1 ERE SEANCE AVEC MAITRE B

1 ÈRE SÉANCE AVEC MAÎTRE B  

Les vibrations sur mon clito et les pénétrations de mon gode avaient entretenues au long de toute cette journée une excitation assez forte. Mon Maître m'a donné toutes les instructions au fur et à mesure de la journée, il m'a dit après ton travail tu vas préparer le donjon petite salope, le donjon, c'est la première fois qu'il appelait cette pièce donjon le mot prenait tout son sens pour moi et m'a beaucoup excité.

J'avais déjà préparé ma lingerie et ma robe le matin avant de commencer à travailler, j'avais choisi un joli soutien gorge noir transparent avec un string en dentelle noir également et des bas , mon Maître était d'accord pour le choix d'une petite robe noire qui a un joli décolleté. Mes escarpins à talons haut allaient convenir avec cette robe.

J'ai mis en place tous mes jouets, les cordes, un matelas au sol, les boissons fraîches, les bougies, j'avais choisi une playlist de jazz doux pour la séance.

En préparant le donjon je commençais à être fébrile, c'était la première séance avec Maître B, je ne savais pas comment j'allais réagir, je savais que se serait différent cérébralement et physiquement des séances avec Maître Gilles, j'avais une certaine appréhensions, je craignais que mon cerveau ne suive pas, nous avions signé le contrat depuis peu et l'emprise était obligatoirement différente et pas encore totalement instaurée, d'où mes craintes de ne pas arriver à lâcher prise totalement. J'allais vite savoir mes réactions. Mais le plaisir que j'ai pris à me préparer était de bonne augure.

Mon Maître m'avait dit je veux que tous tes trous soient disponibles bien sûr salope.

A 18h j'ai pris ma douche en préparant mon cul comme il se doit, je me suis habillée doucement, j'aime ce moment où j'enfile mes bas et mes sous-vêtements, je me regarde dans le miroir et l'image que je renvois me plaît.

Mon Maître m'avait dit je te dirais quand aller dans le donjon se sera après 19h petite pute. Je devais rester dans le salon en attendant, il voulait installer la croix de St André avant la séance, je ne l'ai pas vu, j'entendais bien des bruits au fond du couloir, c'était une drôle de sensation je savais que mon Maître était la, j'étais assise, je ne savais pas quoi faire à part attendre ces directives, mon clito me brûlait déjà bien.

Vers 19h00 j'ai reçu un message sur skype :

- Tu vas pouvoir passer dans le donjon et m'attendre gentiment petite chienne en chaleur.

- Oui j'y vais Maître.

C'était vraiment curieux, nous étions dans le même endroit mais sans nous croiser, je sentais sa présence partout mais sans le voir, ça me troublait.

- Tu vas te servir un verre et te détendre en m'attendant petite chienne.

- Oui Maître.

Je me sers un verre, au début je m'asseois sur un canapé mais je ne me sens pas à ma place, je vais très vite sur le matelas au sol, je regarde la croix, ça m'excite tout de suite des images se bousculent dans ma tête. Je suis assez calme mais très impatiente que mon Maître vienne s'occuper de moi, la musique douce me détend, je bois mon verre tranquillement et j'allonge mes jambes, je sais qu’elles vont être misent à contributions assez durement pendant la séance. Je sens bien mon collier de soumise autour de mon cou, il me provoque toujours une sensation forte, c'est un lien très fort envers mon Maître, je me sens vraiment soumise quand je le porte.

Je guette mon portable, l'attente est longue mais me plaît énormément, je me demande ce que fait mon Maître, mon bandeau est à côté de moi.

40 minutes après la notification skype retentit, mon coeur s'accélère 

- Dans quel état est ta chatte

- Mouillée Maître

- Tu t'es assez détendue

- Oui je suis bien Maître

- Ton état d'excitation

- Mon clito me brûle Maître

- Développe salope

- J'aime cette attente elle m'excite, j'aime savoir que mon Maître va arriver Maître

- J'espère que tu n'as pas les jambes croisées

- Plus maintenant Maître

- Grrrr

- Pardon Maître

- Tu vas prendre cher depuis 2 jours tu accumules les punitions chienne

- Oui je ne suis pas une bonne soumise Maître

 - Tu vas te faire redresser ce soir comme il se doit

 - Oui je comprend Maître

 - Nous allons aller vers tes limites

 - De la douleur Maître ?

 - Oui chienne

 - Vous aimez me faire mal Maître

 - Oui et tu en as besoin pour comprendre où est ta vraie place salope

 - Oui avec de la crainte Maître

 - La crainte fait partie de l'apprentissage

 - Oui Maître

 - Tu vas pouvoir te mettre en position et qu'elle soit parfaite petite chienne

 - Je te veux très obéissante

 - Oui Maître

 J'étais très fébrile après cette conversation, mon Maître venait de me faire comprendre que la séance allait être assez sauvage, la douleur me fait peur et quand je lis, nous allons aller vers tes limites cela me provoque à la fois de la crainte mais aussi de l'excitation.

Je met mon bandeau je m'installe au milieu du matelas légèrement tournée vers la porte, je me prosterne bras en avant, cul bien relevé et bien cambré et j'attends, je sens que mon cerveau est en ébullition, et je suis heureuse de voir qu'il ne demande qu'à se laisser guider par Maître B. Le temps me parait long je suis très impatiente, le bruit lointain d'une porte qui s'ouvre, des pas qui traversent le long couloir, mon coeur bat de plus en plus vite, ma respiration est à peine audible, tous mes sens s'amplifis, ces bruits de pas me font un  effet incroyable, la porte du donjon s'ouvre, ça y est mon Maître est là, je suis très excitée, je fais attention de ne plus bouger du tout, je veux que mon Maître soit fier de ma position. 

Une main sur mes fesses, je sursaute, je sens ma peau très réceptive à cette caresse car il est doux au début, il caresse chaque centimètre de mes fesses et de mes cuisses, je me cambre encore plus et je gémis doucement, quand il décide d'aller voir l'état de ma chatte la douceur cesse immédiatement, il écarte mon string et il me doigte très vivement, le bruit ne fait aucun doute sur l'état de ma chatte.

- Tu mouilles bien petite pute tu es une vraie chienne en chaleur

 - Oui Maître

 - A quatre pattes petite pute

 - Oui Maître

 Mon Maître attache la laisse à mon collier, il la tient très serrée, ça me coupe la respiration.

- Tu te sens chienne la

 - Oh oui beaucoup Maître

 J'aime ces gestes sûrs où il me fait bien sentir où se trouve ma place.

 Il fait glissé la laisse derrière mon dos et entre mes fesses.

Je ne bouge plus j'attend, je l'entend marcher, je me demande ce qu'il fait et la j'entend le bruit d'une photo que l'on prend.

 Il écarte la laisse de mes fesses.

 Il m'appuie sur le haut du dos pour me faire sentir que je dois reprendre ma position de soumise prosternée, je m'exécute tout de suite.

 Une claque sur mes fesses retentit, je pousse un léger cri je ne m'y attendais pas, une deuxième, une troisième, il ne s'arrête plus, sa main est lourde, la brûlure est quasi immédiate, je sens que Maître B va être beaucoup plus dur que Maître Gilles, je ne peux être surprise puisqu'il m'a prévenu juste avant que j'allais prendre cher.

Mon Maître doit trouver que mon cul n'est pas assez rouge, le paddle remplace la main, oh que ça fait mal, cette petite planche recouverte de cuir a la particularité de couvrir une grande surface de peau, la brûlure est vive à chaque coup, je gémis de plus en plus mais j'essaye d'atténuer mes sons, je veux être une bonne soumise qui supporte tout ce que lui fait son Maître et ce soir il veut que je supporte la douleur alors je ne cris pas, le martinet remplace le paddle, les coups pleuvent, ma peau est devenue ultra sensible, je sens les liens du martinet sur ma chatte ça me fait sursauter car la douleur est vive, mais quand va t-il s'arrêter et nous en sommes qu'au début de la séance, vais-je pouvoir tenir, il retourne voir l'état de ma chatte de temps en temps, la délicatesse n'est plus de mise, il prend possession de ma chatte de toute sa force, je me sens totalement à lui, mon corps ne m'appartient plus.

 Les coups cessent, je souffle, la chaleur est partout, je suis toujours prosternée.

 - A genoux salope.

 - Oui Maître

J'écarte bien mes jambes et met mes mains derrière la tête, il me sort les seins, j'ai encore ma robe, il me pince les tétons fortement, je retiens mes gémissements, des coups de martinet recommencent, il va très vite, les liens peuvent faire très mal surtout quand le bout des liens tombe juste sur un téton, il ne fait pas de différence avec mon seins qui a le piercing, la sensibilité et la douleur sont  plus présentent. Au bout d'un long moment et d'une multitude de coups de martinet, il me dit :

- Debout salope

- Oui Maître

Je me relève vite je ne dois pas faire attendre mon Maître, je me place tout de suite les jambes écartées les mains derrière la tête, mes jambes tremblent un peu, j'ai du mal à garder ma stabilité avec mes talons.

Je commence déjà à perdre la notion du temps, et on est qu'au début, je me sens terriblement excitée j'ai déjà envie de sa queue en moi, mais je ne le dis pas bien sûr.

Il me retire ma robe, j'entend encore le bruit du téléphone qui fait des photos, mon Maître a envie de garder des souvenirs on dirait.

Moi qui combat en permanence mes complexes je ne me sens pas gênée, je sais que l'image que je renvois lui plaît c'est le principal.

Nous avions fait connaissance quelques temps avant d'un homme, que je nommerais O., connaissant son goût prononcé pour la lingerie, je lui avais dis,je demanderais à mon Maître si il veut bien prendre une photo de moi et que je te l'envoie. 

Mon Maître a pensé à lui et après avoir fait une photo de moi debout seins sortis, il m'a remis mon soutien gorge ( il a du se dire que O. aimerait voir le soutien gorge) et m'a dit :

- Cette photo est pour O.

- Oui Maître

Je me suis dis, oh O. va être content de recevoir cette photo demain.

Mon Maître attrape une longue corde et commence à me saucissonner, je sens la corde m'entourer les seins, passer entre ma chatte, revenir derrière mon cou, je me laisse faire j'aime sentir ces liens sur moi et mon Maître m'éffleure, ces mains sur ma peau me font beaucoup d'effets, je peux sentir son parfum envoûtant tellement il est proche de moi, je sens la chaleur de son corps ça m'excite.

Il me met mon bâillon et m'attache les bras en l'air, cette position m'excite terriblement, je me sens tellement vulnérable, il peut faire tout ce qu'il veut de moi, je n'ai aucune possibilité de bouger, que je me sens chienne, que je me sens soumise à cet instant.

Il joue avec mon corps, il écarte les cordes qui passent sur ma chatte pour pouvoir me doigter sauvagement.

J'ai envie de jouir, je sens que je mouille beaucoup, il sent mon excitation car il me dit :

- Tu as déjà envie de jouir petite pute.

Je répond avec difficulté du à mon bâillon

- Oui Maître

- Comment

Il me fait répété, ça doit lui plaire de me forcer à parler avec ce bâillon.

- Oui Maître

Les paroles sont à peine audibles, la bave commence à couler sur mon menton, je la sens tomber sur mes seins.

Je vais rester suspendue comme ça un long moment, les fessées continues, les coups de martinet également, mon Maître me martyrise les tétons, je ne peux que me laisser faire, il joue avec mon clito, il revient souvent sur mon cul, je sens qu'il veut commencer à le préparer avec ces doigts, ça m'excite beaucoup. Cette position est une véritable découverte pour moi, je n'avais jamais été attachée aussi serrée, je sentais les cordes me lacérer les poignets, mais j'aimais cette douleur et cette sensation de vulnérabilité. S'abandonner de la sorte à son Maître a été réellement jouissif pour moi. Je sens une chaleur surprenante sur mes seins, je comprend tout de suite que mon Maître est entrain de faire couler de la cire, curieusement cela ne brûle pas vraiment, je ressens une chaleur agréable, c'est presque un moment de douceur après tout les coups de martinet que je viens de recevoir, mon état d'excitation est très fort, je dois contrôler je le sais mais que j'aimerai jouir à ce moment là. Mon Maître décide de me détacher et me dit :

- Allonge toi sur le ventre salope tu vas te reposer un peu

- Oui Maître

- Merci Maître

C'est un véritable soulagement pour moi de pouvoir m'allonger, la position devenait difficile à tenir, mes poignets étaient à vif à cause des cordes. Bien sûr j'ai fais attention en m'allongeant de bien écarter mes jambes pour que mon Maître puisse bien voir mon cul et ma chatte. Mon Maître a dû s'asseoir tranquillement pendant que je récupérais, j'étais bien au sol, mes muscles se détendaient, j'entendais la musique, ces instants de calmes sont quasiment indispensables pour pouvoir récupérer un peu quand une séance est longue.

- Tu es assez reposée petite pute.

- Oui Maître

- Alors vient me servir mon verre chienne.

- Oui Maître.

Je me met à quatre pattes et me dirige vers mon Maître au son de sa voix car j'ai toujours mon bandeau sur les yeux. Je sens ces chaussures, je m'arrête et me met à genoux jambes bien écartées les mains derrière la tête. Mon Maître me touche les seins et inspecte encore une fois ma chatte avec ces doigts. Il retire mon bandeau, mes yeux réagissent à la lumière, j'ai tellement été habitué à ne rien voir avec les séances de Maître Gilles, que j'en suis presque gênée, je ne sais pas où poser mon regard, puis-je regarder mon Maître ou pas, je décide de baisser les yeux, je vois que mon Maître porte un pantalon et une chemise noir, je le trouve vraiment classe comme ça, le noir le rend encore plus impressionnant à mes yeux.

- Sert moi une bière salope, je vais me détendre.

- Oui Maître.

Je m'exécute, mes gestes sont un peu maladroit, cela me trouble de devoir servir mon Maître comme ça, ça m'excite énormément, je lui tend son verre et je ne peux m'empêcher de croiser son regard, la noirceur de celui ci m'impressionne encore plus, ce n'est pas mon mari qui me regarde c'est bien Maître B, à cet instant tout les doutes que j'avais pu avoir sur mes capacités à voir mon mari comme mon Maître se sont envolés, c'était vraiment 2 hommes totalement différents.

- Baisse les yeux salope qui t'a autorisé à me regarder.

- Oui Maître excusez moi Maître

Je suis très troublée, je trouve presque plus facile de porter mon bandeau, cela demande une maîtrise continue de ne pas lever les yeux, mais qu'est ce que ça me ramène bien à ma position de soumise.

Mon Maître boit son verre doucement, il me regarde, il ne dit rien, il doit aimer avoir sa soumise à ces pieds.

- Caresse toi petite pute.

- Oui Maître.

Je commence à caresser mon clito que je sens gonfler de plaisir, je me touche les seins aussi, je gémis doucement mon clito n'en peut plus, mon Maître doit sentir mon excitation, il profite du spectacle, je me rentre des doigts dans ma chatte dégoulinante de mouille, j'aime me caresser devant mon Maître, je me dis il va peut-être me laisser jouir devant lui comme ça mais non , il veut juste voir sa chienne se branler à ces pieds.

- Allez viens me sucer maintenant salope.

- Oui Maître

J'ouvre doucement sa braguette, le renflement ne fait aucun doute sur l'état d'excitation de mon Maître, je sors sa queue déjà bien dur et je l'avale goulûment, que j'aime sucer mon Maître, c'est comme un cadeau pour moi, je m'applique, son gland vient taper le fond de ma gorge, il doit trouver que je vais trop vite il me dit :

- Plus doucement salope.

- Oui Maître.

Il doit vouloir profiter de cet instant, je ralentis donc mes mouvements, je joue avec son gland avec le bout de ma langue, je lèche sa queue sur toute sa longueur comme quand on lèche une glace, et je la reprends entièrement dans ma bouche à en avoir des hauts le coeur, j'aime les pipes profondes ça m'excite terriblement.

- Lèche moi les couilles petite pute.

- Oui Maître

Je lèche ces couilles, elles sont douces, j'en prends une dans ma bouche, ma main s'active sur sa queue en même temps.

- Avale les deux chienne.

J'essaye de mettre entièrement ces couilles dans ma bouche, mais je n'y arrive pas ma bouche est trop petite, il doit aimer ce que je lui fait car sa queue est vraiment raide.

- Reviens me sucer salope.

Je reprend sa queue et la je sens que mon Maître veut que j'accélère mes mouvements, une pipe sauvage commence, il m'appuie sur la tête pour que je garde sa queue au fond de ma gorge, je dois maîtriser mes hauts le coeur, quand il sent que je ne tiens plus il me laisse reculer ma tête, sa queue sort de ma bouche en laissant couler un filet de bave sur moi, je peux reprendre ma respiration et il recommence, je prend un réel plaisir à le sucer comme ça même si par moment c'est difficile de sentir le gland buter au fond de la gorge. Ca va durer un bon moment, mon Maître contrôle tout avec ces deux mains sur ma tête, c'est lui qui décide ce que je dois faire, je ne suis plus qu'une bouche de salope qui n'est la que pour apporter du plaisir à son Maître.

- Lèche moi les couilles encore chienne.

Je retourne vers ces couilles, ma langue est partout.

- Lèche moi le cul putain.

Je m'abaisse encore plus au sol pour pouvoir atteindre son cul et je le lèche avec le bout de ma langue au début, ensuite je fais comme une chienne, je donne des grands coups de langues de son cul jusqu'à ces couilles.

- C'est bien ça salope continue comme ça.

Je sens que ça donne beaucoup de plaisir à mon Maître, je suis une soumise heureuse, je rentre ma langue dans son cul et commence à bouger d'avant en arrière, cette pénétration l'excite énormément, il ne tarde pas à me dire :

- Je vais me vider les couilles dans ta bouche de salope.

Et la il attrape ma tête par les cheveux sans aucune délicatesse et me fourre sa queue au fond de la bouche pour que j'avale son plaisir, je sens le sperme chaud, cela dur longtemps, je sais que l'orgasme de mon Maître a été fort, je suis une soumise comblée d'avoir pu lui apporter ça.

- Nettoie ma queue salope

Plus une goutte de sperme ne doit rester, je passe ma langue partout, j'aime quand il me demande ça, la brûlure de mon clito ne fait que s'intensifier, j'ai l'impression que je pourrais jouir sans qu'on me touche, mais je dois contrôler, c'est mon Maître qui décidera de me laisser jouir ou non je le sais.

- Retourne sur le matelas petite pute.

- Oui Maître

Je retourne sur le matelas à 4 pattes, je fais attention à ma position car je sais que mon Maître me regarde avancer, je me cambre bien pour que la vue lui plaise.

• Remet ton bandeau chienne.

• Oui Maître.

J'entends mon Maître approcher, je devine qu’il est derrière moi, une chaleur inattendue sur mes fesses me fait sursauter, je sens de la cire couler sur toutes mes fesses, mon Maître aime ça, j’ai déjà les seins remplis de cire maintenant c’est mon cul.

• Debout salope.

• Oui Maître.

Je suis debout, j'attends, je me demande ce que fait mon Maître, je l’entend allumer une cigarette, je sens la fumée, je ne bouge pas, moi aussi je fumerais bien une cigarette mais je me garde de lui dire bien sûr, au moment où je m’y attends le moins, je sens une chaleur très forte sur le coté d’un sein qui me fait sursauter, je réalise que mon Maître a approché le bout incandescent de sa cigarette si près de mon sein que j’en garderais une trace pendant quelques jours, il fait la même chose sur l’autre sein, je gémis, la sensation n’est pas la même que la cire, là ça brûle vraiment. Je vois que Maître B a décidé de me faire vivre d’autres expériences.

Il me retire mes chaussures, il doit réaliser que les positions qu’ils me demande sont difficiles à garder avec des talons hauts, il n’a pas tort.

• Allez salope je vais t’attacher sur la croix j’ai envie de jouer avec toi putain.

Je me retrouve très rapidement pieds et poings liés à la croix, jambes écartées. ça m’excite terriblement de me retrouver ainsi à sa merci. Il me pince très fortement les tétons, je cris, il me fouille la chatte, je mouille terriblement j'entends le bruit que font ces doigts dans ma chatte, il ne manque pas de me le faire remarquer.

• Tu aimes être attachée comme ça salope ta chatte trempée le prouve.

• Oui Maître.

Les coups de martinet reprennent de plus bel, je sens les franges sur tout mon corps, ça me brûle, j’aime ça, je gémis de plaisir.

Mon Maître attrape mon rabbit et active les vibrations et décide de me l’enfoncer dans la chatte, oh je suis trop excitée, ce rabbit est terrible, la partie qui repose sur mon clito me fait basculer de l’autre côté, les vibrations me procurent un plaisir indescriptible, mon Maître fait des aller et vient avec, j’ai l’impression d’avoir un sexe dans la chatte, je n’en peux plus j’ai trop envie de jouir, mon Maître s’arrête et me dit :

Tu vas le garder dans ta chatte de salope et je ne veux pas qu’il tombe petite pute.

Je commence à le serrer du mieux que je peux avec les muscles de ma chatte et mon Maître recommence à me maltraiter avec le martinet, me sentir ainsi si vulnérable où je ne pouvais plus avoir le moindre contrôle sur mes mouvements à part ceux de ma chatte pour ne pas faire tomber mon rabbit m’excitait au plus haut point, la chaleur des coups décuplait les sensations de plaisirs, mon Maître a recommencé à jouer avec le rabbit et m’a dit :

• Vas y salope lâche toi je veux t'entendre jouir ma chienne en chaleur.

Je n’ai rien retenu, je n’en pouvais plus de sentir ces vibrations partout, j’ai laissé mon plaisir sortir dans un gémissement profond, je ne me préoccupais pas des bruits que je pouvais faire la seule chose qui m’importait c’était de laisser cette vague de plaisir parcourir mon corps que mon Maître m’autorisait à avoir.

Après mon orgasme je me sentais comme une poupée de chiffon, tout mes muscles s’apaisaient, je me laissais porter par les cordes qui me retenait.

• C’est bien salope j’aime t’entendre jouir comme ça.

Mon Maître devait être très excité car il n’a pas tardé à me détacher de la croix et à enlever les cordes sur moi, je me suis retrouvée à 4 pattes très vite et mon Maître a commencé à introduire des doigts dans mon cul, la délicatesse n’était pas de mise, après avoir fouillé mon cul un long moment il a remplacé ces doigts par mon gros plug, l’excitation était encore là du coup après une légère douleur quand la partie la plus grosse du plug a pénétré mon anus, j’ai trouvé particulièrement agréable de sentir cet objet dans mon cul. Mon Maître m’a remis la laisse et a décidé de me promener à ces pieds, il tirait la laisse pour me guider, il l’a tenait bien serrée, ma tête touchait son pantalon tellement j’étais collé à lui, je sentais les vibrations du plug, ça m’excitait beaucoup, mon Maître me caressait la tête comme si j’avais été un animal, c’est bien ce que j’étais d’ailleurs, sa petite chienne en chaleur qui ne redemandait qu’à jouir. Je ne sais plus combien de temps il m’a promené comme ça, je sentais la douleur aux genoux être de plus en plus forte et quand ils sont rentrés en contact avec le moelleux du matelas j’avoue que cela m’a soulagé. 

Je suis restée à 4 pattes sans bouger j’attendais les directives de mon Maître, j’ai entendu le bruit d’une braguette qu’on descend et en un rien de temps, il a retiré mon plug du cul pour introduire sa queue à la place, je ne m’y attendais pas, la violence de la pénétration m’a fait pousser un cri mais ce n’était pas de douleur mais de plaisir, j’attendais tellement ce moment où mon Maître m’honorerait avec sa queue que l’excitation était à son comble, il allait de plus en plus vite, il tenait la laisse d’une main pour me tirer la tête en arrière, ça me coupait la respiration par moment j’aimais ça, ces coups de queues étaient d’une violence rare, il était très excité, il me donnait des fessées en même temps, j’ai rarement vécu un rapport aussi excitant de part sa violence des coups de queues, tout ce que j’aime.

• Je vais me vider les couilles dans ton cul de salope.

Cette petite phrase a eu l’effet d’un électrochoc pour moi, je n’ai pas pu retenir la vague qui montait et en entendant mon Maître gémir de plaisir, j’ai laissé mon orgasme parcourir mon corps.

J'étais une soumise heureuse, pendant cette séance j'ai totalement oublié mon mari, c'est mon Maître qui s'occupait de moi ce qui m'a permis de lâcher prise et de vivre chaque instant avec beaucoup de plaisir, tout ce que Maître Gilles m'avait dit se réalisait, pouvoir vivre ça avec mon mari Maître était l'aboutissement de longs dialogues qui m'ont permis de voir les choses autrement.

Qu'y a t-il de mieux que de pouvoir partager ces attirances sexuelles avec la personne qu'on aime, rien je pense c'est le bonheur absolu.

Après cette séance nous sommes redevenus mari et femme, nous avons pris un verre et dîner tranquillement, nous étions sereins tous les deux, mon mari était aux anges d'avoir pu m'apporter autant de plaisir et inversement car je sais que Bruno a une prédisposition naturelle pour être un Maître, il m'aura fallut des années pour m'en rendre compte. Et cela nous ouvre une multitudes de portes dans la découverte de nouveaux plaisirs.

Soumise N

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Comments

[georges-c]

Un écrit bien structuré , l'histoire est fabuleusement bien écrit , mon excitation est au maximum , j'adore..Il est chanceux le fan d'avoir eu un cliché personnalisé , Merci de rendre la pareil aux fans....Affectueusement ..G-C