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PROGRESSION D'UNE SOUMISE
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29 janvier 2020

NUE SOUS MA ROBE

NUE SOUS MA ROBE.

Mon Maître m'annonce que le lendemain, je devrais aller seule, boire un verre dans un bar. Jusque-là rien d'extraordinaire, quoi que pour moi, ce genre de sortie se fait au moins à deux pour avoir le plaisir de discuter et l'idée d'y aller seule ne me plaisait pas plus que ça, mais bien sûr je devais obéir. 

Il me dit :

- Tu vas te mettre en robe sans sous-vêtement à part des bas.

- Même pas un soutien-gorge Maître.

- Non chienne, je te veux à poil, que ta chatte et tes seins soient disponibles.

- Oui Maître.

 

robe

 

Je n'aime pas sortir sans soutien-gorge, il le sait bien, je ne suis pas à l'aise.

Je sais que mon Maître veut me faire progresser pour les expériences en extérieur, car dès que je dois réaliser des choses en public je perds mes moyens, sans doute un manque de confiance en moi et en l'image que je renvoie, je stresse trop et cela atténue mon excitation.

Je ne dors pas très bien, je me sens nerveuse, que vais-je devoir faire dans ce bar, beaucoup de questions me viennent sans que je puisse y répondre.

Mon Maître accepte que je mette une robe un peu plus longue que d'habitude, cela me rassure, quand je suis nue dessous je me sens plus vulnérable et j'ai le sentiment que tout le monde le voit.

 

 

4

 

L'habillage est rapide, j'enfile mes bas noirs dotés d'une jolie bande en dentelle, mes bottes à talons hauts et ma robe.

Mon Maître m'indique l'adresse du bar, il est à 10 minutes en voiture, je vois que c'est un bar-restaurant plutôt réservé à des routiers, ça ne me rassure pas plus que ça. Je n'ai rien contre les routiers bien sûr mais mon Maître m'ayant dit parfois, qu'un jour il m'offrirait en pâture à des hommes sur un parking, mon imagination allait bon train.

Je me gare facilement vu la taille du parking et je trouve qu'il y a beaucoup trop de voitures et de camions à mon goût.

- Je suis arrivée Maître.

- Tu vas rentrer et aller t'installer à une table bien visible, je veux que tu soulèves ta robe pour t'asseoir, que ton cul et ta chatte sentent bien le cuir de la chaise salope, tu mets ta robe au dessus des genoux et tu écartes tes jambes bien sûr.

- J'ai peur Maître, il y a beaucoup de monde dans ce bar Maître.

- Ne discute pas chienne, vas-y tout de suite.

- Oui Maître.

Je me dirige vers l'entrée du bar les jambes tremblantes, je remarque sur le côté droit une petite salle, j'ai très envie d'aller m'y installer mais je me rappelle de la phrase de mon Maître :

- Mets-toi sur une table bien visible salope.

Je choisis une table près d'une fenêtre dans la pièce où se trouve le bar, il y a pas mal de personnes, surtout des hommes seuls. Je soulève discrètement ma robe pour m'asseoir directement sur mes fesses nues et je laisse mes jambes légèrement écartées, pas assez je le sais, mais 2 hommes sont placés sur une table pas loin de moi et je me dis que si j'écarte trop les jambes ils auront une vue directe sur ma chatte, ça me met très mal à l'aise.

Je commande un café et un verre d'eau à un homme qui se trouve derrière le bar, visiblement le patron. 

Je suis vraiment très troublée, j'essaye de me faire toute petite et me rendre invisible. Je parle à mon Maître via Skype et lui décrit les personnes qui sont autour de moi. Je lui dis que le patron parle et rigole très fort, impossible de faire abstraction tant il se fait remarquer. Il me ramène ma commande et me dit :

- Le verre d'eau c'est pour moi en souriant.

Je ne comprends pas pourquoi il me dit ça, un verre d'eau non minérale est toujours gratuit dans un bar, je le remercie quand même.

Mon Maître m'avait donné comme directive d'écrire un fantasme pendant que je prendrais mon café.

Je m'exécute, dans un sens cela m'arrange, j'ai une excuse pour ne pas regarder ce qui se passe autour de moi, j'ai les yeux rivés sur mon téléphone pour écrire, en bruit de fond, les éclats de rires du patron, il est incroyable cet homme, j'entends même des clients lui dire mais qu'est-ce que tu as aujourd'hui, tu as mangé du lion...

J'envoie ce fantasme à mon Maître.

"Un jour j'aimerais que vous m'emmeniez dans un endroit protégé ou très discret et que vous m'attachiez les mains derrière le dos. Je serais nue sous mes vêtements et vous laisseriez des hommes et des femmes me toucher Maître. Cette fois-ci je verrais ces personnes, pas comme dans le club où ma tête appuyée sur votre épaule m'empêchait de voir tous ces hommes qui me caressaient Maître, là vous m'obligeriez à les regarder droit dans les yeux Maître et vous donneriez des indications sur ce qu'ils auraient le droit de me faire Maître et pourquoi pas si les personnes vous plaisent vous pourriez me forcer à les sucer Maître" 

- Très bien salope, je n'ai pas encore trouvé l'endroit et les personnes pour te faire vivre ça mais un jour tu y passeras chienne, comment est ta chatte.

- Mais Maître il y a plein de monde je ne peux pas regarder l'état de ma chatte maintenant Maître.

- Obéis tout de suite, mets tes doigts dans ta chatte je veux savoir si tu mouilles chienne.

- Oui Maître.

Je sens mes joues devenir rouge, un instant de panique m'envahit, je me dis mais comment je vais pouvoir mettre mes doigts dans ma chatte sans que ça se voie, surtout qu'un homme est venu s'installer juste derrière moi. Mais je dois obéir à mon Maître, il serait trop déçu si je ne respectais pas son ordre et une punition pourrait tomber.

Je finis par glisser ma main gauche tout doucement sous ma robe pour atteindre mes lèvres, je les écarte pour pouvoir glisser un doigt dans mon intimité, je regarde partout pour voir si quelqu'un peut voir ce que je suis en train de faire, mon coeur bat vite, les 2 hommes en face de moi discutent, ça me rassure. Je sens l'humidité sur moi doigt mais pas très importante, comme je le disais le stress en public bloque mon excitation. Je retire vite ma main.

- Ma chatte est légèrement humide Maître.

- Très bien je me doutais que tu n'allais pas mouiller à fond, mais tu m'as obéi c'est très bien chienne.

- Merci Maître.

Le patron du bar est passé en salle et s'est rapproché de moi tout en continuant à parler à des clients, je n'écoutais pas trop ce qu'il leur disait mais il finit par me demander si je suis mariée, après un instant d'étonnement je lui réponds que oui, il reprend sa conversation.

- Maintenant salope tu vas aller dans les toilettes prendre une photo pour me prouver que tu es bien à poil sous ta robe, ensuite tu retournes dans la voiture et tu attends mes instructions.

- Oui Maître.

Je suis soulagée, je vais pouvoir partir de ce bar, je me lève mais ne voyant pas les toilettes, je demande au patron où elles se trouvent, il me répond :

- Dans mon bureau.

Je souris légèrement et attend qu'il daigne me donner l'indication, je ne trouve pas sa blague très drôle je dois l'avouer, si c'est de la drague je trouve ça un peu lourd, les clients rigolent eux, il finit par m'indiquer les toilettes, quoiqu'il se trompe, au lieu de me dire au fond à gauche il me dit au fond à droite, décidément il est vraiment curieux cet homme, il a l'air troublé.

 

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J'envoie la photo à mon Maître et je sors du bar, ouf enfin, je ne peux m'empêcher de me demander pourquoi cela me perturbe tant que ça, quand je vois ce que je suis capable de faire en privé.

- Je suis dans la voiture Maître.

- Tu vas soulever ta robe bien au-dessus de ta chatte et tu vas rentrer comme ça, si tu dois doubler un camion tu le fais, compris salope.

- Oui Maître.

 

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Je pars en me disant pourvu que je n'aie pas à doubler, je vois bien un poids lourd devant moi mais le feu passe juste au rouge du coup je m'arrête, je suis soulagée, l'idée d'exposer ma chatte au regard du chauffeur me perturbe.

Je dis à mon Maître que je suis rentrée et il me demande comment je me sens.

Comme je dois toujours lui dire la vérité sur mes ressentis, je n'hésite pas à lui dire que ce n'est pas ce genre d'expérience qui me plaît le plus.

- Je le sais très bien salope mais je veux que tu progresses dans ce domaine.

- Oui je le sais Maître, le patron du bar était vraiment bruyant, on entendait que lui, quand je lui ai demandé les toilettes il m'a répondu dans mon bureau Maître.

- Ça ne m'étonne pas de lui.

- Mais vous le connaissez Maître ?

- Oui chienne, la prochaine fois il te sautera dans son bureau, je vais t'offrir à lui, aujourd'hui il était là pour voir si tu m'obéissais bien, il est déçu il n'a pas réussi à voir ta chatte, tu n'as pas beaucoup écarté tes jambes salope.

- Oui j'avoue Maître mais j'étais trop gênée Maître.

- Tu dois faire tout ce que je te demande, tu sais que je pourrais te donner une punition pour ça.

- Oui Maître, faites ce que vous voulez si vous jugez que je mérite une punition donnée là moi Maître.

- Non tu n'en auras pas cette fois-ci car je suis fier de toi, je sais que c'était difficile pour toi aujourd'hui.

- Merci Maître, oui je me suis senti très troublée et déstabilisée tout au long de cette sortie Maître.

Je comprenais mieux l'attitude du patron du coup, il savait que j'étais nue sous ma robe, et que j'allais devoir vérifier l'état de ma chatte, forcément ça peut rendre nerveux un homme, il s'imaginait déjà peut-être m'aplatir le ventre sur son bureau, me relever ma robe pour laisser apparaître mes orifices, m'écarter les jambes et me prendre comme ça en me disant que je n'étais qu'une chienne bonne à baiser.

Cette expérience va vous paraître light sans doute par rapport à ce que vous avez pu lire dans certains articles, mais sachez que j'ai ressenti des émotions fortes, je me suis dépassée pour réaliser les ordres de mon Maître et au final même si l'excitation n'est pas aussi forte qu'avec d'autres expériences, j'étais fière de moi de l'avoir fait, c'est ça le quotidien d'une soumise, elle doit se surpasser pour faire plaisir à son Maître et si elle y parvient elle se sent grandit , comme je l'écris souvent c'est l'élévation dans la soumission.

Merci Maître de me faire devenir une soumise encore meilleure, je m'épanouis sous vos ordres, je me sens plus belle, je me sens femme, je suis fière de porter votre collier, chaque jour qui passe je sens les chaînes qui me lient à vous se resserrer sur moi, pour mon plus grand plaisir et j'espère le vôtre Maître.

N

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Commentaires
F
Quel récit et situation terriblement plaisants et excitante !! Vous êtes réellement un puits de plaisirs et de fantasmes, merveilleuse femme que vous êtes :) Et, mon Dieu, quelles mamelles humm
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M
un vrai travail sur toi. Ma soumise est pareille. Faire quelque chose en public la bloque complètement. Mais à te lire je me dis que même si le chemin est long je vais pouvoir lui apprendre ça.
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S
Encore et toujours un très beau récit. Quel courage aussi, je vous admire.
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G
Un courage phénoménal de se découvrir ainsi , très troublant , j'imagine très bien la scène, client matinal pour le café dans ce genre de commerce , j'imagine les regards voyeurs des habitués sur cette proie, ils ont du adoré et espèrent ce retour qui a illuminé leurs journées , c'est sûre....G-C
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