moi, j'ai pu voir que son Maître avait découvert son cul, ils avaient une vue plongeante sur ses orifices.

Je me suis dirigée lentement vers les deux hommes qui étaient assis côte à côte, la pièce était sobre mais joliment décorée, il y avait une table avec beaucoup d’accessoires divers, des godes, des vibros, des plugs, des martinets, des menottes, des baillons etc... la panoplie complète d'un donjon D/S. Je me suis dit qu'on devait être dans un endroit dédié à cela.

J'ai donc présenté mon cul comme mon Maître me l'avait demandé, en faisant bien attention de bien me cambrer. J'ai senti des mains toucher mes fesses.

- Elle a la peau douce ta chienne.

- Oui je trouve aussi dit mon Maître.

Les mains se sont enhardies, j'ai senti des doigts passer sur mes lèvres et les écarter.

- Non mais regarde comment elle est mouillée dit un des hommes.

- Tu l'as vraiment bien dressée ta chienne, elle est déjà prête à être prise cette pute.

- Oui je suis fier de ce qu'elle est devenue, le dressage n'a pas toujours été facile, mais elle continue de progresser.

Un des hommes a commencé à me fouiller vigoureusement, il appuyait sur mes reins pour que je me cambre plus, il reproduisait une pénétration, je commençais à gémir c'était bon, l'autre homme avait sorti mes seins et jouait avec, il me pinçait les tétons.

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- Quelles mamelles elle a, c'est divin de pouvoir jouer avec dit-il.

Sentant que je commençais à être très excitée, mon Maître leur a demandé d'arrêter.

- On ne va pas lui donner ce qu’elle veut tout de suite, j'aime la frustrer, elle doit savoir se retenir cette salope.

Mon Maître aime jouer sur mes frustrations, il sait que cela décuple mon plaisir. J'étais tout de même un peu déçue de ne plus sentir ces doigts dans ma chatte.

- Reste comme ça, tu vas servir de table salope.

Ils ont posé des verres sur mes fesses et ont repris leur discussion.

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- Et ta pute, est-elle docile dit mon Maître.

- Je crois que oui, vous allez pouvoir le constater par vous-même.

L'autre Maître lui dit :

- Viens là salope.

Elle s'est dirigée à 4 pattes, tout comme moi auparavant, vers son Maître, j'ai pu voir qu'elle avait des gros seins, ça ne me surprenait pas, mon Maître adore quand ils sont gros et lourds. Elle avait de jolies formes, son cul était généreux tout comme le mien.

- A genoux mains derrière la tête lui dit son Maître.

- Vous pouvez toucher, n'hésitez pas elle est là pour ça.

Étant légèrement sur le côté je pouvais voir ce qu'il se passait discrètement.

Mon Maître lui a ouvert la bouche et a enfoncé ses doigts au fond de la gorge.

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- Hum je vois qu’elle a une belle bouche cette chienne, on doit pouvoir bien s'amuser avec.

- Oui elle suce bien dit son Maître, je t'en prie fais toi plaisir.

- Suce-le salope.

- Oui Maître.

Elle est venue devant mon Maître et a sorti sa queue de son pantalon, ça m'excitait de voir cela, j'aimais voir cette soumise s'afférer sur son membre bien dur.

Son Maître lui tenait la tête et appuyait dessus pour qu'elle avale la queue de mon Maître jusqu'au bout, elle avait des hauts le cœur, mais il ne cédait pas, je crois qu'il voulait montrer comme elle était bien dressée.

L'autre homme devait être excité par la scène et demanda à mon Maître :

- Puis-je utiliser ta chienne.

- Je t'en prie, fais-toi plaisir, elle est là pour ça tu peux faire tout ce que tu veux avec.

Il est venu se mettre devant ma bouche, j'avais toujours les verres sur mes fesses, je faisais attention de ne pas bouger, car je savais qui si j'en renverse un, la punition allait tomber.

- Ouvre la bouche petite pute, tu vas me sucer et fais ça bien chienne.

- Oui Monsieur.

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Son membre était énorme, je me suis dit que je n'arriverais jamais à le mettre en entier dans ma bouche. Il s'est enfoncé sans délicatesse, ma bouche était écartelée, je sentais son gland taper le fond de ma gorge. La situation m'excitait, pendant que je prodiguais du plaisir à cet homme je voyais mon Maître en prendre avec la bouche d'une autre.

L'autre Maître devait trouver cela très excitant également car il a sorti sa queue déjà bien dure et est venu prêt de moi pour que je le suce. Je passais d'une queue à l'autre, je voyais mon Maître me regarder, ça m'excitait encore plus, il avait attrapé les cheveux de la soumise et lui violait la bouche, j'ai compris qu'il allait jouir, je le percevais, les autres hommes se délectaient de ma langue, un des deux a enfoncé sa queue jusqu'à la garde pour se vider en moi, j'ai senti le jet chaud de son sperme, j'ai à peine eu le temps de l'avaler que le deuxième homme a repris ma bouche encore plus intensément, il dirigeait la pipe, il tenait ma tête et me faisait comprendre le rythme que je devais avoir. J'ai entendu mon Maître gémir de plaisir, il se vidait dans la bouche de l'autre chienne, cela a provoqué une brûlure intense dans mon ventre, j'avais déjà envie de jouir mais je devais me contrôler, je devais d'abords prodiguer du plaisir à ces hommes, c'était mon rôle, l'exigence de mon Maître. L'homme n'a pas tardé à jouir dans ma bouche, mais les assauts répétés m’avaient empêché de rester immobile et les verres sont tombés, je savais à quoi je m'exposais, je connaissais mon Maître.

L'autre Maître a dit à sa soumise de retirer sa robe, elle portait des porte-jarretelles et des bas, elle n'avait pas de sous-vêtement.

- Reste debout devant nous les mains derrière la tête.

- Oui Maître.

- Ecarte plus les jambes salope.

- Oui Maître.

Mon Maître s'est levé pour venir vers moi, je tremblais légèrement, je sentais encore la salive couler sur mon menton mais je n'osais pas la retirer, j'étais toujours à 4 pattes.

- Tu as été une bonne chienne, mes amis ont bien joui, je te félicite.

- Merci Maître.

- Par contre je ne suis pas du tout content pour les verres que tu as cassés.

- Excusez-moi Maître, mais les hommes me faisaient trop bouger Maître.

- Tu n'as aucune excuse salope, tu oses dire que c'est de la faute de mes amis.

- Non non pardon Maître.

- J'aime mieux ça salope.

- Lève-toi putain.

- Oui Maître.

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Je n'avais pas vu que dans un renfoncement il y avait une croix de St-André, mon Maître m'y attacha, il m'avait fait enlever ma robe. Je me suis retrouvée écartelée, quasi nue au regard de tous, il m'a mis un bâillon boule dans la bouche et m'a dit :

- Tu vas rester là un moment et attendre que l'on daigne s'occuper de toi salope.

 

Suite à lire bientôt.

 

 

 

 

21 janvier 2021

LE RETOUR DE N

 

LE RETOUR DE N

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Bonjour à tous,

Après plusieurs mois d'absence dus à cette période si particulière, je ressens le besoin de revenir vers vous, en particulier vers mes lecteurs fidèles.

Je ne vous cache pas que les confinements et le covid m'ont fait revenir à une certaine routine où les jeux D/S tels que je les connaissais n'avaient plus leur place où avec parcimonie et j’avais du mal à mettre des mots sur mes expériences d’où mon silence.

La situation, malheureusement, ne s’améliore pas vite, mais mes envies reviennent ainsi que celles de mon Maître.

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J’ai vécu plusieurs expériences depuis mon dernier article, j’ai eu la chance de revoir un Maître que je connaissais déjà, un après-midi chez moi pour une séance en présence de mon Maître, j’ai aimé me retrouver avec eux, ils ont abusé de mes orifices, je crois que je n’ai jamais passé autant de temps à sucer des queues, pendant que j’étais agenouillée à leur prodiguer du plaisir avec ma bouche, ils discutaient comme si je n’étais pas là, je trouvais cela très excitant. De temps en temps, j’entendais des humm elle suce bien cette petite chienne.

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J’ai eu le privilège d’avoir une double pénétration, moi empalé sur la queue de Maître B et l’autre Maître prenant mon cul avec un plaisir non dissimulé.

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Après avoir joué 2 bonnes heures avec moi la séance s’est terminée, j’étais une soumise comblée, 2 Maîtres pour moi toute seule quel bonheur.

 Quelque temps plus tard, j’ai eu pour ordre de me présenter dans un hôtel pour retrouver ce même Maître, en tenue sexy comme il se doit, c’était avant le 1er confinement, mon Maître l’avait averti que j’étais en petite forme, le covid avait déjà eu des effets négatifs sur ma soumission et ce Maître avait très envie de revoir la petite flamme revenir en moi, il était plus doux que les fois précédentes, il m’a fait parler, il voulait comprendre ce passage à vide. Cela ne m’empêchait pas de suivre les règles de la bienséance envers ce Maître, une chose naturelle chez moi, je tenais mes jambes écartées, j’étais assise sur mes fesses nues, j’avais pris soin de soulever ma robe avant de m’asseoir, il m’a présenté son sexe pour que je le salue avec ma bouche. Il m’a dit vouloir voir si je suçais toujours aussi bien, la situation m’excitait, j’aimais sentir son sexe dur dans ma bouche, le rythme qu’il m’imposait était lent au début puis il l’a accéléré doucement, comme s’il voulait me préserver en quelque sorte, ce n’était plus la pipe gorge profonde comme j’avais pu réaliser avec lui aux rencontres précédentes.

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J’ai senti mon instinct de chienne avide de sexe revenir, une pulsion m’est venu, je voulais sentir son gland au fond de ma bouche, j’en avais besoin, je voulais sentir ma bave couler. Je crois que le Maître était heureux de retrouver une certaine fougue chez moi. Par la suite, il m’a honoré en me prenant avec son sexe bien dur, j’ai joui sous ses assauts répétés.

Nous nous sommes retrouvés allongés côte à côte dans le lit, il se reposait, il semblait fatigué, je ne savais pas quelle attitude adopter, c’était totalement inédit pour moi, cela ressemblait à une certaine intimité que je n’avais absolument pas l’habitude de vivre quand mon Maître m’offrait à un autre homme, surtout à un autre Maître. Il a fini par me dire que je pouvais me rhabiller et rentrer chez moi.

Le 1er confinement est arrivé, une sorte de mode pause qui n’était pas si désagréable à vivre en fait, nous prenions le temps de faire des choses que nous repoussions, de nous reposer aussi. Mais cela a eu un impact sur ma vie de soumise, les jeux se sont arrêtés, je n’étais plus nourri de mots, ma cérébralité n’était plus entretenue, j’ai malheureusement fait un bond en arrière, perte de confiance en moi, moins de désirs sexuels, cela m’attristait, moi qui m’épanouissais tellement dans ma soumission. Mon Maître redevenait petit à petit mon mari en fait, les rapports n’étaient pas moins plaisants bien sûr, mais différents.

Mais c’était sans compter sur Maître B qui n’allait certainement pas laisser cette situation s’éterniser. Il m’a demandé de recommencer à dialoguer sur les sites, il savait l’impact que les mots ont sur moi et en me faisant parler de sexe, il savait que cela pouvait réveiller mes envies. Tout le long du confinement il m’a utilisé bien sûr, nous prenions du plaisir mais il sentait que ma soumission reculait et il n’aimait pas cela. Il savait que j’avais besoin de vivre des expériences fortes, j’étais habitué depuis de longs mois à obéir, à être offerte aussi. C’est un peu le revers de la médaille du monde D/S, tout est tellement fort que l’on a dû mal à revenir à des relations plus vanille.

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Trois semaines après la fin du confinement, Maître B a demandé à un homme que je connaissais déjà de venir me faire une visite surprise, c’était une sorte de test, il lui avait dit qu’il pouvait très bien ne rien se passer, qu’il souhaitait juste voir l’attitude que j’allais adopter en revoyant cet homme, ils avaient sans doute décidé avant qu’il devrait me provoquer un peu, ce qu’il a fait avec grand plaisir. La surprise était très grande quand je l’ai vu arriver, j’étais très déstabilisé, il faisait chaud, je lui ai offert à boire et nous avons discuté, tout était dans des sous-entendus, je me prenais au jeu. Il m’a dit on pourrait aller dans la piscine, je lui ai dit qu’il pouvait y aller mais il a insisté pour que je vienne avec lui, il s’est mis nu ce qui a provoqué un trouble chez moi. J’ai fini par céder et l’ai rejoint dans l’eau mais je portais un maillot, ces fichus complexes… Le jeu a repris, je me tenais loin de lui j’étais vraiment perturbé, mon cerveau était en ébullition et pas que mon cerveau, surtout quand il s’est assis au bord de la piscine en arborant un sexe tendu, mes yeux ne pouvaient s’empêcher de regarder sa belle queue. Tout se réveillait chez moi, ce côté chienne qui aime sucer, il n’a rien fait à part me parler et au fur et à mesure je me suis rapprochée, mon corps parlait pour moi, je ne pouvais lutter, j’étais aimanté par ce sexe, je voyais une grande satisfaction dans le regard de cet homme quand il a senti mes mains lui caresser la queue, mais ma bouche n’a pas résisté non plus, j’ai avalé son sexe avec avidité. N sortait de sa coquille, N se lâchait. J’ai profité de ce beau sexe un bon moment puis il m’a demandé de sortir de l’eau, il m’a dit allonge toi, je me suis exécutée, il a sorti mes seins et a dirigé sa tête vers ma chatte, quel trouble pour moi, je n’étais pas habituée à cette intimité autre qu'avec mon mari. Il a écarté mon maillot et a commencé à titiller mon clito avec sa langue habile, l’excitation montait de plus en plus et mon clitoris est très sensible, j’ai senti l’orgasme arriver, je l’ai laissé parcourir mon corps.

Il avait l’air très content de lui, il s’est mis sur le dos et m’a dit vas-y suce moi salope. Sa queue était toujours aussi dure il n’a pas tardé à éjaculer dans ma bouche. En partant il m’a dit, alors tu vois tu n’as pas pu me résister. Mon Maître nous avait regarder via une caméra qu’il avait installé. Il m’a dit après qu’il avait adoré voir mes hésitations, mes troubles pour enfin oser suivre mes envies.

L’été est passé tranquillement, vacances différentes des autres années à cause du covid, une rentrée bien chargée pour mon Maître et à nouveau un confinement, ces temps troublés ont fait de nouveau baisser nos envies. Une période sans rencontres, une routine qui s’est installée.

Depuis quelques semaines je commençais à ressentir une envie puissante de retrouver ma soumission, je voulais redevenir une chienne mais je ne savais pas comment l’exprimer, Maître B a perçu cette envie, il me connait tellement bien, il m’a fait parler, il est très fort pour cela.

Je lui ai avoué que j’avais envie qu’il m’offre à nouveau, je voulais redevenir une salope, il m’a dit très bien chienne, tu veux une queue tu vas l’avoir.

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Bien sûr où et quand cela restait un mystère comme d’habitude. Et un lundi matin, je venais de prendre une douche, j’avais mis un pantalon et un petit haut noir, une tenue pas vraiment sexy, en descendant mes escaliers j’entends frapper à ma porte, je suis surprise puisque j’ai un portail électrique donc personne n’est sensé arriver jusqu’à la porte d’entrée à part si la personne à le code du portail.

J’ouvre et je vois le même homme qui était venu se baigner, je souris et lui dit mais qu’est ce que tu fais là, Maître B t’a ouvert le portail à distance, il souriait, il avait l’air content de sa surprise encore une fois.

Je lui propose un café et il me dit, je reviens il faut que j’aille chercher quelque chose dans ma voiture. Il sort et là j’entends une notification Skype, mon Maître avait écrit, va te changer mets une tenue sexy et descends un préservatif salope. J’ai répondu oui Maître c’était d’un naturel incroyable.

J’ai opté pour une nuisette noire en dentelle avec le déshabillé transparent, un string noir également. J’étais troublé mais pas complexée, j’ai perdu quelques kilos depuis septembre je me sens déjà mieux dans mon corps et cet homme me connait bien maintenant.  J’ai aimé voir son regard sur moi, je crois que cette tenue lui plaisait beaucoup, plus que la première. Je ne vais pas jouer les mijaurées, je me suis donnée à lui, il a sorti mes seins et à joué un peu avec et m’a fait très vite me pencher sur mon plan de travail de la cuisine et a commencé à me donner des fessées.

Je lui tendais littéralement mon cul, je me cambrais.

- Tu aimes ça salope, ça t’avait manqué.

- Oui beaucoup.

Il a fouillé ma chatte avec ses doigts, je les happais.

- Mets-toi à genoux salope

Je me suis retournée et je l’ai vu sortir son membre déjà bien gonflé.

- Vas-y avale là.

Je ne me suis pas fait prier, je l’ai pris en bouche, il me tenait la tête et essayait de l’enfoncer le plus loin possible, mais je résistais, c’était difficile je sentais que j’avais perdu un peu l’habitude de sexe plus sauvage, en effet avec mon Maître nous étions revenus dans un peu plus de douceur ces derniers mois.

- Allez va plus loin salope, tu as besoin d’entrainement il va falloir voir ça.

Pour me reposer un peu je me suis mise à lui lécher les couilles, elles étaient douces et rasées s’était agréable et je revenais à sa queue bien raide.

- Lève-toi maintenant.

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Il m’a aplati sur le plan de travail et a écarté mon string, sa queue est rentrée facilement, j’avais envie qu’il me pilonne, la je voulais du sexe sauvage, je voulais me faire baiser, je voulais me sentir chienne, je voulais que mon Maître soit fier de moi. Mes pouvoirs d’excitation ont eu raison de lui, il a joui assez vite, je n’ai pas eu le temps de jouir, j’étais un peu frustrée, je me suis dit N tu es réduite à l’état de vide couilles, j’aimais ça. J’étais là pour donner du plaisir mission réussie. Il est parti mais moi je sentais encore le feu dans ma chatte, mon Maître voulait que je sois chienne alors je n’allais pas m’arrêter là, je savais qu’il allait vite rentrer, je suis restée en nuisette et je me suis installée dans un fauteuil en présentant mon cul vers la porte d’entrée, je voulais qu’il ait cette vue en ouvrant la porte. Il n’a rien dit, il s’est approché et est venu contrôler immédiatement l’état de ma chatte, aucune surprise pour moi j’étais trempée.

- Oh ça t’a plus salope, tu as vu comme tu mouilles petite chienne.

- Oui Maître.

Il n’a pas tardé à remplacer ses doigts par sa queue bien raide, il a commencé à me prendre vigoureusement en me tirant les cheveux en arrière, il sait que ça m’excite beaucoup, mon orgasme était fort, je gémissais sans retenue sous ses assauts. Mon Maître voulait que j’avale son plaisir, il s’est retiré et a pris ma tête pour mieux diriger sa queue dans ma bouche, quelques vas et vient ont suffit pour que je sente ce liquide chaud légèrement âpre arriver, j’ai avalé son sperme avec délectation.

- Merci Maître de m’offrir tous ces plaisirs.

- Tu vois que tu peux encore être une bonne petite chienne à baiser.

- Oui Maître.

Voilà je termine cet article en vous disant à très vite pour de nouvelles aventures, en espérant que 2021 ne sera pas aussi difficile que 2020. Le fait que les désirs reviennent est déjà très positifs et je sais que mon Maître a encore une multitude de choses à me faire découvrir alors je suis confiante.

N

 

 

 

22 février 2020

N ET SES JOUETS

N ET SES JOUETS

Les amateurs de mes mots vont sans doute être un peu frustrés car dans cet article j'ai juste eu envie de vous montrer des photos de mes jouets que mes lecteurs fidèles connaissent déjà, sans doute avez-vous vu certaines photos. Promis je reviens vite vous raconter mes dernières aventures dans un prochain article.

Ces jouets me procurent beaucoup de plaisir, j'ai une attirance particulière pour ceux qui vibrent. Mon Maître me demande très souvent de me caresser avec ou de porter mes plugs.

 

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J'affectionne particulièrement mon gros vibro blanc, il m'a rendu folle parfois quand je devais me faire vibrer toutes les 30 minutes sans jouir.

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Parfois mon Maître peut me demander d'aller me caresser dehors sur notre terrasse à tout moment de la journée, certains jours je dois me mettre un plug et un gode en plus. C'est souvent imparable, ma chatte et mon cul remplis et mon vibro sur mon clito je ne peux que jouir.

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Mes godes ont passés beaucoup de temps dans mes divers orifices.

 

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J'ai réalisé ces 3 photos pour les présenter à Maître C qui désirait les voir entre mes gros seins.

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19 février 2020

UNE SÉANCE TRÈS INTENSE (CHAPITRE 2)

Une séance très intense (chapitre2)

 

Je me sens bien, Maître C vient d’honorer ma chatte avec son sexe bien dur, mon plaisir était fort, je me sens bien chienne entre ses mains, je me sens encore très excitée, il continue à me parler, ses mots me touchent, ils allument cette étincelle dans mon cerveau qui ne demande qu’à s’embraser.

-Tu es une bonne chienne, ta chatte est vraiment confortable salope.

Je suis dans un état second, je sens que je suis là avec lui, j’obéis à ses ordres, je me laisse guider sans retenue, mais je suis déconnectée de la réalité, mon désir d’abandon est total, mon obéissance est naturelle, elle ne me demande pas de faire des efforts, elle fait partie de moi, elle est en moi, je peux laisser sortir ce côté animal que j’aime, être la femelle qui se fait saillir par le mâle tout puissant.

Il me demande de m’allonger sur le dos en travers du lit, j’écarte mes jambes naturellement, que je suis bien, des instants de repos sont primordiaux dans une séance D/S, les diverses demandes du Maître peuvent fatiguer la soumise, les positions peuvent être difficiles à tenir et toutes les émotions sont exacerbées, alors se retrouver dans une position confortable comme celle-ci me permet de reposer mon corps.

Je le sens prêt de moi, il passe sa main doucement sur ma chatte, elle est trempée, il me le fait remarquer, je perçois sa satisfaction d’avoir une chienne qui mouille bien auprès de lui. Il me dit :

-Très bien, tu vois c’est comme cela que j’aime que tu sois, ta chatte nue et toujours accessible, il doit toujours en être ainsi.

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Ses mots me procurent une chaleur immédiate dans le bas du ventre, ils me font encore  plus mouiller,  ils me rappellent qui je suis, une soumise dressée par son Maître pour apporter du plaisir, Maître C se délecte de la douceur de ma chatte, mes lèvres sont lissent et luisantes, il introduit ses doigts sans aucune difficulté, je gémis doucement, tous mes muscles se détendent, ce moment est très fort pour moi, je me sens vraiment très excitée et pourtant j’ai jouis il n’y a pas très longtemps, mais mon corps réagit, il en veut toujours plus, il veut se lâcher. Maître C touche mon clito, il est en feu, il introduit ses doigts encore plus loin, les mouvements s’accélèrent, sa main est partout, je crois que j’écarte encore plus mes jambes pour mieux le sentir en moi, je ne peux m’empêcher de toucher mes seins, je les caresse.

-Ah elle aime se toucher les seins cette petite chienne, vas-y fais toi plaisir.

Je crois que ça plaît à Maître C de me voir malaxer mes mamelles, elles sont douces j’aime les toucher, je soulève légèrement mon bassin pour encore mieux happer ses doigts qui me fouillent, je gémis de plus en plus car je sens que je vais jouir, Maître C ne me dit rien, j’en déduis que je peux me laisser aller, pas de restriction d’orgasme, j’ai chaud, je frissonne, je mouille sans retenue sur ses doigts, il doit le sentir, le plaisir arrive de loin, il parcourt mon corps, que c’est bon de jouir.

Maître C me laisse me détendre mais de m’avoir entendu jouir à nouveau l’a excité, il vient se positionner derrière moi au-dessus de ma tête et introduit sa queue dans ma bouche.

-Vas-y suce moi bien.

J’adore être dans cette position et sentir son sexe qui pénètre ma bouche, je ressens encore dans ces moments-là cette puissance du mâle, qui s’octroie le droit de violer ma bouche, je sens ses couilles sur mon visage, je me sens chienne, je me sens salope, je me sens pute, je ne suis plus qu’une bouche qui suce avec avidité, Maître C a une vue plongeante sur ma chatte encore bien écartée, sur mes seins qui bougent au gré de ses mouvements, il doit aimer ce qu’il voit. Ma bouche est chaude et humide, ma langue s’active sur son membre, il doit percevoir le plaisir que je prends à cet instant.

Il me demande de me relever, il me retire ma robe, je suis nue devant lui et je me sens bien, que c’est bon d’oublier la peur de l’image qu’on renvoie.

-Tu as soif soumise.

-Oui Maître.

Il me guide vers la salle de bain, je ne vois toujours rien, mes pas sont hésitants, je sens ses mains sur moi j’aime ça, je place mes mains dans le dos, il me fait boire doucement, je me sens protégée. Le D/S n’est pas fait que de moments durs, une soumise s’épanouie aussi dans des moments de complicités comme celui-ci, le Maître prend soin de son bien-être, il y est attentif.

-A quatre pattes chienne.

-Oui Maître.

La douceur est terminée, il est derrière moi et je sens des coups de martinet et des fessées qui s’abattent sur mon cul pendant que j’avance vers le lit. C’est aussi ça que j’aime dans la soumission ce passage rapide de la caresse à la fessée.

Il me fait monter sur le lit, je dois lui présenter mon cul, je me cambre bien pour qu’il ait une vue parfaite sur mes orifices.

Il y enfonce des doigts, il passe de ma chatte à mon cul, j’ai trop envie de sentir sa queue bien raide dans ce passage étroit, j’aime me faire enculer mon Maître le sait, il n’offre pas mon cul systématiquement aux hommes à qui il me confie, mais là il avait donné carte blanche à Maître C. Ses doigts sont vite remplacés par son membre, il me pénètre assez facilement, mon excitation la facilite, il commence à bouger de plus en plus vite, les sensations sont différentes. Pour une femme offrir son cul reste quelque chose de fort, cela touche son intimité profonde, là bien sûr je ne l’ai pas vraiment choisi mais ça me plaît d’autant plus, c’est que Maître B a jugé qu’il ne devait pas y avoir de restrictions, qu’il souhaitait offrir sa soumise dans son intégralité. Les coups de queue se font de plus en plus violents, mes seins se balancent de plus en plus vite, mon cul doit inspirer Maître C, il me tire les cheveux et tire sur ma laisse, que ça m’excite, je sens ses couilles frapper les lèvres de ma chatte. Il me sodomise assez longuement mais fini par se retirer. Il est derrière moi, il me dit que j’ai un cul magnifique, je ne bouge pas, je l’entends prendre une photo, il doit vouloir garder un souvenir.

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Il m’ordonne de m’asseoir au bord du lit, j’écarte mes jambes.

-Je veux encore profiter de cette bouche si plaisante.

J’avale aussitôt sa queue, je sens qu’elle grossit au fur et à mesure de mes coups de langue, je l’enfonce le plus possible et je la garde en moi, je sens les mains de Maître C sur ma tête ça m’excite, quand je sens que je ne tiens plus je recule ma tête pour reprendre ma respiration et je recommence mais c’est de plus en plus difficile car son membre devient encore plus gros et plus long, quand il voit que j’ai un haut le cœur il me dit :

-Ah oui soumise ça devient dur de me garder en bouche, regarde comment tu m’excites aussi, ma queue est plus grosse maintenant.

La pipe dure assez longtemps, des filets de bave coulent sur mes seins, Maître C aime se faire sucer ainsi je le sens, il me dit :

-Je t’imagine très bien en train de me sucer dans ma voiture en rentrant chez moi, se serait bon.

 Je n’ai pas pu m’empêcher d’imaginer cette scène, je trouvais cela excitant.

Il finit par se retirer de ma bouche et me dit qu’il doit partir, je crois qu’il est resté plus longtemps que prévu, je l’entends s’habiller, il me remet en position de prosternation et me dit en me caressant les cheveux :

-Tu as été une bonne chienne bien obéissante au-delà de mes espérances, tu vas rester comme cela en attendant ton Maître.

-Oui Maître merci Maître.

-Au revoir soumise.

-Au revoir Maître.

La porte se referme, je ne bouge pas, je suis apaisée, je vais retrouver mon Maître, j’espère qu’il va être fier de moi. J’entends des voix, je devine qu’ils sont en train de se parler mais je ne peux pas entendre ce qu’ils se disent. Leur conversation dure assez longtemps, je commence à avoir un peu mal aux genoux, je me trémousse un peu pour atténuer la douleur.

La porte s’ouvre, la main de mon Maître vient immédiatement inspecter l’état de ma chatte il me dit :

-Tu es trempée salope, ça t’a plu de te faire défoncer le cul par Maître C.

-Oui j’ai beaucoup aimé la séance c’était vraiment très excitant Maître.

-Maître C est très satisfait, je suis très fier de toi, tu as été une bonne soumise bien chienne.

-Merci Maître.

Il me dit de me relever et me retire mon bandeau, la lumière m’éblouie car même avec le bandeau je garde en permanence mes yeux fermés.

Je lui dis que j’aurais aimé qu’il soit là, pour qu’il puisse constater mon obéissance et voir qu’il m’avait bien dressée.

Il me regarde bien dans les yeux et il m’avoue qu’il est resté dans la chambre pendant toute la séance, je suis stupéfaite, à aucun moment je n’ai senti sa présence, c’est assez incroyable, il est resté 2 h assis dans un fauteuil à nous regarder, il s'est même levé pour prendre des photos, comme quoi je suis vraiment sur une autre planète dans ces moments-là.

Je suis une soumise heureuse, il me dit que j’étais vraiment très bandante et qu’il a ressenti beaucoup d’excitation juste en nous regardant.

Comme souvent il ne me prend pas immédiatement, ce qu’il aime c’est que je lui donne tous mes ressentis, il veut tout savoir, mes mots l’excitent.

Nous rentrons tranquillement, il m’écoute, il voit que je me sens épanouie, il est heureux de m’apporter ces expériences et bien sûr quand il sent que son excitation est à son paroxysme, il reprend tous les droits qu’il a sur moi, et reprend possession de tous mes trous avec sa queue bien raide.

Le soir je remercie Maître C de m’avoir accordé du temps et pour le plaisir qu’il m’a donné, je lui dis que je regrette seulement une chose c’est qu’il n’ait pas joui, je sais que l’orgasme n’est pas une finalité en soit, mais j’aurais aimé boire son plaisir. il me répond un peu plus tard en me disant qu'il avait réellement aimé s'occuper de moi mais qu'il avait préféré se concentrer sur mon plaisir en restant bien dur pour mieux me prendre.

Merci Maîtres pour cette belle séance.

Soumise N.

10 février 2020

UNE SÉANCE TRÈS INTENSE

UNE SÉANCE TRÈS INTENSE (chapitre 1)

 

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Maître B est en contact depuis un bon moment avec Maître C, un homme qu'il a rencontré sur un site BDSM, qui partage les mêmes visions du D/S que nous. Après de nombreux échanges avec nous, mon Maître a organisé une rencontre, car il me sentait très réceptive aux mots de ce Maître. Rendez-vous pris dans un hôtel, le matin en me levant je me sens déjà très troublée, mon esprit est déjà ailleurs, ces heures qui précèdent une séance D/S me permettent déjà de me mettre en condition pour être la chienne bien docile que mon Maître attend de moi.

J'ai dû me préparer pour la sodomie, Maître C m'avait bien fait comprendre qu'il comptait découvrir tous mes orifices. Il me voulait nue sous ma robe, j'ai choisi une robe noire simple mais pratique et facile à retirer, de jolis bas noirs dotés d'une jolie bande de dentelle et des escarpins à talons hauts. Je savais que j'allais être entièrement nue devant lui, dès les premiers contacts, Maître B m'avait fait comprendre qu'il ne voulait plus que je cache certaines parties de mon corps. C'était un grand changement et une grande avancée pour moi, vous qui suivez mon blog vous devez le comprendre. J'ai donc dû envoyer à Maître C des photos de moi dans les positions de son choix et entièrement nue, chose que je n'aurais pas réussi à faire il y a peu de temps. Mais le matin de la rencontre j'étais relativement sereine, Maître C avait su me rassurer et j'avais pu sentir que mes formes lui plaisaient réellement.

 Mon Maître me demande d'emmener quelques objets, mon collier de chienne et ma laisse, un gode, un martinet, du gel et des préservatifs. Il m'avait dit auparavant qu'il allait me laisser seule avec Maître C pour vivre une séance découverte.

 - Vous ne souhaitez pas rester Maître.

 - Non je vais te confier à lui, je veux qu'il découvre la soumise docile que tu es, il a carte blanche avec toi, ne me fais pas honte, tu dois être parfaite salope.

 - Oui Maître.

 Quelle pression sur mes épaules, une bonne soumise appréhende toujours avant une séance de ne pas être à la hauteur, car ce qui la motive avant tout c'est d'apporter du plaisir à son Maître, et là, même si mon Maître ne restait pas avec moi je me devais d'avoir un comportement irréprochable avec Maître C et de lui apporter ce qu'il désirait. Cette attitude, une soumise se doit de l'avoir avec toutes les personnes que son Maître lui présente sans exception, elle doit montrer un profond respect, obéir, faire profil bas et rester à la place qui est la sienne. 

Durant le trajet je parlais peu, j'étais anxieuse, curieuse et excitée, quel beau mélange de sensations, elles me font mouiller avant même d'avoir senti une main se poser sur moi.

La chambre n'est pas très grande, mais le choix des hôtels est limité dans cette ville. Maître B me dit de me préparer, j'avais eu les directives de Maître C sur la position à adopter avant qu'il arrive, une position de prosternation s'imposait.

Je mets mon collier, mon bandeau et me place au sol, mes jambes tremblent. Mon Maître est toujours là ça me rassure, j'ai très envie de lui demander de rester mais je n'ose pas, je dois me taire et attendre. 

- Il va arriver, je te veux chienne bien obéissante, rends-moi fier, tu as compris salope.

- Oui Maître.

 Ça frappe à la porte, ça y est j'ai une montée d'adrénaline, je le sens, les battements de mon coeur s'accélèrent, j'ai chaud mais je frissonne.

- Bonjour cher confrère.

Je reconnais la voix grave de Maître C que j'avais eu l'occasion d'entendre un soir où il m'avait téléphoné par surprise.

Ils ont un échange assez court, Maître B lui dit :

 - Voilà ma chienne est là je te la confie.

 Le bruit de la porte qui s'ouvre, je les entends discuter dans le couloir mais je ne peux pas comprendre ce qu'ils se disent, je suis très troublée à cet instant, quelle curieuse sensation d'être offerte de la sorte à un Maître que je n'ai jamais vu, mais que c'est excitant.

La porte se referme, mon Maître est parti, Maître C a une voix rassurante, je l'entends retirer son manteau, il pose ses clefs sur le bureau.

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Il me félicite sur ma position, c'est ce qu'il attendait de moi, mon cul est bien relevé, j'ai les jambes écartées et le visage au sol avec les bras tendus devant moi, je le sens tout prêt de moi j'ose à peine respirer, le bandeau m'empêche de voir, mes autres sens s'en trouvent renforcés.

 Une main m'effleure les fesses, je sursaute et je gémis, les gestes sont doux, je sens qu'il soulève ma robe pour mieux observer. Il me fait mettre debout, il doit me regarder, je sens ses mains sur mon corps, il me sort les seins, je l'entends dire :

 - C'est bien soumise tu es conformes aux photos que tu m'as envoyées, tu as de belles mamelles.

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 - Maintenant tu vas me montrer les positions que toute soumise doit savoir exécuter.

 Les Maîtres aiment regarder leurs soumises s'offrir, en positionnant leur corps de façon à pouvoir accéder aux différents orifices à tout moment. Je n'ai donc pas été surprise que Maître C me demande d'en exécuter quelques-unes, il y en a deux que je trouve vraiment excitantes, une où je dois appuyer mes mains sur un mur et offrir mon cul en me cambrant le plus possible, avec les jambes bien écartées, elle offre au Maître la possibilité de fouiller mon intimité facilement ou de me donner des fessées.

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La deuxième qui me plaît est celle où je dois m'asseoir sur mes pieds, en écartant bien mes jambes et en ayant les mains derrière la tête, je sens les lèvres de ma chatte s'ouvrir, et le Maître a un accès direct à mes seins et mon sexe ouvert de façon indécente.

 Maître C m'a dit qu'il était satisfait des exécutions des positions, il m'a laissé à genoux pendant un certain temps, j'ai senti qu'il accrochait ma laisse à mon collier et j'ai entendu le bruit d'une braguette qu'on descend, j'ai pensé tout de suite que j'allais avoir l'honneur de pouvoir prendre son sexe en bouche, mais non il m'a dit :

 - Maintenant tu vas me dire bonjour comme il se doit soumise, tu vas embrasser ma queue.

 Quand j'ai senti son sexe gonfler au bord de mes lèvres j'y ai déposé un baiser délicatement, il ne bougeait pas alors je continuais, j'ai senti une main dans mes cheveux :

 - C'est bien tu es une bonne chienne.

 Que je trouvais ça excitant, j'avais très envie d'avaler son membre jusqu'au fond de ma gorge mais j'allais devoir attendre, je devais d'abord mériter cet honneur.

- Je vais voir comment tu te déplaces en laisse petite chienne.

Il a tiré sur la laisse pour me faire comprendre que je devais avancer à 4 pattes, il m'a promené un peu, mais la chambre étant assez petite il était limité. Que je me sentais chienne, je ne ressentais aucune appréhension, je souhaitais juste m'abandonner aux mains expertes de ce Maître, son charisme envahissait la chambre je le percevais, un homme sûr de lui et de ses gestes, il distillait des paroles excitantes, je me sentais de plus en plus excitée.

- J'ai une punition à te donner tu t'en souviens petite chienne.

- Non je suis désolée Maître.

- L'autre jour tu n'as pas bien réalisé la photo demandée avec le balai à chiotte dans ta chatte, tu vas être punie pour ça tu le mérites petite salope.

Je me souvenais bien que j'avais dû refaire la photo immédiatement car elle n'était pas conforme à ses ordres mais je ne me souvenais pas qu'il y allait avoir punition, bien sûr je me suis bien gardée de contester ses dires, le Maître a toujours raison, une soumise ne doit jamais oublier ça. Même s'il m'arrive de ne pas toujours comprendre certaines récriminations à mon égard je dois faire preuve d'humilité, accepter, obéir et me taire.

- Je vais faire rougir ton cul avec ma cravache et tu vas compter à voix haute les 10 coups que tu vas recevoir.

- Oui Maître.

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1,2,3,4, 5 coups ça me brûle déjà bien, la chaleur commence à se diffuser, je sens un frisson parcourir mon corps, il a le geste sûr je me dis que ce n'est pas le premier cul qu'il frappe de la sorte, un certain nombre de femelles ont déjà dû gémir ou crier sous ses coups de cravache, d'où sa dextérité à la manipuler, 6,7, 8 coups, je commence à me trémousser, ça me pince de plus en plus, plus que 2, je respire plus fort, ça me donne envie de me rebeller, 9 ça me fait vraiment mal mais je le mérite, N tu dois l'accepter, je gémis, 10 le pincement est encore plus prononcé oh que c'est douloureux. Maître C sachant que ma tolérance à la douleur était assez faible a jugé que 10 coups étaient suffisants je ne pouvais que l'en remercier. Cela t'apprendra N à ne pas respecter à la lettre les directives imposées, un bon Maître ne laisse rien passer c'est à ce prix que la soumise progresse dans son dressage.

- Mets-toi debout et penche toi en avant maintenant.

- Oui Maître.

Je me retrouve les mains appuyées sur le lit, j'écarte bien mes jambes.

- J'ai très envie de découvrir cette chatte de salope.

Il me passe la main sur mon cul bien chaud, la sensation est très agréable.

- J'aime ton beau cul bien large chienne.

Je sens ses doigts qui m'inspecte, je me cambre encore plus, le bruit ne fait aucun doute sur mon degré d'excitation.

- En plus tu mouilles bien chienne, c'est très bien tout ça, tu aimes être offerte.

- Oui Maître.

Ses doigts vont de plus en plus vite dans mon intimité, que j'aime être fouillée de la sorte, je m'abandonne totalement, il joue avec mes lèvres et les écarte, comme il le fait avec mes fesses, il aime ce qu'il voit, je suis même impatiente, que j'ai envie de sentir sa queue en moi.

Après avoir joué longuement avec ma chatte il rajoute du gel et je sens qu'il m'introduit un spéculum pour agrandir mon sexe, il me dit :

- Que ressens-tu.

Comme toutes les femmes ça me rappelle mes visites chez le gynécologue, je le lui dis.

- Et tu aimais.

- Pas vraiment Maître, se retrouver les jambes écartées dans un cabinet médical ne m'excitait pas Maître.

- Bien je voulais connaître tes sensations.

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Je sais que Maître B aimerait me faire vivre une expérience avec un médecin ou un gynécologue, avec un questionnaire intime très poussé et une auscultation qui serait sans doute loin de rester classique, je me dis qu'ils en avaient peut-être parlé ensemble.

- Retournes-toi et assieds-toi sur le bord du lit chienne, j'ai envie de découvrir ta bouche.

Je suis assise et j'écarte bien les jambes, je prends sa queue en bouche, enfin, je la sens en moi, je l'avale goulument, je me sens honorée d'avoir le privilège de pouvoir goûter à son sexe, ma langue lèche bien son gland, je sens son membre qui grossit de plus en plus, mon côté femelle ressort dans des moments comme celui-là, je l'enfonce le plus loin possible dans ma bouche, ça m'excite énormément de la garder longtemps sans bouger, je dois contrôler bien sûr mais que c'est jouissif pour moi les pipes gorges profondes, je ressens la puissance masculine en moi, Maître C apprécie ma bouche il me le dit, ses mots m'excitent encore plus, je sens déjà que je pourrais jouir facilement, il m'assène des coups de queue sur le visage, je  relève la tête pour mieux les recevoir, il m'attrape la tête par les cheveux d'un geste ferme pour me fourrer son membre encore plus loin, que j'aime qu'on me baise la bouche.

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Maître C s'est délecté de ma bouche pendant un long moment pour mon plus grand plaisir, je sentais ma chatte mouiller de plus en plus, je ressentais une envie de sexe c'était très puissant, la salope soumise que je suis avait besoin de se faire dominer, c'est difficile d'expliquer ce que je peux ressentir dans ces moments-là, ce côté animal qui ressort qui me fait sentir femelle jusqu'au bout des ongles, une femelle qui veut se faire saillir comme une chienne, je dois dégager des phéromones pour attirer le mâle, je sens ces pulsions sortir de moi je ne les maîtrise pas, je ne les contrôle pas, elles ne demandent qu'à être assouvie.

Maître C m'a retourné et m'a mise sur le lit à 4 pattes, il a dû sentir mon envie d'être saillie, de me faire défoncer la chatte, il m'a pris par derrière comme une chienne, il tirait sur ma laisse pour me faire encore plus sentir ma condition.

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Il me tirait les cheveux ce qui ne faisait qu'accentuer mon excitation.

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Je reculais mon cul pour pouvoir recevoir sa queue encore plus profondément en moi, il allait de plus en plus vite, mes gémissements s'accentuaient, je sentais ma peau très sensible et réactive, ma chatte n'était que feu, les coups de reins puissants de Maître C on fait monter cette vague de jouissance que je n'ai pas retenue je l'ai laissé parcourir mon corps.

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Une sensation de bien-être m'envahit immédiatement, mes jambes tremblent, mon coeur bat fort, j'ai chaud, que je suis bien. Maître C continue à bouger en moi un certain temps, il finit par se retirer et constate l'état de ma chatte.

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- Tu mouilles vraiment bien chienne.

Il attrape un gode et me l'enfonce sans délicatesse, ma chatte est rassasiée mais il a envie de continuer à jouer avec, il va très vite avec ce gode qui est assez gros, il veut voir ma chatte encore plus dilaté, il introduit un doigt dans mon cul, je me cambre plus, une façon de lui dire, allez-y Maître ce trou est à vous faites-en ce que vous voulez Maître. Il me donne des coups de godes trop puissants je finis par avoir mal, je ne peux m'empêcher de le lui dire, il arrête aussitôt, je le remercie.

Je vous raconterais la suite dans mon prochain article, une fin de séance des plus excitantes avec une belle surprise.

Soumise N

 

 

 

 

 

29 janvier 2020

NUE SOUS MA ROBE

NUE SOUS MA ROBE.

Mon Maître m'annonce que le lendemain, je devrais aller seule, boire un verre dans un bar. Jusque-là rien d'extraordinaire, quoi que pour moi, ce genre de sortie se fait au moins à deux pour avoir le plaisir de discuter et l'idée d'y aller seule ne me plaisait pas plus que ça, mais bien sûr je devais obéir. 

Il me dit :

- Tu vas te mettre en robe sans sous-vêtement à part des bas.

- Même pas un soutien-gorge Maître.

- Non chienne, je te veux à poil, que ta chatte et tes seins soient disponibles.

- Oui Maître.

 

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Je n'aime pas sortir sans soutien-gorge, il le sait bien, je ne suis pas à l'aise.

Je sais que mon Maître veut me faire progresser pour les expériences en extérieur, car dès que je dois réaliser des choses en public je perds mes moyens, sans doute un manque de confiance en moi et en l'image que je renvoie, je stresse trop et cela atténue mon excitation.

Je ne dors pas très bien, je me sens nerveuse, que vais-je devoir faire dans ce bar, beaucoup de questions me viennent sans que je puisse y répondre.

Mon Maître accepte que je mette une robe un peu plus longue que d'habitude, cela me rassure, quand je suis nue dessous je me sens plus vulnérable et j'ai le sentiment que tout le monde le voit.

 

 

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L'habillage est rapide, j'enfile mes bas noirs dotés d'une jolie bande en dentelle, mes bottes à talons hauts et ma robe.

Mon Maître m'indique l'adresse du bar, il est à 10 minutes en voiture, je vois que c'est un bar-restaurant plutôt réservé à des routiers, ça ne me rassure pas plus que ça. Je n'ai rien contre les routiers bien sûr mais mon Maître m'ayant dit parfois, qu'un jour il m'offrirait en pâture à des hommes sur un parking, mon imagination allait bon train.

Je me gare facilement vu la taille du parking et je trouve qu'il y a beaucoup trop de voitures et de camions à mon goût.

- Je suis arrivée Maître.

- Tu vas rentrer et aller t'installer à une table bien visible, je veux que tu soulèves ta robe pour t'asseoir, que ton cul et ta chatte sentent bien le cuir de la chaise salope, tu mets ta robe au dessus des genoux et tu écartes tes jambes bien sûr.

- J'ai peur Maître, il y a beaucoup de monde dans ce bar Maître.

- Ne discute pas chienne, vas-y tout de suite.

- Oui Maître.

Je me dirige vers l'entrée du bar les jambes tremblantes, je remarque sur le côté droit une petite salle, j'ai très envie d'aller m'y installer mais je me rappelle de la phrase de mon Maître :

- Mets-toi sur une table bien visible salope.

Je choisis une table près d'une fenêtre dans la pièce où se trouve le bar, il y a pas mal de personnes, surtout des hommes seuls. Je soulève discrètement ma robe pour m'asseoir directement sur mes fesses nues et je laisse mes jambes légèrement écartées, pas assez je le sais, mais 2 hommes sont placés sur une table pas loin de moi et je me dis que si j'écarte trop les jambes ils auront une vue directe sur ma chatte, ça me met très mal à l'aise.

Je commande un café et un verre d'eau à un homme qui se trouve derrière le bar, visiblement le patron. 

Je suis vraiment très troublée, j'essaye de me faire toute petite et me rendre invisible. Je parle à mon Maître via Skype et lui décrit les personnes qui sont autour de moi. Je lui dis que le patron parle et rigole très fort, impossible de faire abstraction tant il se fait remarquer. Il me ramène ma commande et me dit :

- Le verre d'eau c'est pour moi en souriant.

Je ne comprends pas pourquoi il me dit ça, un verre d'eau non minérale est toujours gratuit dans un bar, je le remercie quand même.

Mon Maître m'avait donné comme directive d'écrire un fantasme pendant que je prendrais mon café.

Je m'exécute, dans un sens cela m'arrange, j'ai une excuse pour ne pas regarder ce qui se passe autour de moi, j'ai les yeux rivés sur mon téléphone pour écrire, en bruit de fond, les éclats de rires du patron, il est incroyable cet homme, j'entends même des clients lui dire mais qu'est-ce que tu as aujourd'hui, tu as mangé du lion...

J'envoie ce fantasme à mon Maître.

"Un jour j'aimerais que vous m'emmeniez dans un endroit protégé ou très discret et que vous m'attachiez les mains derrière le dos. Je serais nue sous mes vêtements et vous laisseriez des hommes et des femmes me toucher Maître. Cette fois-ci je verrais ces personnes, pas comme dans le club où ma tête appuyée sur votre épaule m'empêchait de voir tous ces hommes qui me caressaient Maître, là vous m'obligeriez à les regarder droit dans les yeux Maître et vous donneriez des indications sur ce qu'ils auraient le droit de me faire Maître et pourquoi pas si les personnes vous plaisent vous pourriez me forcer à les sucer Maître" 

- Très bien salope, je n'ai pas encore trouvé l'endroit et les personnes pour te faire vivre ça mais un jour tu y passeras chienne, comment est ta chatte.

- Mais Maître il y a plein de monde je ne peux pas regarder l'état de ma chatte maintenant Maître.

- Obéis tout de suite, mets tes doigts dans ta chatte je veux savoir si tu mouilles chienne.

- Oui Maître.

Je sens mes joues devenir rouge, un instant de panique m'envahit, je me dis mais comment je vais pouvoir mettre mes doigts dans ma chatte sans que ça se voie, surtout qu'un homme est venu s'installer juste derrière moi. Mais je dois obéir à mon Maître, il serait trop déçu si je ne respectais pas son ordre et une punition pourrait tomber.

Je finis par glisser ma main gauche tout doucement sous ma robe pour atteindre mes lèvres, je les écarte pour pouvoir glisser un doigt dans mon intimité, je regarde partout pour voir si quelqu'un peut voir ce que je suis en train de faire, mon coeur bat vite, les 2 hommes en face de moi discutent, ça me rassure. Je sens l'humidité sur moi doigt mais pas très importante, comme je le disais le stress en public bloque mon excitation. Je retire vite ma main.

- Ma chatte est légèrement humide Maître.

- Très bien je me doutais que tu n'allais pas mouiller à fond, mais tu m'as obéi c'est très bien chienne.

- Merci Maître.

Le patron du bar est passé en salle et s'est rapproché de moi tout en continuant à parler à des clients, je n'écoutais pas trop ce qu'il leur disait mais il finit par me demander si je suis mariée, après un instant d'étonnement je lui réponds que oui, il reprend sa conversation.

- Maintenant salope tu vas aller dans les toilettes prendre une photo pour me prouver que tu es bien à poil sous ta robe, ensuite tu retournes dans la voiture et tu attends mes instructions.

- Oui Maître.

Je suis soulagée, je vais pouvoir partir de ce bar, je me lève mais ne voyant pas les toilettes, je demande au patron où elles se trouvent, il me répond :

- Dans mon bureau.

Je souris légèrement et attend qu'il daigne me donner l'indication, je ne trouve pas sa blague très drôle je dois l'avouer, si c'est de la drague je trouve ça un peu lourd, les clients rigolent eux, il finit par m'indiquer les toilettes, quoiqu'il se trompe, au lieu de me dire au fond à gauche il me dit au fond à droite, décidément il est vraiment curieux cet homme, il a l'air troublé.

 

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J'envoie la photo à mon Maître et je sors du bar, ouf enfin, je ne peux m'empêcher de me demander pourquoi cela me perturbe tant que ça, quand je vois ce que je suis capable de faire en privé.

- Je suis dans la voiture Maître.

- Tu vas soulever ta robe bien au-dessus de ta chatte et tu vas rentrer comme ça, si tu dois doubler un camion tu le fais, compris salope.

- Oui Maître.

 

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Je pars en me disant pourvu que je n'aie pas à doubler, je vois bien un poids lourd devant moi mais le feu passe juste au rouge du coup je m'arrête, je suis soulagée, l'idée d'exposer ma chatte au regard du chauffeur me perturbe.

Je dis à mon Maître que je suis rentrée et il me demande comment je me sens.

Comme je dois toujours lui dire la vérité sur mes ressentis, je n'hésite pas à lui dire que ce n'est pas ce genre d'expérience qui me plaît le plus.

- Je le sais très bien salope mais je veux que tu progresses dans ce domaine.

- Oui je le sais Maître, le patron du bar était vraiment bruyant, on entendait que lui, quand je lui ai demandé les toilettes il m'a répondu dans mon bureau Maître.

- Ça ne m'étonne pas de lui.

- Mais vous le connaissez Maître ?

- Oui chienne, la prochaine fois il te sautera dans son bureau, je vais t'offrir à lui, aujourd'hui il était là pour voir si tu m'obéissais bien, il est déçu il n'a pas réussi à voir ta chatte, tu n'as pas beaucoup écarté tes jambes salope.

- Oui j'avoue Maître mais j'étais trop gênée Maître.

- Tu dois faire tout ce que je te demande, tu sais que je pourrais te donner une punition pour ça.

- Oui Maître, faites ce que vous voulez si vous jugez que je mérite une punition donnée là moi Maître.

- Non tu n'en auras pas cette fois-ci car je suis fier de toi, je sais que c'était difficile pour toi aujourd'hui.

- Merci Maître, oui je me suis senti très troublée et déstabilisée tout au long de cette sortie Maître.

Je comprenais mieux l'attitude du patron du coup, il savait que j'étais nue sous ma robe, et que j'allais devoir vérifier l'état de ma chatte, forcément ça peut rendre nerveux un homme, il s'imaginait déjà peut-être m'aplatir le ventre sur son bureau, me relever ma robe pour laisser apparaître mes orifices, m'écarter les jambes et me prendre comme ça en me disant que je n'étais qu'une chienne bonne à baiser.

Cette expérience va vous paraître light sans doute par rapport à ce que vous avez pu lire dans certains articles, mais sachez que j'ai ressenti des émotions fortes, je me suis dépassée pour réaliser les ordres de mon Maître et au final même si l'excitation n'est pas aussi forte qu'avec d'autres expériences, j'étais fière de moi de l'avoir fait, c'est ça le quotidien d'une soumise, elle doit se surpasser pour faire plaisir à son Maître et si elle y parvient elle se sent grandit , comme je l'écris souvent c'est l'élévation dans la soumission.

Merci Maître de me faire devenir une soumise encore meilleure, je m'épanouis sous vos ordres, je me sens plus belle, je me sens femme, je suis fière de porter votre collier, chaque jour qui passe je sens les chaînes qui me lient à vous se resserrer sur moi, pour mon plus grand plaisir et j'espère le vôtre Maître.

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14 janvier 2020

UNE SÉANCE INATTENDUE

UNE SÉANCE INATTENDUE

 

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La première rencontre avec ce Maître m'avait vraiment plu, j'avais aimé voir le plaisir que Maître B avait eu en me présentant à lui, il avait été fier de pouvoir montrer mon appartenance et ma docilité envers lui.

Il faut être conscient que cela ne s'obtient pas en un claquement de doigt, c'est le résultat d'un long travail psychologique, d'une analyse poussée de mes attentes et de mes possibilités d'évolution aussi.

Maître B me pose beaucoup de questions, il investit ma psyché au plus loin qu'il le peut, je pense qu'il se dit qu'il y a encore des choses cachées et non révélées dans ma tête, cette partie de la soumission lui plaît énormément, il est comme moi, il peut prendre des plaisirs intenses par la cérébralité.

De savoir que je peux peut-être encore avoir des fantasmes non avoués lui donne envie de continuer à scruter mes réactions, à connaître mes ressentis le plus précisément possible à chaque fois qu'il me fait vivre une expérience.

Il est en recherche permanente de nouveautés pour me faire évoluer dans ma condition de soumise et m'amener à m'abandonner toujours plus.

Vous savez il y a très peu de Maître capable de faire ça, la priorité absolue pour lui est mon plaisir, parfois je me dis que le rôle d'un Maître n'est pas si simple que ça, on pourrait penser que pour lui tout est facile puisque la soumise fait ce qu'il lui demande, mais lors d'une séance par exemple, le Maître doit tout contrôler si il veut obtenir un lâcher prise total de sa soumise, il doit procéder par étape, faire monter l'excitation, scruter les réactions à chaque instant, un Maître doit avoir un contrôle permanent de ce qui se passe, c'est pour ça que je me dis qu'il ne peut pas lâcher prise de la même façon que la soumise, qui peut s'abandonner et se laisser guider sans réfléchir.

Je sais que tout ce qu'il fait est pensé, en me présentant à ce Maître, il avait déjà une idée de ce qu'il voulait me faire vivre par la suite, mais parfois cela ne se passe pas vraiment comme il l'aurait souhaité.

J'ai hésité à écrire cet article car la séance que nous avons vécu avec ce Maître n'a pas été à la hauteur de nos attentes et je me suis dit que je n'arriverais pas cette fois-ci à vous faire ressentir mes plaisirs, mais je voudrais aussi vous montrer que tout n'est pas toujours parfait, qu'on peut se tromper sur nos jugements et qu'au final ce n'est pas une catastrophe en soit, cela nous permet aussi de savoir encore plus précisément ce que nous cherchons et d'être plus vigilant.

En me mettant en contact avec ce Maître, il se disait qu'il pourrait m'apporter d'autres émois du fait que nous étions moins proches, car c'est sûr qu'une relation D/S en couple est totalement différente nous en sommes conscients. Maître B s'était dit que les mots d'un inconnu pouvaient provoquer des réactions nouvelles chez moi, et il savait que l'idée de vivre une séance avec deux Maîtres m'excitait beaucoup.

Comme je le disais dans mon article précédent, j'étais surprise qu'il ait organisé cette présentation si vite, en voyant que cela m'avait beaucoup plu, il a décidé de programmer la séance avec ce Maître une semaine plus tard, là encore ça allait très vite.

Toute la semaine qui a suivi la première rencontre, ce Maître est venu me parler sur Skype, je sentais qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas, pourtant les premiers dialogues avaient été assez prometteurs, il me posait des questions, il voulait savoir mes fantasmes les plus pervers, je retrouvais un peu de mon Maître dans l'attitude de cet homme, cela était de bon augure et la rencontre dans la voiture m'avait apporté des émotions très plaisantes.

Mais au fur et à mesure je me sentais frustré par nos dialogues, il ne se livrait pas, je n'arrivais pas à savoir ce qu'il pouvait penser, ses réponses étaient toujours très courtes et j'avais  le sentiment que ce qui l'intéressait le plus était de me demander des photos dans ce style, moi portant mon collier. 

 

moi debout

 

 

Ou me godant.

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Ou encore lui montrant mon cul.

mon cul

Et aussi de me voir sucer mon Maître à la cam. Cela ressemblait de moins en moins à une attitude de dominant, mais plutôt à celle d'un libertin classique surtout voyeur.

Nous en avons parlé avec Maître B, il a quand même décidé de maintenir la séance et m'a dit qu'il allait lui parler. Son attitude a un peu changé après cela, je suis redevenue plus confiante et j'ai commencé à m'imaginer ce qui allait se passer pendant cette séance.

Ce qui m'attirait le plus c'était d'imaginer les dialogues qu'ils pouvaient avoir tous les 2 devant moi sans que je puisse intervenir, comme vous voyez je reviens toujours aux mots. Je me disais aussi que j'allais pouvoir découvrir une facette du D/S à l'Anglaise ce qui m'intéressait beaucoup.

Le jour de la séance j'étais donc dans un certain état de fébrilité, je savais que j'allais encore passer par une multitude d'émotions différentes comme l'excitation, la curiosité, la nervosité, la crainte, que mes complexes allaient encore revenir comme à chaque fois quoique je m'aperçois qu'ils se sont beaucoup atténués par rapport au début. Mais, j'aime ressentir tout ça, c'est ce qui me permet de m'abandonner ensuite.

Nous avions préparé le donjon la veille, j'étais plus sereine pour me préparer le jour J, ils m'avaient fait comprendre que mon cul devait être prêt à recevoir leurs queues.

L'heure arrive Maître B me demande de mettre mon bandeau et de me prosterner.

Mon coeur bat plus vite, mes jambes tremblent, je suis déjà impressionnée, je suis impatiente de me retrouver prêt de ces deux Maîtres.

J'entends les pas approcher, une main soulève ma robe et me touche les fesses, je sursaute, des doigts inspectent ma chatte, Maître B dit :

- Elle est déjà trempée cette petite salope.

Je sens un coup de cravache, je sursaute, les coups sont doux, j'apprécie la chaleur qui en découle.

 

CRAVACHE

 

Le Maître caresse mes fesses avec et la passe sur ma chatte, je sens mon clito réagir tout de suite.

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Mon Maître dit au bout d'un moment :

- Lève-toi chienne.

- Oui Maître.

- Mets-toi à poil dépêche-toi salope.

Je me lève, on me retire mon bandeau, j'ose à peine regarder et la première surprise je m'attendais vraiment à voir ce Maître habillé avec classe, pour moi ça allait avec le D/S à l'Anglaise, et non, il était en jean avec un sweet, j'étais un peu déçue je dois l'avouer, Maître B et moi-même avions fait un effort vestimentaire car nous aimons ça, comme je le disais le D/S pour nous doit être fait dans une certaine ambiance surtout pendant les séances et la tenue en fait partie.

J'enlève donc ma robe, mon soutien-gorge et mon string, je me retrouve presque nue devant eux, ils commencent à me toucher, ce jeu à 4 mains me plaît. Maître B essaye d'instaurer un dialogue avec lui, mais il fait comme avec moi sur Skype, il répond par des phrases très courtes, ce n'était pas tout à fait ce que je m'étais imaginé. Mais nous en étions qu'au début de la séance et je pouvais comprendre que ce n'est pas si facile que ça pour un Maître de trouver sa place dans une séance comme celle-ci. 

Ils me mettent les entraves et je me retrouve tout de suite attachée à la croix, je sens les coups de martinet s'abattent sur mon corps, j'aime ça, je gémis, mes tétons ne sont pas en reste, ils jouent avec, le Maître vient me doigter, j'aime qu'on investisse ma chatte de la sorte, ce geste m'excite c'est une façon de me dire, tu vois N ta chatte est à moi  et j'en fais ce que je veux.

 

CROIX 1

Ils vont jouer avec mon corps pendant un bon moment, Maître B m'entoure les seins de cordes, je sens des coups de paddle. Je sens mon excitation monter doucement.

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Ils finissent par me détacher et Maître B me demande de venir leur servir un verre.

Je m'exécute, un peu intimidé, mes mains tremblent légèrement, je n'ose pas les regarder dans les yeux, ils se sont assis côte à côte sur un canapé. Après leur avoir donné leur verre Maître B me dit :

- Mets-toi à 4 pattes chienne et tourne toi qu'on voit bien ton cul de salope.

Je m'exécute aussitôt, je me retrouve à leur montrer mes orifices, je me sens bien excitée à cet instant, je me dis que je vais les entendre parler ça va me plaire encore plus. Et je m'attends à découvrir cette facette du D/S à l'Anglaise avec ce Maître.

Mon Maître essaye d'instaurer un dialogue pendant qu'il me pose leurs verres sur mes fesses.

- Ne bouge pas salope tu vas nous servir de table.

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J'aime être traitée de la sorte, ça m'excite, je ne fais pas un mouvement j'ai trop peur de renverser les verres, j'ose à peine respirer.

Mais l'alchimie ne prend pas, ce Maître ne se lâche pas, il parle à peine, je m'attendais à vivre un moment très fort, j'ai le sentiment que Maître B déploie tous les efforts possibles pour rendre cette séance plus excitante, mais il doit sentir lui aussi que ça ne se passe pas comme il l'avait prévu. Il dit à l'autre Maître :

- Vas-y tu peux toucher, ne te gêne pas elle adore ça cette salope.

Je sens une main sur ma chatte qui m'écarte les lèvres, j'ai toujours les verres, je ne peux vraiment pas bouger, je pense que malgré cela je me cambre un peu plus pour mieux recevoir cette main.

BIERE MAIN

Même si ce n'est pas à la hauteur de ce que je pouvais espérer à cet instant car le D/S à l'Anglaise je ne l'ai pas vu du tout, j'aimais me sentir meuble, j'aimais être la chose de ces 2 hommes. 

Après s'être détendu ils m'ont emmené sur le matelas, et ils ont commencé à me donner des coups de martinet, ils avaient chacun le leur, j'ai beaucoup aimé ce moment, les lanières s'abattaient partout sur mon corps, ça me chauffait de plus en plus mais la douleur était très supportable, je sentais ma chatte réagir. Maître B s'est rassis et à dit au Maître :

- Vas-y fais ce que tu veux d'elle.

Maître B voulait sans doute mettre plus à l'aise le Maître en lui donnant la main sur les événements. Le Maître est venu se mettre devant moi et a sorti sa queue, il m'a attrapé la tête pour m'enfoncer son membre assez loin dans la bouche. J'aime sucer ça m'excitait. J'avais du mal à rentrer sa queue entièrement, elle était assez grosse.

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Au bout d'un moment j'ai senti la queue de mon Maître dans ma chatte, il a commencé à me prendre en levrette pendant que je continuais à sucer le membre bien dur du Maître

Je me sentais bien excitée à ce moment-là, la main ferme du Maître qui dirigeait la pipe et les assauts de mon Maître m'ont fait jouir, j'aime qu'on se serve de moi comme ça, être la soumise qui doit donner du plaisir, mon corps était leur propriété à cet instant, ma bouche et ma langue devaient s'activer, ma chatte mouillée devait être la plus accueillante possible pour la queue de mon Maître Le Maître a jouit dans ma bouche, même si il ne s'exprimait pas beaucoup, cela devait l'exciter quand même pour arriver à se vider les couilles au fond de ma gorge.

Ensuite c'est mon Maître qui est venu se faire sucer, le Maître était allez chercher mon gros gode noir et a commencé à faire des va et vient avec dans mon intimité, Maître B me baisait la bouche, ça devait l'exciter de voir le Maître jouer avec ma chatte, il est allez chercher mon gros plug après, il a mis du gel et a commencer à le rentrer dans mon cul, c'est vrai qu'ils m'avaient fait comprendre que mon cul allait servir, j'étais surprise de ne pas avoir eu dès le début de la séance au moins mon petit plug pour préparer mon cul à plus gros. 

Le Maître essayait de rentrer le gros plug mais ça me faisait mal, je n'étais pas assez excité, je le sentais, je n'ai pu m'empêcher de leur faire comprendre. Le Maître n'a pas insisté.

Maître B a sorti sa queue de ma bouche et m'a attrapé les cheveux en reculant légèrement la tête et a dit :

- Je vais jouir sur toi salope, je veux te voir pleine de foutre chienne.

J'ai aimé recevoir le plaisir de mon Maître sur moi, j'étais heureuse qu'il ai pu prendre du plaisir, je l'ai vu dans ses yeux pendant qu'il jouissait, qu'il aimait arroser sa chienne de la sorte.

SPERME

- Nettoie bien ma queue maintenant salope.

Je me suis appliquée à lécher sa queue pour la rendre le plus propre possible.

Il m'a caressé les cheveux en disant :

- C'est bien tu as été une bonne chienne.

- Mets-toi à 4 pattes et attends maintenant.

Ils sont retournés s'asseoir sur les canapés et ont terminé leur verre, j'étais dos à eux, je ne bougeais pas, j'attendais bien sagement comme mon Maître me l'avait demandé.

Je me suis fait la réflexion que le Maître était plus expansif quand il s'agissait de parler travail.

Quand il est parti, j'étais réellement frustrée et Maître B également, tout comme moi il avait eu le sentiment que ça n'avait pas ressemblé à une séance, il m'a dit après, que pourtant ils avaient bien parlé tous les 2 avant, Maître B lui avait donné les grandes lignes de ce qu'il souhaitait pour cette séance mais ça ne s'était pas vraiment passé comme il le pensait.

Il m'a dit j'ai voulu aller trop vite, je n'ai pas assez pris le temps de le connaître, car au final ce Maître n'avait pas vraiment la même vision du D/S que nous et il ne s'exprimait vraiment pas assez, et ses gestes manquaient de sûreté, le jeu des échanges de mots à 2 Maîtres aurait pu être vraiment très excitant et j'aime sentir le côté très autoritaire, le charisme et la puissance masculine et la encore ça a manqué contrairement à la 1ère rencontre avec lui, il n'a sans doute tout simplement pas trouvé sa place.

Tout n'est pas négatif quand même, il y a eu des bons moments mais j'ai plus pris ça comme un trio plus classique.

Je ne désespère pas qu'un jour Maître B trouve la bonne personne pour me faire vivre ce que j'attends, le connaissant il va continuer ses recherches.

Soumise N

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

20 décembre 2019

PRÉSENTATION A UN MAÎTRE

PRÉSENTATION A UN MAÎTRE 

 

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Les photos n'ont pas été prise ce jour-là.

Nous avons fait la connaissance sur un site spécialisé dans le BDSM, d'un Maître qui m'intriguait, les échanges que nous avions étaient courtois, il me vouvoyait je trouvais cela assez curieux car souvent un Maître tutoie les soumises, il m'expliquait qu'il aimait le D/S à l'Anglaise, ne connaissant pas, cela a aiguisé ma curiosité bien sûr. 

Il m'a expliqué que cela consistait à avoir une soumise qui était surtout au service du Maître, qu'elle devait honorer son Maître en lui servant à boire ou son repas, bien sûr dans des tenues et des positions subjectives, cela pouvait aller jusqu'à la tenue de petite soubrette parfaite. Qu'elle devait aussi laver son Maître, j'imagine que le lavage ne devait pas se passer de manière classique. Quand il m'expliquait les choses, je m'imaginais une ambiance cosy, dans un cadre un peu ancien à l'anglaise, le feu qui crépite dans la cheminée, une musique douce, à genoux sur un tapis moelleux dans une tenue où mes seins seraient sortis, et mes orifices accessibles, en train de regarder le Maître siroter son verre tranquillement, me caressant les cheveux doucement comme une bonne chienne docile. Et même quand le Maître pourrait me dire :

- Venez me sucer salope.

Cela ferait poli, le vouvoiement donnerait une dimension différente, où règnerait une sorte de respect qui n'empêcherait pas le Maître de prodiguer à la soumise toutes sorte de sévices délicieux.

Pendant nos échanges j'aimais sa façon de parler, il était assez directif, Maître B a décidé de lui donner mon adresse Skype, pour qu'il puisse venir me parler facilement. J'ai dû lui envoyer quelques présentations et certains soirs il a même pu voir à la cam comment je suçais mon Maître. Un jour Maître B m'a dit, aujourd'hui tu vas devoir faire ce qu'il te demande. J'ai dû me mettre un plug pendant un long moment et me présenter devant lui à la cam à 12h30 précise, son côté D/S à l'Anglaise ressortait dans les exigences et le respect impératif de l'heure. Il m'a demandé de me caresser et de me faire jouir devant lui.

Maître B a décidé de me présenter à lui rapidement, cela ne lui ressemblait pas, en général il aime prendre le temps de faire plus amples connaissances, mais son envie de montrer à ce Maître comment je pouvais être une petite chienne bien docile était plus forte, il a donc été convenu d'un rendez-vous un soir dans un bar.

Ce jour-là, je me suis sentie perturbée, toujours cette appréhension de me montrer la première fois, mais aussi l'idée de me retrouver assise entre 2 Maîtres m'impressionnait beaucoup. Même si Maître B m'avait dit qu'il s'agissait juste d'une prise de contact pour parler et voir si nous pouvions avoir des envies communes, la soumise que je suis ne pouvait s'empêcher de se dire que ce ne serait pas juste une discussion, je connais bien mon Maître c'était certain qu'il allait vouloir jouer avec mes émois, comment, la question restait entière.

Les directives étaient simples :

- Pour ce soir tu mettras la robe et les sous-vêtements que j'ai préparés, je te veux totalement docile et obéissante, ne me fait pas honte. Dans le bar je veux que tu soulèves ta robe et que tu t'assoies directement sur tes fesses en écartant bien tes jambes, c'est bien compris.

- Oui Maître.

Ses mots me mettaient tout de suite une pression supplémentaire, mon comportement devait être exemplaire pour que mon Maître soit fier de moi.

Au moment de partir je me sentais nerveuse et excitée, dans la voiture je parlais beaucoup, Maître B m'a très vite calmé en me disant d'arrêter et de me comporter correctement, ce que j'ai fait tout de suite. Le Maître a envoyé un message en disant qu'il était arrivé mais qu'il trouvait qu'il y avait beaucoup trop de monde dans le bar. Ils ont donc décidé qu'on le rejoignait près de sa voiture, elle était facile à repérer, il avait une DS de collection.

Quand j'ai vu la voiture les battements de mon coeur se sont accélérés, il y avait quelque chose que me gênait, j'avais demandé comment je devais lui dire bonjour et Maître B m'avait dit tu lui feras la bise. Mon cerveau n'arrivait pas à s'imaginer que je puisse le faire, ce n'était pas un acte normal pour moi, ça me déstabilisait. 

Il n'y avait personne dans la voiture, nous avons vu un homme assez grand venir vers nous, Maître B a dit :

- C'est lui.

Je suis sortie de la voiture les jambes tremblantes et le regard baissé, au moment de lui dire bonjour j'étais un peu en panique mais il m'a tendu la main, j'étais réellement soulagé, j'ai su après qu'ils avaient décidé de me faire ça avant, pour me perturber, c'était réussi.

Maître B a dit :

- Voilà je te présente ma soumise.

Le Maître me dévisageait de la tête aux pieds, il avait un regard noir et ne souriait pas du tout cela m'impressionnait d'autant plus, que c'était gênant pour moi, j'avais l'impression d'être un objet qu'on observait avant de se décider à l'acheter ou pas.

Ils ont décidé qu'on irait plus loin en voiture, je suis montée à l'arrière de la DS en faisant bien attention de soulever ma robe pour m'assoir directement sur mes fesses et d'écarter les jambes, le regard baissé.

Je les entendais parler, je ne disais rien, mon Maître n'aurait pas aimé que je participe sans qu'on ne m'y est incité à le faire. C'était vraiment excitant de sentir si près de moi ces deux Maîtres qui faisait comme si je n'étais pas là.

Nous sommes arrivés sur un parking très sombre, quand il a arrêté le moteur je me sentais encore plus gênée, je ne pouvais m'empêcher de me demander ce qu'ils avaient prévu de faire de moi dans un endroit aussi discret.

Maître B a dit :

- Tu veux en voir plus.

- Oui bien sûr.

Ils se sont retournés et ils me regardaient, que cela me déstabilisait c'était incroyable.

Mon Maître m'a dit :

- Allez montre-toi salope, sors tes seins.

- Oui Maître.

 

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J'ai sorti mes seins et j'ai mis mes mains derrière la tête.

- Tu peux toucher si tu veux, vas-y fais toi plaisir elle est là pour ça.

Le Maître a commencé à jouer avec mes tétons et a dit :

- Ah le voilà ce piercing.

Je crois qu'il aimait le voir.

 

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Maître B a dit :

- Ils sont parfaits pour le bondage.

- Oui je vois ça.

- Tournes-toi salope montre nous ton cul.

- Oui Maître.

Je me suis mise à 4 pattes et j'ai bien écarté mes fesses afin que les Maîtres puissent bien voir mes orifices.

- Alors il te plaît son cul.

- Oui il donne envie d'y mettre sa queue.

 

mon cul

 

- Enlève ton string maintenant salope.

- Oui Maître.

- Parle plus fort on ne t'entend pas chienne.

J'ai répété un oui Maître plus fort mais quand je suis intimidée je n'ai souvent plus de voix et là c'était le cas.

Maître B a bien soulevé ma robe pour lui montrer ma chatte.

- Je ne sais pas comment tu les aimes les chattes toi mais moi je lui laisse un peu de poils sur le pubis et j'exige des lèvres totalement lisses.

- Je suis comme toi j'aime les poils aussi sur le pubis, même plus poilue que ça

- Elle n'a pas une pilosité abondante

 

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C'était assez surréaliste ils étaient en train de parler de leurs goûts pour les sexes féminins, je sentais leurs mains qui touchaient ma chatte, comme je vous disais tout à l'heure dans des moments comme cela je me sens sa "chose" et j'adore ça.

Maître B s'est aventuré plus profond dans mon intimité et a dit :

- Elle mouille déjà cette petite chienne.

- Et si tu me montrais comment elle te suce ta petite salope.

Mon Maître est passé à l'arrière de la voiture, il a sorti sa queue et m'a attrapé la tête pour diriger ma bouche vers son sexe.

L'autre Maître est resté devant et me regardait faire. Il a attrapé mes cheveux et les a relevé comme pour faire un chignon, je sentais une main ferme et directive, tout en me tenant comme ça il a commencé à vouloir diriger la pipe, c'est lui qui décidait les mouvements, par moments il m'appuyait la tête à fond pour que la queue de mon Maître se retrouve tout au fond de ma bouche ou m'obligeait à sucer de plus en plus en vite ou à m'arrêter aussi, je trouvais ça terriblement excitant, sa façon de me tenir les cheveux me plaisait vraiment, j'ai souvent remarqué que c'est une zone érogène chez moi, quand mon Maître me prend sauvagement en levrette je lui demande souvent de me tirer les cheveux en arrière, ça m'excite beaucoup.

Pendant cette fellation assez sauvage, le Maître a commencé à me doigter avec sa main restée libre, il était très habile avec ses doigts, je les sentais s'activer comme pour simuler une pénétration d'un sexe et ressortir pour venir me caresser énergiquement le clito qui était très réceptif, je sentais une brûlure excitante depuis le matin déjà, elle ne m'avait pas quitté de la journée, alors en sentant ses doigts explorer mon intimité sans délicatesse avec en plus  la queue de mon Maître bien dure dans ma bouche, la petite salope que je suis n'a pas résisté au plaisir qui montait, j'ai senti mon orgasme arriver de loin, il a parcouru mon corps et j'ai laissé sortir mon plaisir dans un gémissement atténué par la queue de mon Maître qui me remplissait la bouche.

Maître B a dû être excité de m'entendre jouir et n'a pas tardé à se vider les couilles au fond de ma gorge, j'ai senti les jets chauds de son plaisir que j'ai avalé avec délectation.

- Nettoie bien ma queue salope.

Je passais ma langue partout pour retirer entièrement le sperme, la queue de Maître B devait être bien propre, l'autre Maître me regardait faire en me touchant les seins, il avait une façon de les attraper qui était assez douloureuse, ses gestes étaient fermes.

Je me suis assise et j'ai remis les mains derrière la tête.

- Alors comment tu la trouves ma salope.

- Elle est bien docile tu ne m'avais pas menti, elle a encore des progrès à faire pour les pipes gorge profonde.

- Oui je sais, elle suce de mieux en mieux mais ce n'est pas encore ça, j'y travaille.

Je ne disais rien, je les laissais discuter de mes compétences de suceuse. Ils me regardaient en même temps, j'étais gênée mais j'adorais ça.

Le Maître n'a rien exigé de ma part, je crois qu'il était déjà satisfait de ce qu'il avait vu car il avait un côté voyeur très développé.

Cette expérience m'a beaucoup plu, j'ai aimé voir le plaisir, et la fierté de mon Maître présenter sa soumise bien docile, il m'a dit après que j'avais été parfaite, j'aime quand il me complimente comme ça, j'aime savoir que je l'ai satisfait.

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11 décembre 2019

MON MAÎTRE, DEUX HOMMES ET MOI

MON MAÎTRE, DEUX HOMMES ET MOI.

Ce matin-là, j'ai perçu que mon Maître préparait quelque chose, je le sentais exciter, il avait exigé que je lui envoie une présentation. Je ne devais pas porter de string et porter mon nouveau porte-jarretelles, il voulait que mes trous soient disponibles.

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- Je vais venir te sauter petite salope aujourd'hui.

- Vous avez envie de votre soumise Maître.

- Oui, tu vas prendre cher petite pute, je vais te dire ce que tu dois faire plus tard.

- Oui Maître.

Cette journée s'annonçait riche en émotions, avec mon Maître je peux m'attendre à des surprises à n'importe quels moments, je trouvais cela curieux qu'il m'annonce qu'il allait venir me sauter, car en général pour ça il ne se donne pas la peine de me prévenir, il rentre et utilise sa soumise comme il le souhaite, parfois il vient juste se faire sucer et se vider les couilles dans ma bouche, d'autres fois il vient me défoncer la chatte sauvagement, il y a un réel avantage à avoir sa soumise qui travaille à la maison et Maître B sait en profiter.

Je me suis préparée comme d'habitude mais en prenant ma douche je me sentais fébrile, je sentais déjà que mon intimité s'humidifiait.

Je vais dans mon bureau pour commencer mon travail et mon Maître vient me parler sur Skype :

- État de ta chatte salope.

Très facile d'aller vérifier quand on ne porte pas de culotte, j'enfonce deux doigts sans aucune difficulté dans ma chatte, je me dis "mais tu es une vraie petite chienne déjà bien excitée rien qu'à l'idée de savoir que ton Maître va venir te prendre".

- Je mouille déjà bien Maître.

- Goûte ta mouille chienne.

- Oui Maître.

Je lèche mes doigts recouverts de mon excitation, je connais bien ce goût légèrement salé. J'hume mes doigts, je connais bien cette odeur aussi, celle qui annonce que ma chatte a très envie qu'on s'occupe d'elle, cette odeur de sexe qui plane pendant nos ébats.

- Tu vas mettre le chevalet dans le salon, tu prendras les entraves, les cordes, le martinet et ton bandeau chienne, je veux que tout soit prêt pour 11h30 et ne soit pas en retard salope.

- Oui Maître.

Mon Maître m'a fait cette demande vers 9 h, mon cerveau ne pouvait que cogiter, mais pourquoi il me faisait mettre mon bandeau, allait-il venir seul ou pas... Je sais que par le passé il me l'a déjà fait, me priver de la vue était chose courante avec lui donc ça ne voulait pas dire non plus qu'il y aurait quelqu'un d'autre avec lui, mais forcément je ne pouvais que me poser la question.

Vous imaginez bien que ma concentration au travail était compliquée, j'étais dans cet état de fébrilité que j'aime tant.

11 h arrive, mes jambes tremblent légèrement, ma chatte est mouillée je le sens.

- Mets-toi debout les jambes bien écartées et les mains derrière la tête, avec ton bandeau et face à la porte d'entrée chienne.

- Oui Maître.

Mon Maître était très directif ce qui ne faisait qu'amplifier mon excitation.

Mon coeur s'accélère, j'entends le bruit du portail qui s'ouvre, le bruit des pas sur le gravier qui se rapproche, la porte d'entrée qui s'ouvre, je sursaute, ma respiration s'accélère, je suis à l'affût du moindre bruit mais je ne distingue pas plusieurs pas, je me dis qu'il ne doit y avoir que mon Maître. Il inspecte ma chatte comme il se doit et finit par me faire reculer et me place à quatre pattes sur le canapé, il relève ma robe et commence à me donner des coups de martinet pour me punir d'une faute que j'avais fait la veille, il me dit :

- Tu l'as mérité cette punition salope, tu as été une soumise très désobéissante hier.

- Oui Maître pardon j'ai été une mauvaise soumise Maître.

Mon Maître sachant que je parlais toujours à C sur Skype m'avait demandé de lui proposer d'allumer ma cam et que je me caresse devant lui. Mais je me suis rebellée, je ne voulais pas me montrer, je ne m'aimais pas du tout ce matin-là, j'étais navrée d'avoir cette réaction j'ai senti que je décevais énormément mon Maître, je m'en voulais vraiment, je culpabilisais de ne pas avoir obéi à sa demande, ma punition était tout à fait normale. Me montrer en cam reste quelque chose de très compliquée encore pour moi, je ne me sens pas à l'aise.

Après m'avoir donné quelques coups de martinet pour me faire rougir les fesses, punition douce par rapport à ma faute, Maître B m'a dit :

- Mets-toi à poil salope.

Je retire ma robe et mon soutien-gorge, Maître B me dit de garder le porte-jarretelles, je suis à l'aise car je pense vraiment que nous sommes seuls.

Je sens ses mains qui me touche les fesses, je me laisse faire j'aime cette caresse mais très vite je comprends qu'il n'y a pas que deux mains sur moi. Je sens des mains sur mes seins, qui me pincent les tétons, je fais très vite le constat qu'ils sont deux, je me demande bien qui ça peut-être je ne vois pas du tout, car Maître B m'avait dit qu'il ne parlait plus à C ces derniers temps donc ça ne pouvait pas être lui. C'était très excitant comme situation, je sentais ces quatre mains qui exploraient mon corps.

- Mets-toi à genoux salope.

- Oui Maître.

Je sens une main qui m'arrache mon bandeau, j'ose à peine lever les yeux car je découvre que j'ai deux hommes et mon Maître qui me regardent. La surprise est vraiment très grande, à aucun moment j'ai pensé que mon Maître allait m'offrir à deux personnes. Je reconnais tout de suite C et je me dis qu'ils m'ont bien eu en me disant qu'ils ne communiquaient plus ensemble, mais le bel inconnu à côté je ne l'avais jamais vu. J'étais tellement surprise que je n'ai pas réalisé au début, que c'était F un homme avec qui j'avais échangé beaucoup de messages sur un site libertin.

- Elle vous plaît ma chienne, vous pouvez sortir vos queues, allez-y faites ce que voulez, elle est à vous cette petite pute.

Je me suis retrouvée avec 2 queues bien dures qui attendaient de sentir ma bouche et ma langue sur elles.

 

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Que j'ai aimé les prendre dans mes mains et les branler, je me sentais vraiment à ma place à genoux comme ça devant eux, ils me dominaient de leur hauteur, j'aimais voir leurs regards sur moi et celui de mon Maître qui était juste à côté, il regardait sa chienne branler et sucer ces deux sexes avec avidité.

J'ai senti qu'ils aimaient tous les deux les pipes profondes, F m'enfonçait sa queue au fond de la bouche, je sentais sa main derrière ma tête pour contrôler les mouvements. J'aimais passer d'une queue à l'autre, que je me sentais chienne.

 

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Je sentais leurs glands taper le fond de ma gorge, j'aimais cette sensation où je dois maîtriser mes hauts le coeur pour pouvoir garder la queue le plus longtemps possible, j'aimais avoir la bouche remplie de ces membres durs.

la bonne

 

Mon Maître me regardait les sucer, le spectacle lui plaisait, il aimait me voir obéir, il aimait voir sa salope être un jouet sexuel et il était bien décidé à ne pas s'arrêter là.

 

Je me suis retrouvée attachée sur le chevalet très rapidement. Mon Maître a fait comprendre à C et F qu'ils pouvaient se faire plaisir avec moi, Maître B me donnait le sentiment qu'il avait plus envie d'être spectateur qu'acteur pendant cette séance. Il avait sorti sa queue et je le voyais se caresser en me regardant me faire prendre, que c'était excitant d'être allongée ainsi et de se faire défoncer la chatte et violer la bouche en même temps devant lui.

 

chevalet2

 

 Ce qui m'excitait au plus haut point c'était de les voir changer de place, ils se sont servis tous les 3 de mes trous, les queues défilaient dans mon sexe et ma bouche, ça ne s'arrêtait pas, je sentais mon corps réagir très fortement à ces assauts répétés, quand F est venu me prendre par-derrière, j'ai senti des coups de queues violents, tout ce que j'aime, il me prenait sans aucune délicatesse, la douceur n'était pas de mise, pour mon plus grand plaisir d'ailleurs, C connaissait déjà bien ma bouche pour s'être fait sucer déjà plusieurs fois et je sentais que cette situation l'excitait aussi, il m'enfonçait sa queue très profondément dans la bouche pendant que F me pilonnait. Je voyais Maître B qui se caressait juste à côté en me regardant, ça m'excitait beaucoup, il n'a pas fait que regarder, lui aussi voulait sentir ma langue sur son sexe et la chaleur de ma chatte bien mouillée. J'avoue que par moments je ne savais plus trop qui faisait quoi j'étais passé de l'autre côté, je sentais mes jambes trembler, mon clito n'était plus que feu, je m'abandonnais totalement à ces 3 hommes. 

 

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La vague délicieuse de l'orgasme est arrivée en sentant le membre bien dur de F qui faisait des va et vient puissants dans ma chatte, je pense que j'ai même dû arrêter de sucer C à cet instant, ne pouvant plus rien contrôler à part laisser le plaisir parcourir mon corps.

Que je me sentais bien après, mais il n'était pas question que ça s'arrête là, ces hommes étaient venus pour se vider les couilles c'est d'ailleurs comme ceci que je me voyais pendant cette séance, la bonne chienne de mon Maître qui n'était là que pour donner du plaisir.

yeux cachés

C a joui en me défonçant la chatte, la position que j'avais devait l'exciter, de me sentir offerte de la sorte a dû lui plaire.

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F me violait littéralement la bouche, il ne s'arrêtait plus c'était assez incroyable, je devais suivre ses gestes directifs, ma bouche s'activait, je léchais son gland, je bouffais ses couilles, je le sentais très excité, je sentais qu'il voulait jouir dans ma bouche mais il n'y arrivait pas, il me donnait des coups de queue sur le visage pour mieux reprendre ma bouche.

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J'ai senti la queue de mon Maître dans ma chatte pendant un bon moment, je suçais toujours avidement F, Maître B s'est retiré et a commencé à me donner des fessées, C m'en donnait également, je sentais mes fesses chauffer, ils tapaient de plus en plus fort et j'en redemandais :

- Encore, encore, encore...

Je ne sais pas ce qui s'est passé à cet instant, j'avais envie d'avoir mal, ce qui reste rare chez moi, la position m'excitait, la queue de F qui me violait la bouche aussi et ce jeu à 4 mains sur mes fesses, quel bon moment pour moi, mon cul n'était plus que feu et j'aimais ça. J'ai pu me rendre compte le lendemain du niveau des coups en voyant les marques.

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Je commençais à être mal à l'aise sur ce chevalet, je tirais sur les entraves pour faire comprendre à mon Maître que j'avais envie qu'il me détache, je me disais aussi qu'avec mes mains j'aurais pu être encore plus efficace pour aider F à jouir.

 

Mais malgré son excitation qui ne faisait aucun doute F n'a pas réussi à jouir, il nous a dit après, qu'en fait il n'arrive pas à jouir debout, mon Maître lui a dit qu'il aurait dû le prévenir car sans aucune hésitation il m'aurait fait changer de position pour donner du plaisir à F.

 

Mon Maître m'a détaché et m'a dit :

 

- Mets-toi à genoux salope et attends-moi.

 

Je me suis tout de suite mis en position de soumise, Maître B a raccompagné C et F, je les entendais discuter à l'extérieur, j'attendais bien sagement qu'il revienne, je me remettais doucement de toutes ces émotions fortes.

 

Quand il est revenu dans la pièce, il s'est assis sur le canapé et m'a dit :

 

- Viens la petite pute, tu vas me vider les couilles maintenant, tu m'as bien excité salope, c'est bien tu as été une bonne chienne bien obéissante je suis fier de toi.

 

J'ai pris le membre bien dur de mon Maître en bouche, j'étais heureuse qu'il soit fier de moi, je me sentais encore excité, j'aime quand il me demande de lui donner du plaisir, ma bouche qui avait déjà bien servi ne demandait qu'à recommencer, j'ai avalé sa queue goulûment, je jouais avec son gland, ma langue était partout, au bout d'un moment il m'a attrapé les cheveux et a retiré sa queue d'un seul coup de ma bouche et il m'a dit :

 

- Bouffe-moi les couilles salope.

 

Sa main ferme a écrasé littéralement mon visage sur ses couilles, que j'aime ses gestes aussi directifs, cette façon de m'imposer ses désirs m'excite au plus haut point, je pense que s'il m'avait autorisé à jouir à ce moment-là je n'aurais eu aucune difficulté à le faire, la brûlure de mon clito était toujours bien présente et un simple effleurement sur mon petit bouton aurait sans doute suffi à provoquer un orgasme. Mais ce qui comptait le plus pour moi c'était le plaisir que j'allais donner à mon Maître, je voulais boire son plaisir.

 

Quand il a senti qu'il allait jouir il m'a rattrapé la tête par les cheveux et a enfoncé sa queue tout au fond de ma bouche, je ne bougeais plus je le laissais se vider les couilles en moi, il appuyait sur ma tête fortement pour qu'il n'y ait plus de mouvements possibles de ma part, je pouvais à peine respirer, je sentais les jets chauds de son éjaculation, le sperme s'accumulait dans ma bouche, je ne pouvais pas l'avaler, il me faisait comprendre que je devais le garder en bouche. On est resté comme ça pendant un bon moment, mon Maître se détendait après son orgasme, il a fini par retirer sa queue de ma bouche et m'a dit :

 

- Avale salope et nettoie bien ma queue maintenant.

 

J'ai avalé son sperme toujours avec le même plaisir, et nettoyé sa queue très consciencieusement comme une bonne chienne se doit de le faire.

 

Cette expérience a été très forte pour moi une fois encore, mon Maître voulait me faire sentir que j'étais un jouet sexuel, qu'il m'offrait à qui il voulait et quand il le voulait.

 

Merci Maître de m'apporter autant de sensations fortes.

 

Soumise N 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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